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 Alena Lockhart | Good heart, Bad temper

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MessageSujet: Alena Lockhart | Good heart, Bad temper   Alena Lockhart | Good heart, Bad temper EmptyDim 6 Oct - 18:25



Alena Lockhart
" I like sarcasm... Murder charges are expensive. "

→ PLAYLIST ♫

nom complet - Alena Victoria Lockhart. surnoms - Choisissez prudemment. lieu de naissance et âge - New York, il y a 33 ans. nationalité et origines - Nationalité Américaine, origines Allemandes. à nevada city depuis - 2009. Elle avait 23 ans, jeune policière dont les marques déjà bien cruelles de la vie n'avaient pas encore ôté toute foi en l'humanité dans son cœur las. occupation - Enquêtrice privée désormais, elle a depuis longtemps tourné le dos à la police. situation familiale - Des parents qui habitent encore New York, mais qu'elle ne voit pas beaucoup. Sa transition et ses choix professionnels ont mis de la distance entre eux et leur fille -qu'ils ne considèrent en fait pas comme telle. Envers et contre tout, Alena les aime, encore et toujours. situation financière - Des hauts, des bas, les revenus sont variables lorsque l'on travaille à son compte, mais elle est prévoyante, débrouillarde, et ne se plaint jamais. statut civil - Célibataire sans attaches, à la confiance bien trop abusée par le passé. orientation sexuelle - Selon ses mots, lesbienne. Derrière ces mots, une bisexualité en réalité très assumée, mais une confiance très éprouvée envers la gent masculine. Elle ne considère plus les hommes comme une option malgré l'attirance qu'elle peut ressentir envers eux. traits de caractères - Misanthrope. Alena déteste les gens, tout en aimant des personnes, en tant qu’individus. Méfiante. Vous aurez beau l’approcher avec douceur, il lui faudra du temps avant qu’elle cesse de s’attendre à du négatif de votre part. Quant à sa confiance, vous ne l’aurez pas de sitôt. Dédaigneuse. Sa force de caractère se manifeste souvent par une arrogance insolente qui vise à maintenir les autres à distance et cacher ses propres faiblesses. Sarcastique. La demoiselle n’a pas la langue dans sa poche, et ses mots ont le mordant que sa personnalité fougueuse leur octroie, dans un vocabulaire qui ferait parfois rougir le charretier de l’expression lui-même. Sûre d’elle. Cela se voit dans ses yeux bleus, dans sa démarche, et à son menton levé. Plus jamais elle ne baissera la tête devant qui que ce soit –on a peine à croire que ce soit déjà arrivé. Calme. Malgré son fort tempérament, cette qualité est l’une des premières qui se remarque chez elle. Alena se montre imperturbable, et hausse rarement la voix. Dévouée, protectrice. Ceux et celles qui ont gagné son amitié verront cette facette de sa personnalité, et pourront toujours compter sur elle. Secrète. Seul son cercle d’amis proches la connaît vraiment, car il n’y a qu’à eux qu’elle se confiera. avatar - Daniel Tighe. groupe - Emerald.
ado t'étais comment ?  - Quelqu’un d’effacé, tête baissée, souvent brimée, violentée pour ses différences. Elle a commencé à redresser la tête à partir de la fin de son adolescence, au début de sa transition. Ensuite, elle a fait ce qui avait manqué dans sa vie jusque-là : s’imposer, et botter des culs. tu étudiais ici, si oui, dans quel lycée ? Alena a étudié à New York, dans un lycée public. A la fin de la dernière année, elle a déménagé à Carson City pour ses études supérieures. tu as gardé contact avec tes potes d'adolescence ? Non, fuck off loosers. tu as réalisé tes rêves ?  - Oui, mais comme l’idéaliste désabusée qu’elle est. Son idée de la justice n’était pas forcément compatible avec celles que faisaient régner ses collègues policiers. es-tu satisfait de ta vie actuelle ? Plutôt, oui.

— teen attitude, teen problems.
Alena nait le 5 Novembre 1986 à New York, sous le nom d’Arthur James Lockhart, et donc sous une identité masculine. Cela faisait plus de trois ans que ses parents, Margaret et John, tentaient d’avoir un enfant –en espérant qu’il s’agirait d’un fils. A l’arrivée de cette petite chose fragile dans leur vie, ils sont au comble du bonheur.
Même à son arrivée à l’école, Arthur est un enfant qui sait plaire ; foncièrement bon et gentil, il se fait des amis et les professeurs lui font des éloges.

Ce n’est qu’à partir du collège que les choses commencent à changer. Ses intérêts, goûts et couleurs, jugés inappropriés, sont pointés du doigt, moqués –que ce soit la danse (qu’il pratique à l'époque dans un club et finit par arrêter) sa sensibilité, son style et sa gestuelle plutôt "féminins"…
Tarlouze. Pédé. Tapette. Autant de mots dont il apprend la nature dégradante, mais aussi le sens –à savoir être attiré par les hommes. Ce qui n’est pas son cas. Bien sûr, il a conscience qu’il s’agit là d’une question d’apparence, de manière d’être. C’est ce qui arrive à n’importe qui vivant hors des conventions sociales.

Ses parents, ainsi que ses rares amis, ne le comprennent plus, et le temps n’arrange pas la situation. Au lieu de se conformer, Arthur se détache toujours un peu plus des normes. A tel point que sa famille s’en inquiète, car c'est au prix de sa santé mentale, au prix d'un lavabo blanc rougi par d'effrayantes taillades sur ses avant-bras, pendant la période la plus noire de sa jeunesse. Même ses entrainements de Jujitsu ne suffisent plus à canaliser ses émotions, trop nombreuses, trop fortes, trop néfastes. Il y a trop de gens, trop de paroles, trop de regards, trop d’incompréhension en lui et chez les autres.

« Tu nous fais regretter d’être parents. »
« Arrête de t’habiller comme ça, tu es ridicule. »
« T’es homo ou tu te prends pour une femme ? »
« Parfois j’aimerais juste que tu disparaisses. »


Trop de violences, aussi. Ces violences, il n’ose pas les nommer ainsi, jusqu’à ce jour où elles deviennent physiques ; au lycée, on l’isole, on se saisit de lui, on le passe à tabac dans le couloir des toilettes. Les vestiaires deviennent un enfer dans lequel les mains brutales des garçons envahissent encore son espace pour le jeter nu sous l’eau glaciale.

C’en est trop tout court.

Il bascule le jour de Thanksgiving, seul dans la maison familiale. A la suite d’une dispute, ses parents lui ont interdit de se montrer au reste de la famille cette année. Ils sont donc avec les oncles, les tantes et les cousins, réunis, partageant le traditionnel repas, alors qu’au même moment, Arthur ingurgite tous les analgésiques de l’armoire à pharmacie.
Lorsque ses parents reviennent, la mère se précipite vers son enfant inconscient, effondrée, tandis que son mari se hâte d’appeler les secours. Ils n’ont rien vu venir, et cette scène brutale, de laquelle ils sont devenus les acteurs, a des airs de cauchemar.
Les secours arrivent presque trop tard. Transporté à l’hôpital, Arthur manque de ne jamais se réveiller de cette nuit. Mais lorsqu’il ouvre les yeux, ses parents sont à son chevet, silencieux. Ils ne le regardent pas, un mélange de honte, de peur et de culpabilité hantant leurs traits fatigués.

Cela précipite inévitablement Arthur chez un psychiatre. Ce n’est pas facile au début. Agressif, replié sur lui-même, essayant tant bien que mal de tenir ses morceaux épars en un tout, pour former un ensemble presque humain, il repousse l’homme pourtant bienveillant. Mais la patience du psychiatre finit par payer. Son patient finit par parler de ses sentiments les plus enfouis, ceux qu’il pense être les plus inavouables. Sans le vouloir, ses parents l'ont dirigée exactement au bon endroit pour comprendre ce qui lui arrivait, et lui sauver véritablement la vie.
Donc, à ses 17 ans, leur enfant leur fait son coming out transgenre, sous le nom d’Alena. Tout devient à la fois plus clair et plus complexe, pour tout le monde. Pour Margaret et John, il n’est pas question d’accepter une fille. Ils tiennent trop à leur fils qu’ils viennent de sauver d’une mort certaine. Cependant, pour Alena -qui vient tout juste de trouver un début de paix et de sérénité- il est hors de question de leur céder son identité, son bien-être et son bonheur.

A travers les années, un fossé se créé entre eux. Alena ne communique plus, eux non plus. C’est le début d’une solitude persistante. Elle ne leur demande même pas leur avis lorsqu’elle décide d’intégrer l’académie de police de Carson City ; ils l’apprennent tardivement, après qu’elle a été acceptée.
Ils auraient pu lui dire plein de choses. Comme par exemple, que c’est une vocation louable, qui lui correspond. Qu’elle est restée quelqu’un d’intègre, de profondément sensible aux injustices, et qu’elle allait faire une excellente policière. Mais ils ne disent rien de tout ça. Pas plus qu’ils n’ont dit « sois prudente » (ni même prudent) lorsqu’Alena a passé son permis deux roues et a acheté sa première moto.
Lors des réunions de famille, ils s’arrangent encore pour qu’elle ne soit pas présente, comme ce fameux Thanksgiving, ou bien ils renoncent eux-mêmes à y aller. Ils ont honte, refusent de faire face aux questions et au jugement de leurs propres parents, de leurs frères et sœurs… Bien sûr, Alena en ressent beaucoup de peine. Leur comportement la fait se sentir sale, comme si elle était véritablement devenue un secret inavouable qu’il fallait absolument cacher. Mais d’un autre côté, elle non plus n’a pas envie de faire face à ces gens.

Son départ du foyer familial est un tournant dans sa vie, un soulagement dont elle mesure l’ampleur lorsqu’elle intègre l’Académie de Police de Carson City. Malgré son aversion pour les gens au sens large, la jeune femme a choisi la protection d’autrui comme vocation. Malgré son histoire, elle a toujours des rêves de justice dans la tête, et de la douceur au cœur.
Elle n’a pas la naïveté de se croire sauvée en arrivant à l’Académie, mais elle encaisse difficilement la transphobie institutionnelle à laquelle elle doit faire face, de la part de certaines personnes. Du moins, c’est difficile les premiers temps. Parmi toutes les choses qu’elle apprend durant ses années d’études, l’une des plus importantes est de se détacher complètement du regard des autres. Elle peut alors se concentrer sur ses objectifs. Ceux qui tentent de l’écraser finissent par se rendre compte que leurs mots n’ont plus aucun effet sur son moral. Du haut de son mètre quatre-vingt-huit, Alena les toise avec dédain.

« T’es une femme ? »
« Non je suis une bougie connard. »

« Les femmes te voient dans les vestiaires, elles disent que t’as une bite. »
« Et alors ? La tienne te suffit pas ? »


Les rapports de force changent quelque peu. Son charisme et ses performances lui assurent le soutien de certains, la jalousie des autres, le mépris des irréductibles. Toujours est-il qu’elle entre en fonction à Nevada City, à l’âge de 23 ans.
Son travail lui tient à cœur, encore une fois malgré son évidente antipathie envers tout le monde –ou presque. Alena n’aime pas les gens, mais elle découvre que malgré cela, il est possible d’aimer des personnes. Celles-ci ont sa fidélité et sa dévotion, voire même, parfois, sa tendresse.

La jeune femme sert dans la police pendant six ans. Elle fait admirablement bien son travail, fait preuve de beaucoup de contrôle sur elle-même et sur des situations souvent compliquées. Son mental se fortifie et s’équilibre à mesure que sa transition avance ; Alena est sous hormones féminines depuis ses vingt ans, mais n’arrive pas à se débarrasser de la dysphorie -ce sentiment aussi tortueux à décrire qu’à ressentir- vis-à-vis de sa poitrine. Son opération est salvatrice ; elle la subit à l’âge de 25 ans. Fini les artifices dans les sous-vêtements pour donner des courbes à sa silhouette, fini les vêtements trop amples qui cachaient autrefois la plateur de son buste. Cette opération ne fait pas d’elle une femme ; elle l’était déjà avant de décider d’en passer par là, mais cela l’aide à se sentir mieux dans sa peau, à briser encore une chaine qui la retenait.
En revanche, le changement de sexe en lui-même est hors de propos. Alena sait que certaines personnes transgenres en ont besoin et le font, mais ce n’est pas son cas. Elle est déjà à l'aise avec sa sexualité et son corps tel qu'il est désormais. Après le changement de ses papiers d’identité, la jeune femme considère donc sa transition achevée.

Mais ces six ans dans la police ne sont pas non plus un long fleuve tranquille. Ce sont aussi six années d’une lente prise de conscience. Alena se sent de moins en moins en accord avec cette vocation pour laquelle elle s’est battue. Bizutage, corruption, négligence, victimes violentées et discriminées par ses propres collègues… Pendant ses années de service en tant que lieutenant Lockhart, elle est témoin de tout cela, sans pouvoir y faire grand-chose.
Un évènement, une nuit, finit de faire basculer sa décision. Un jeune homme d’à peine dix-huit ans est ramené au poste, effrayé et à peine vêtu. Alena tend une oreille distraite et apprend qu’il s’agit d’un prostitué ; elle ne s’y intéresse pas plus que cela. Seulement, l’un de ses collègues -une personne de confiance, professionnellement parlant- vient la trouver dans le bureau où elle travaille. A son expression elle sait qu’il vient de se passer quelque chose de grave.

Le jeune homme a été entendu dans un bureau du poste de police. Il est effectivement travailleur du sexe, et n’a même pas l’âge légal pour l’être. Mais ce qui la choque le plus, c’est bien lorsqu’elle a vent de l’acte ignoble du policier chargé d’interroger ce gamin. Ce gamin humilié et violé par ceux qui sont censés maintenir la paix et la sécurité dans la ville. Cette fois, Alena en a trop vu, trop su, trop encaissé. Ses yeux ne peuvent plus rester aveugles à la désillusion qu’elle ressent, à ce fossé qui existe entre son travail et ses valeurs.
Dégoûtée, furieuse, elle sort du bureau et trouve la victime, recroquevillée sur un banc dans le couloir. Entourée de trois policiers qui n’en finissent pas de l’humilier, dont son agresseur. Celui-là, Alena l’empoigne par le col et l’envoie se cogner contre le mur opposé. Les deux autres veulent intervenir, mais croiser ce regard glacial, qui culmine au sommet d’une silhouette toute en sveltesse et en force, leur suffit à renoncer.
Ce même soir, Alena apprend par le biais du dossier le nom du jeune homme. Léandre Kane. Le lendemain, elle donne sa démission.

Les mois qui suivent sont difficiles, mais avec de la persévérance, de l’organisation, du temps et un peu d’aide, Alena devient indépendante. En tant que détective privée, elle a maintenant davantage la possibilité de faire régner sa propre idée de la justice, avec ses propres méthodes. Il lui arrive encore assez souvent de travailler en collaboration avec la police, mais jamais, jamais elle n’entrera à nouveaux dans leurs rangs.
Désormais âgée de 33 ans, elle vit dans une petite maison, seule –ou presque ; la seule compagnie qu’elle supporte est celle de sa chatte Velvet, petit animal qu’elle a recueilli et adopté après l’avoir sauvée des griffes d’un homme qui avait déjà noyé le reste de la portée.
Un chat, ce n’est pas grand-chose -du moins c'est ce qu'elle se dit au début- mais Alena finit par y tenir énormément. Comment ne pas s’attacher à un chat qui vient ronronner chaque soir sur vos genoux sans rien vous demander d'autres que des caresses et de la nourriture ? Qui ne vous juge pas sur votre physique, ni sur la voix que vous avez, ni sur vos choix professionnels ou vos erreurs ? Et puis, ce petit être, c’est elle qui l’a sauvé. Au moins une chose qu’elle est sûre d’avoir réussi.

pseudo/prénom - Charlie Crow. âge/localisation - 24 ans, France. avis sur le forum - Lébo. où l'avez-vous connu - Par un ami. autre -
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réserver son avatar : Daniel Tighe (13.09)
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MessageSujet: Re: Alena Lockhart | Good heart, Bad temper   Alena Lockhart | Good heart, Bad temper EmptyDim 6 Oct - 18:30

aaaaah un personnage trans, je suis tellement content! on va avoir besoin de personnes dans la police/les enquêtes privées en plus avec la super intrigue qu'on a, tu as raison d'en faire une!

vraiment hâte d'en savoir plus sur ton formidable personnage, j'espère qu'on pourra trouver un truc chouette avec aslan romance.
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Nichola Walton
Nichola Walton
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MessageSujet: Re: Alena Lockhart | Good heart, Bad temper   Alena Lockhart | Good heart, Bad temper EmptyDim 6 Oct - 18:43

bienvenue parmi nous ♥
si tu as la moindre question n'hésite pas !
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MessageSujet: Re: Alena Lockhart | Good heart, Bad temper   Alena Lockhart | Good heart, Bad temper EmptyDim 6 Oct - 19:50

rolala, je salue le personnage qui s’annonce très intéressant. in love. cara.
bienvenuuuuue sur tdnd et bon courage pour le reste. cute.
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Jules Lancaster
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— le cerveau et les couilles débattent
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MessageSujet: Re: Alena Lockhart | Good heart, Bad temper   Alena Lockhart | Good heart, Bad temper EmptyDim 6 Oct - 19:52

wow, j'adore cette diversité de personnage !
super l'idée.
bienvenue chez toi, tu vas voir, on s'y plaît rapidement.
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MessageSujet: Re: Alena Lockhart | Good heart, Bad temper   Alena Lockhart | Good heart, Bad temper EmptyDim 6 Oct - 19:52

c'est que tu nous dessines un personnage vachement intéressant
puis avec cette intrigue tu tombes bien siffle2
bienvenue et bon courage pour la fin de ta fiche heart.
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MessageSujet: Re: Alena Lockhart | Good heart, Bad temper   Alena Lockhart | Good heart, Bad temper EmptyDim 6 Oct - 20:21

très intéressant de voir ce genre de personnage et tout ce qui se dessine autour cara.
bienvenue parmi nous white heart.
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MessageSujet: Re: Alena Lockhart | Good heart, Bad temper   Alena Lockhart | Good heart, Bad temper EmptyDim 6 Oct - 21:23

Merci beaucoup pour l'accueil ♥ Ça fait plaisir de voir que le personnage plait ~
Aslan : J'en serais ravi just smile.
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Ace Miller
Ace Miller
préfère s'arracher le cœur que porter ses couilles
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dreams : 383
pseudo : cosmo.
face, © : dylan rieder, morrigan


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MessageSujet: Re: Alena Lockhart | Good heart, Bad temper   Alena Lockhart | Good heart, Bad temper EmptyDim 6 Oct - 21:49

oooh moi je suis curieux de savoir qui t'a parlé du forum yes.
c'est quelqu'un qui est inscrit ? oups. (montrez vous)
bienvenue en tout cas coeur basique. coeur basique.
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Volk Meyer
Volk Meyer
dramaqueen des tc
here since : 17/09/2019
dreams : 419
pseudo : robbie (emilie)
face, © : j. schümann


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MessageSujet: Re: Alena Lockhart | Good heart, Bad temper   Alena Lockhart | Good heart, Bad temper EmptyDim 6 Oct - 21:55

je valide mon chou
have fun
je vais te faire un mp pour l'intrigue si jamais tu veux nous rejoindre oups.
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MessageSujet: Re: Alena Lockhart | Good heart, Bad temper   Alena Lockhart | Good heart, Bad temper EmptyDim 6 Oct - 21:58

Ace : C'est quelqu'un qui devrait rejoindre le forum sous peu ^^
Volk : Avec grand plaisir hehe.
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MessageSujet: Re: Alena Lockhart | Good heart, Bad temper   Alena Lockhart | Good heart, Bad temper Empty

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