| Sujet: ta mère pleure quand j'réponds pas à ses sextos (jp) Mar 3 Mar - 4:00 | |
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jaxxon-peter ''jp'', barankierowczek "Si y faut puff une once juste pour qu’ça défonce. Yeah mais tu sais quand même que j’reste salope quand j’suis stone "
nom complet - jaxxon-peter, le nom contre lequel s'époumonent tes parents jusqu'à ce que s'en soit décourageant. cause perdue contre laquelle ils se sont battus et éperdus. barankierowczek, le nom que toi-même t'as toujours ramé à savoir l'orthographier. surnoms - jp pour les amis, jee pour les nanas que t'as fait crier. même ton nom tu l'as cramé sur les copies de travaux qui faut marquer, jaxon aux trois xxx, signées jp baranki. lieu de naissance et âge - pur produit de nevada city. né, grandit et pourtant t'espères pas mourir ici. tu viens de frôler les dix-neuf ans, encore étonnamment vivant. et pourtant t'es pas sorti du lycée et toutes ses conneries. tu sais pas encore combien de temps tes parents vont s'acharner avant de vraiment te laisser tomber. avant de te jeter, te laissant te démerder. t'es grand maintenant, t'as eu dix-neuf ans à la rentrée, t'aurais surement vingt sans avoir fini le lycée. nationalité et origines - papa à du polonais, mais ça vient d'loin. loin de toi, le petit gars qui regarde que l'amérique et pas au-delà. sait même pas trop comment ça s'nomme là-bas. anyways, ça te regarde pas. tant que tu sais la cartographie qui mène jusquà leurs lit, tant pis. à nevada city depuis - toujours et un jour. nevada city la sentence dans la descendance. pas la ville qui a le plus d'ambiance, même pas de quoi être badass, juste la ville avec le plus belles agaces. classe à la rentrée 2019 - la senior, enfin, après avoir doublé la junior. y'a fallu que tu te reprennes, que tu fasses des efforts. t'es passé juste pour dire, rien à faire reluire dans le soixante-neuf, sur lequel encore, tu surfs. et cette année c'est loin d'être gagné, t'es pas certain d'être assez brillant pour pouvoir graduer. situation familiale - une soeur chiante, une soeur géante. soeur brillante et flamboyante qu'on a oublié pour t'aider, qu'on n'arrête pas de glorifiée pour mieux de rabaissée maintenant qu'elle s'est barrée à l'université. t'as deux parents, eux aussi sont chiants, te mettre la pression, comme si tu savais pas déjà assez que t'es con. le seul truc qui vas pas bien dans leur mariage, c'est toi. ils ont qu'eux-même à blâmer, plutôt que faire un deuxième bébé, ils auraient du prendre un chien. situation financière - de l'argent, y en a jamais assez. il est passé où le fric qu'il t'on filé ? tu l'as flambé, tu l'as bu, tu l'as fumé, tu l'as baisé, tu l'as mangé, tu l'as conduit, tu l'as joui, tu l'as dépensé, tu l'a sniffé. le fric c'est pas fait pour rester, c'est pas fait pour rester tranquille, c'est fait pour faire danser les filles. tes parents en ont assez, mais faut pas déconner, ils vont pas tout t'le donner. ils préfèrent l'utiliser pour aller voyager, pour t'oublier, faudrait peut-être qu'ils revoient leurs priorités. statut civil - tout seul et tu t'en es plaint longtemps. tu voulais juste une copine, rien qu'à toi, une petite coquine. quand tu l'aurais tu changerais, plus jamais tu fumerais, tu serais bon, tu serais droit, tu pourrais prendre soin d'elle et même un peu de toi. tu faisais le gars, mais en vrai ce fût pas trop ça. t'avais juste une deuxième mère pour de bousiller les nerfs, une avec qui tu pouvais au moins t'envoyer en l'air. t'as rien changé of course que vous vous êtes laissés et depuis, t'as pas vraiment cherché. pas vraiment intéressé depuis que t'as appris comment bien draguer sans les effrayées. orientation sexuelle - straight(ish). les surnoms d'pédés balancés pour s'moquer. rien qu'une fois, c'est arrivé, ça devrait pas compter. avec biscuit, défoncés, une petite fois ça a dérapé, malgré lui, malgré toi. still pas gay, tu jures par les chattes et vous n'en avez jamais reparlé de ce petit incident laissé sur l'oreiller. traits de caractères - ils ont pas trop tord quand ils te traitent de connard. t'as le profil d'un futur taulard, même qu'ils se demandent tous c'est pour quand le grand soir, ça ou ton corbillard. ils savent tous que t'es pas assez trouillard pour devenir un vieillard. dans tes tripes, l'impulsif s'excite, tout aussi agressif qu'excessif. le sang trop fringant s'agite, la connerie comme merveilleux parasite natif. celui que te rend beaucoup trop impulsif, abusif, sautant à la moindre injustice séductrice. le poison furtif et compulsif qui a le mérite d'être ta dynamite. de méfaits insolites en illicites, le sanguin jouit ou éclate pour un rien, pour un béguin ou un déconnage aussi puéril qu'enfantin. t'es ce jp fêtard, celui toujours accompagné de son pétard, qui ne comprend pas la définition de ce qu'est ''tard''. il est même un p'tit peu vantard ce grand bâtard. se vantant que mieux que personne il sait boire ou qu'il se serait récemment fait une cougar dans ton placard. t'es l'insolent, cette petite réplique bien sale qui vient tout le temps, éternellement bloqué au stade adolescent. provocateur, parce que rien du tout ne te fais peur, pas peur des autres rappeurs, ni même du directeur. ils disent que t'es simple d'esprit, c'est pourtant pas ce que promettent tes chansons, tes mots érudits, ceux que tu leur prescris contre leurs chienneries. négatif créatif, ton mal dégénératif est également cumulatif. kleptomane qui volera le boeuf comme la banane. un soupçon toxicomane, qui aime se faire envoyer en l'air par des doormans. parce que t'es débauché et que tu peine à le cacher peu important comment biscuit peut s'en soucier. vrai fauteur de trouble, qui exaspère autant son meilleur pote lorsqu'il se fait renvoyer que quand il redouble. désordonné, dans ta façon d'être, jusqu'à ta façon d'aimer ou de mordre alors que tu voulais baiser. direct, qui ne s'inquiète pas d'être correct ou abject, les fissures des autres qu'inconsciemment tu collectes. le culbuteur est destructeur, plante innocemment des dents affamées dans les coeurs pour les retailler et s'en faire sculpteur. le terroriste est aussi égoïste qu'il est masochiste. projectionniste de ce mal être dévoilé jusqu'à l'exhibisionnisme. souffrant pourtant avec les dents, t'es aussi fougeux que tu sais mapintenant être charmant. ça te change des claques que tu te bouffais avant, trop con, trop impatient, trop mal élevé, trop gourmand. t'aime jouer, jusqu'à aller t'y brûler, jusqu'à t'immoler sous les suçons ou les coups qui solonellement savent te défoncer. joueur né, un peu trop spontané, un peu trop naïf, de pas trop comprendre comment les sentiments souvent envahissent et trahissent. négligent, qui prend jamais trop le temps, qui sait pas trop faire attention aux gens, préfère tout ce qui est mordant ou bandant. adulte encore puéril, à la maturité stérile et aux enfantillages habiles. pas que tu ne veux pas grandir, juste que tu sais que tu ne pas jamais fleurir. t'es de ceux qui sont juste nés pour courir puis pourrir.
avatar - machine gun kelly (colson baker) groupe - silver ploucs. | | matière préférée - aucune vraiment ne t'allumes. tu supportes l'éducation physique sans pour autant que la perspective de ce cours ne te rende extatique. c'est bien un moment de se défouler, mais t'es vite essoufflé de tout ce que t'as fumé. sinon y a le cours d'italien, t'y comprends rien, mais c'est pour la trop bonne madame morelli que t'y viens et t'y reviens comme un p'tit chien. sport préféré - les jeux avec ballons où faut pas trop courir, parce que tu préfères ne pas y mourir. genre dodgeball ou du soccer, tant que ne lâche pas ton coeur. sinon les sports de combats, c'est aussi fait pour toi. boxe, jiu-jitsu, dans que c'est pas toi qui te retrouves en dessous. livre préféré - les magazines playboys, de la bonne lecture, des articles vraiment passionnants, au bout des mains, le vintage de sex-symbols. t'aimes pas vraiment lire, toi t'as autre chose à vivre. artiste préféré - tech n9ne et son règne de la punch-line. une répartie, comme il s'en fait plus trop ici, les amis. y'a tous ses beaux qui s'pensent gros avec leurs mots qu'ils jugent geniaux mais qui n'cassent rien, même pas les couilles d'un pingouin. marque de vêtement préférée - kappa, sans savoir pourquoi. leurs tracks suits sont pas pour toi. y'a toutes les marques de skatteurs aussi, vans, trasher, uf, spitfire, obey, toutes ses marques que tout seul, t'as du mal à t'acheter. ce serait pas une mauvaise idée de bosser. marque de ton téléphone - iphone aussi vieux qu'éclaté, t'y a jamais fait attention, tu l'as toujours trop fait voler. enragé, parfois l'portable contre le mur se retrouve éclaté, pour un oui, pour un non, après tu te trouves toujours un peu con. réseau social préféré - instagram, à liker les posts des cocottes. à mater les stories des coquines et aussi celles de leurs trop bonne copines. à perdre ton temps entre leurs bikinis et leurs sourires, parce que tu ne les auras jamais, ses filles. |
— teen attitude, teen problems.
there's vomit on his sweater already, mom's spaghetti; ta mère se suicidait souvent, s'enlevait la vie à coups de médicaments. tout était la faute aux voisins la jugeant radicalement, au trop peu de temps et à cette brillante idée d'avoir deux enfants. comme si le premier était pas assez challengeant, ta grande soeur qu'ils avaient décrochée quelque part au milieu du firmament, le bébé au parfait tempérament, pour maman c'était pas suffisant. allez savoir pourquoi la mère voulait absolument avoir un garçon, comme si un nourisson était l'absolu élément manquant à cette famille-monument. dès la seconde où t'es né, elle l'a regretté. son bébé arraché, le cordon contre sa gorge enroulé, le petit corps bleu qui pouvait pas respirer. ta naissance, c'était asphyxier. t'as manqué d'air au cerveau, c'est ça qu'ils disent pour t'insulter, te traiter d'idiot, c'est enrageant, parce que c'est pas tout à fait faux. c'est ta faute si maman à commencé à se désincarné, dès qu'on t'as mis contre son sein, t'as commencé à pleurer et t'as jamais arrêté. c'est là que ses migraines sont aussi nées, celle qu'elle tentait de contrôler, choisissant de se défoncé pour pas culpabiliser quand elle te laisser pleurer jusqu'à t'étouffer. pop une acide acétylsalicylique, une acétaminophène puis un ibuprofène, t'es devenu ce problème à régler et vite, celui qui n'allait certainement pas s'améliorer. so long la soeurette et tout ce qu'elle faisait de bon, c'était toi qui avait toute l'attention. comme si c'était pas suffisant, votre différence d'à peine un an donnait lui à ses querelles d'enfants, constament. dans la maisonnée, jamais une journée sans que tout le monde finisse à gueuler et ou pleurer. maman elle, ne pleurait jamais. la seule chose qui clamait, c'est quand elle vous menaçait, que quand papa rentrait de travailler, vous alliez y goûter. c'est le chao qui vous a élevés.
but he keeps on forgettin' what he wrote down; maman était professeur (l'est toujours d'ailleurs, même si ça fait longtemps que n'y est plus le coeur). chaque jour d'école était pour toi un supplice, chaque soir, les devoirs à la table de la cuisine, étaient un sacrifice. la mama se battait contre toi pendant plus ou moins une heure, à tenter de te faires avaler ses trucs à retenir par coeur. parfois tu t'en tirais vaincqueur, quand elle t'envoyait dans ta chambre après que, rageur, t'ai fait voler les marqueurs. tu t'endormais plein de rancoeur, de ne pas pouvoir les baclés avec brio comme ta soeur. maman en a un jour eut assez de s'obstiner et jusqu'à chez un docteur, elle t'a trainé. le diagnostique solide est tombé : tdah. étiqueté juste pour confirmer pourquoi ça clash : trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité. c'est pas compliqué, quelques pillules et c'est réglé. méthylphénidate ou la raison pour tout ses petit-dejeuner que tu rates, plus envie de gerber que de t'alimenter. peut-être aussi la raison pour laquelle t'as commencé vraiment jeune à fumer, les cigarettes volées au grand-père, c'est là que t'es devenu un expert. maman est désespéré, papa est pas là pour aider, mais heureusement que papa est là pour t'aider à t'enfoncer. le père de ta mère à toujours su te complaire dans la rage que tu portais à cette dernière. sa bipolarité et son alcoolisme pas réglé ont fait de lui le meilleur candidat à aller retrouver pour fumer et sur la planète entière, cracher. et dans ta jeune éducation, de tout ce que t'as ramé, ça ne les a pas empêchés de t'envoyer à l'école privé, dans l'espoir que quelqu'un là-bas pourrait t'y sauver. rien n'allait, vous aviez tous envie de sauter du bâteau pour préferer aller vous noyez, mais c'est pas grave, continuez, souriez, tant que personne ne peut se douter de comment vous souffrez. les apparences, c'est tout ce qui compte quand tout le reste tombe.
he's chokin', how, everybody's jokin' now; avec l'adolescence, un autre problème est venu se dessiner dans ta vie, un problème kaléiodoscopes tellement elles sont toutes trop jolies. les filles, les filles, les filles. les filles et leurs mains, les filles et leurs yeux qui brillent. ses filles qui te fusillent, elles et leurs odeurs de vanille. complètement décontenancé, parce que c'est ailleurs que le sang est concentré, t'as jamais trop su comment vraiment leur parlé. raison principale pour laquelle en série, tu t'es fait rejeté. roméo leur faisait la cours, cherchant l'amour à coup de ''yo bébé, ta petite chatte, j'peux la défoncée ?'' aussi mal recu que ça ne pouvait être mal amené. les mots toujours plus vulgaire en espérant les charmer, ne te faisant que claquer avant de les voir se barrer. toutes des petites connes. des petites connes un peu trop bonnes. des petites connes qui parfois, ton coeur, siphonent. à trop s'accrocher aux mêmes filles qui à répétition ne savent que te rejeter, comme si ça pouvait les amuser de t'y voir pamné. y'a un moment où t'as compris, où t'as appris que ça ne pouvait pas fonctionner, que c'est ton manque de délicatesse et ta vulgarité qui faisait tout crasher. tu t'es un peu retenu, calmé, adapter, juste quand ça vaut la peine, juste quand tu veux vraiment scorer. c'est vers les lates dix-sept ans que pour la première fois t'as baisé. depuis tu reprends tout ce temps que t'as gaspillé.
the clocks run out, times up, over, blaow ; grandir t'as pas trop réussi, avec tout ce que t'as su te collectionner d'ennuis. ramant chaque jour dans la vie, la weed et autres pêchés comme seules envies. personne n'en n'est ravis, ni ta famille ni ton meilleur ami ; biscuit. lui... tu sais même plus quelle connerie t'as fait l'appeler ainsi. tu sais juste que toi et lui, c'est pour la vie (c'es l'est encore, non?). ouais, parce que vous avez étés un peu cons quand dans vos têtes ça ne tournait pas rond. défoncés, le lit partagés, les corps désincarnés, qui se sont enlacés, se sont désarmés, embrassés, caressés, le temps d'une petite éternité bien enivrés. de quoi l'excuser, se promettre que ça ne devrait pas compter, oublier comme dans le désir affolant, les organes ont eut mal. pas pédés. ils sont beaucoup de choses, mais ne sont pas pédés, de toute, ce fut vite oublié (par vrai ?). de toute par après, on dirait presque que t'as fait exprès de te saboter, de t'éloigner, de tout faire cramer puis de te faire renvoyer. plus facile de pas succomber, de pas merder quand vous êtes éloignés. comme ça, la vie peut continuer sans trop se questionner. ton renvois de la private à fait que tes parents se sont définitivement découragé de toi, comme si c'était pas assez, d'avoir redoubler. et pour terminer cette année, c'est encore mal barré. plus concentrer à être dans ton placard et rapper ou à savoir qui sera la prochaine que tu vas baiser.
admit it - life would be so boring without me | relationships
help me out - assurément besoin d'une tuteure. si elle était pas si mignonne, ça te dérangerais presque d'y perdre toutes ses heures. l'écouter parler des pronoms ou de électrons, c'est presque porno, rien qu'envie de lui faire du pied sous le bureau. elle est un peu ta motivation là où t'es sa perversion. -- (libre) | | let's start a fight pour no reasons - pour rien. pour rien vous en venez toujours aux mains. pour rien, on se collent et ça se termine au sol. ça se fini en sang quand on perd la boussole et que tout seul, les coups prenant le monopole. il t'a cassé un bout de dent, tu lui as cassé le nez, vous êtes faits pour vous détester. (libre) |
pseudo/prénom - ohwell*uck x alexe âge/localisation - 27 bien trop bientôt, ô canada, terre de nos aïeux. avis sur le forum - j'aime toute. où l'avez-vous connu - bazzart de base j'crois. prélien ou inventé - bébé inventé réserver son avatar : colson baker (09.03)
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