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 when i rip (tc)

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Sohan Cadburry
Sohan Cadburry
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 8 EmptyDim 26 Avr - 9:47

(sasha - dulcie - romy )
"Je l'ajoute à ma To-Do List Sasha, laisse-moi un peu de temps perso et je me pencherai peut-être sur la question." C'est elle qui vient lui faire la morale, elle la fille plus croisée broyeuse qu'émotive répandue, mais soit. Pourquoi pas. C'est pas ça qui viendra le blesser. L'indifférence intouchée par Sasha, il se pense sain et sauf, exempt de répercussions trop lourdes, quoi que soulagé d'avoir pu, pour quelques minutes, sortir de son rôle toujours trop serviable. Ca permet de clore la boucle initiée dans une réflexion lancée avec désinvolture à Kleio. L'illusion, bien qu'il la sache parfaitement éphémère, est douce en bouche et donnerait presque un sentiment de liberté. Habitué à se voir targué d'insensibilité- sous prétexte qu'il a été doté d'une nature de façade impassible : soit ça ricoche, soit ça pénètre et se perd dans les limbes sans laisser aucune blessure d'entrée ou de sortie- ça ne provoque rien de particulier. La richesse intérieure ne demande pas spécialement à être portée aux nues, la discrétion prime sur toute volonté d'expression. Il entend bien ne pas faire exception cette fois encore, détourne lascivement le regard de Sasha pour réponse silencieuse : try again girl. Ca n'atteint plus à force d'être un litanie sans originalité aucune mais celle qu'il n'attend pas, encore une fois, c'est Dulcie. Difficile de déterminer si c'est l'itération des attaques ou simplement qu'elle sait se faufiler suffisamment proche pour n'avoir que des coups qui ne peuvent manquer sa cible, mais ça le percute toujours. C'est précisément parce qu'elle a profondément tort que c'est cruel et fait vaciller son semblant de satisfaction vis-à-vis de sa nouvelle place Pas Si Bonne Que Ca. A croire qu'il vaut mieux être paillasson, ça recèle de moins de surprises et de moins de douleur, parce que jamais il n'aurait voulu qu'elle prenne ça pour un besoin de flatterie ou de reconnaissance pour un service qu'il pourrait rendre à l'infini sans attendre ne serait-ce qu'un soupir de contentement en retour. Le regard passe de l'indifférence feinte à l'incompréhension brouillonne, comme s'il n'avait que deux modes avec Dulcie. Elle a vite fait de se dérober, offrir son dos à qui il peut retourner toute sa déception sans filtre, parce que ce qui importe, c'est qu'elle ignore sa force de frappe, non dans un espoir belliqueux de fierté qui ne voudrait pas la voir remporter une manche, mais plus parce qu'il est naturellement déterminé à épargner aux autres le moindre de ses états d'âme qui ne respecterait pas sa palette aux teintes d'atonie. Sasha la récupère, l'entraîne, game over. Et à trop la surveiller elle, il oublie d'analyser le reste du monde, y compris le verre entraîné par ses pieds. Elle arrive à tester son calme et son inertie même sans être tournée vers lui, à ce niveau-là de maitrise c'est du professionnalisme alors qu'un mélange d'alcool cheap s'imbibe à un genou. Un fond de verre, trois fois rien, juste assez pour que le coton fonce et promette de retenir l'odeur pour le reste de la soirée. Un soupir plus loin, il a déjà l'affaire avant même qu'elle n'ait lieu – plus tard, comme réponse inconsciente à l'esprit pratique qui demande de voir le chino détaché. Il pourrait se lever, la rattraper, la traiter d'idiote, d'aveugle ou bien les deux à la fois mais pour se faire il faudrait encore le penser et posséder l'impulsion nécessaire. N'ayant aucune des conditions requises le regard devenu apathique, officiellement blasé de cette soirée qui de toute façon n'était pas écrite pour entrer dans les annales, avise le verre de Romy plus proche du fond que de l'opulence en arrière-plan et ça permet au moins d'enclencher ce qu'il connait pendant qu'un type décide d'envoyer son poing embrasser la mâchoire de Villin. L'enchaînement est hasardeux, hors de sa compréhension et c'est sans aucune importance puisque maintenant qu'il s'est levé pour un bref aller-retour dans la cuisine où seul la bouteille de vin et se rapporter un verre importent. Il revient au salon, tout en jurant ne plus jouer, parce qu'on ne peut pas dire qu'il ait l'âme enjouée et préfère la position stratégique de Romy. Ca relève presque du réflexe quand il la ressert sans un mot, le regard porté vers le grabuge qui ne l'intéresse même pas vraiment. Elle trône, détone dans cette vague d'adolescents criards avec des allures d'un autre monde. Ca a quelque chose de relaxant de trouver son ombre pour y disparaître et remplir des fonctions stupidement pratiques. "Il leur prend quoi à tous ce soir ?" Inclus Lloyd qui la plante elle, inclus Dulcie qui échappe à sa compréhension, inclus ces deux types qui frappent pour des raisons plus que nébuleuses. A défaut d'avoir l'arrogance pour prétendre maitriser Romy, il a au moins pour lui de l'avoir suffisamment approché et observé pour au moins connaître les contours de son comportement capricieux et n'aura pas l'amère sensation de ne pas parler la même langue. Mais parce qu'il les sait amies, il a au moins besoin de justifier, si ce n'est d'excuser, la situation qu'il juge navrante sur bien des points : "C'était pas ça le propos, je cherchais pas les lauriers, juste qu'elle arrête d'être si… Dulcie. Impossible à déchiffrer, un coup blanc, un coup noir." Il hausse finalement les épaules, ça finira par tomber dans l'oubli, et elle elle restera sans doute cette fille aux airs délicieux de cutie qui sait très bien rabrouer les autres avec une indélicatesse aussi marquée que la sophistication intuitive de ses apparences dévotes. Il se sert finalement du vin, unique façon d'apprécier la soirée semble-t-il.
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Artemis Swanson
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entre le futur sociopathe et son frère on peut pas dire qu'elle sache choisir ses mecs
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 8 EmptyDim 26 Avr - 11:42

Nick se laisse faire et elle en oublierait presque le départ impromptu de Jules, prête à voir sa soirée se terminer de façon bien plus agréable que ce qu’elle n’aurait pensé. Elle aperçoit Liv arriver d’un œil, en compagnie de Sander. Of course. Et ça pique. Elle n’a pas vraiment discuté avec elle depuis la soirée de l’enfer chez Castel, parfaitement consciente d’avoir fait une connerie en couchant avec Lip. Connerie qu’elle n’assume encore qu’à moitié, pas encore prête à voir la déception et le dégoût dans le regard de Liv, probablement la seule personne au monde à ne pas la voir comme une simple garce, à connaître la Artemis des bons jours, celle capable de douceur. Et puis, à force de l’éviter pour le problème Lip, elle n’a pas encore eu l’occasion de lui parler du problème Sander. Et de la voir si complice avec son demi-frère, à elle, peu importe qu’ils ne soient pas spécialement en bon terme, qu’ils ne se connaissent pas plus que ça, ça fait mal. Elle a une soudaine envie de se casser, et pourtant n’en montre rien, reste bien assise sur les genoux du Walton avec qui elle flirt ouvertement en suivant la partie d’un œil. Distraction parfaite pour s’anesthésier les émotions, elle se plonge corps et âme dans sa connerie jusqu’au bout. Rusty qui file embrasser Liv, ça lui arrache un sourire, rien que d’imaginer la réaction du frère Castel beaucoup trop protecteur. Puis pas de chance, le roi de l’ennui et de l’apathie se décide à venir lui voler sa monture, et elle se retrouve obligée de se lever, pour le laisser s’enfermer dans un placard, une moue boudeuse s’invitant sur ses lèvres. « None taken. » S’il y a bien une chose qu’elle ne peut pas nier, c’est sa frustration. Frustration d’avoir vu Jules prendre la fuite, frustration de voir Liv arriver sans savoir qu’elle viendrait à cette soirée, frustration de se faire voler Nick par le type le plus blasé de l’univers. Elle attrape un verre avant de se rassoir, l’ennuie commençant à prendre le dessus, quand vient le tour de Sander. Et quand il se tourne vers Liv pour lui demander son t-shirt, elle tique, descend son verre d’une traite, une soudaine envie de venir s’interposer. Elle se dit que c’est simplement pour éviter à sa meilleure amie de se retrouver en sous vêtement ne serait-ce qu’une seconde, refuse d’envisager que ça puisse être par jalousie de les voir partager quoi que ce soit. Elle enlève son haut sur le chemin, sans aucune gêne, avant de s’inviter sans préambules entre eux, vêtement tendu vers le Gray. « Tiens, on échange. » Le ton est sans équivoque alors qu’elle attend qu’il lui passe son t-shirt, avant de se tourner vers Liv. « Je savais pas que tu venais. » Ca pue la mauvaise foi, elle la première n’ayant pas pensé à lui envoyer de message pour l’inviter, mais ça lui passe au-dessus, l’alcool aidant. Elle attrape un nouveau verre, alors que les poings volent de l’autre côté du salon, et ça l’exaspère, les billes qui roulent dans leur orbite alors que des images du poing du Lancaster dans la gueule du Castel lui reviennent en mémoire. « Putain c’est dingue, vous savez faire que ça, les mecs, en soirée ? » Elle s’adresse à moitié à Sander, à moitié à personne, occulte complètement le fait qu’à sa dernière soirée trop arrosée, son propre poing a fini dans la mâchoire de son demi-frère. Elle jette un œil autour d’elle, repère un Walton trop occupé à frapper, et sa première distraction disparue, elle ne voit plus aucun intérêt à rester plus longtemps, de toute façon trop mal à l’aise pour rester une seconde de plus avec ce duo qui lui donne des sueurs froides. « De toute façon, c’est de la merde cette soirée. Je me casse. Amusez-vous bien. » Elle ne pense même pas à récupérer son haut alors qu’elle se fraye un chemin d’une démarche moins assurée qu’elle ne le voudrait jusqu’à la sortie.

@olivia castel @sander gray @nichola walton
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Olivia Castel
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 8 EmptyLun 27 Avr - 16:54



Premier point positif à cette soirée, revoir Ocean, que tu n’avais pas vu depuis tellement longtemps. « ça va ! » que tu lui répond. Tu es un peu sceptique sur ce qu’elle annonce ensuite. On a rien à prendre, ce qui se passe ici reste ici ? Tu en doutes fortement. Vraiment. Tu es même absolument sûre que ton frère aura vent de tout ce qu’il se passera ce soir sans même que tu aies le temps de lui raconter quoique ce soit. Faut dire que tu es venu avec Sander aussi. Il va forcément tout répéter à Lip en ce qui te concerne et même sans doute l’amplifier un peu. Et puis Rusty s’approche de toi, te détournant de la conversation avec Ocean et Sander. La bouteille vient de le défier d’embrasser une fille, et ça tombe forcément sur toi. T’as pas le temps de répondre à sa question qu’il décide à ta place. Tu joues, c’est non négociable. Si tu hésitais jusqu’à présent, te voilà impliquée. Toi qui voulais éviter de te faire remarquer, ça commence bien. Son baiser n’a rien de doux. Tu as l’impression d’entendre ses reproches à l’instant même où ses lèvres se posent sur les tiennes. C’est lourd de sens. Pourquoi vous ne vous voyez plus autant qu’avant, pourquoi tu n’es pas assez courageuse pour désobéir toujours un peu plus à ton père. Tu aimerais bien pouvoir répondre à toutes ces questions. « J’espère au moins que j’étais la première » que tu lui réponds en souriant alors qu’il se détache et s’éloigne pour retrouver sa place. Langage codé que seuls vous deux pouvaient réellement comprendre. Puis Sander te ramène bien vite à la réalité. Il a raison, c’était une belle entrée en matière, forcée certes, mais belle entrée en matière pour un jeu auquel tu ne voulais pas vraiment jouer. Il évoque ton frère. Ça te fait sourire. « Promets-moi de rien lui dire » C’est pas vraiment ton genre de cacher des trucs à ton frère. Sauf quand il s’agit de tes relations avec d’autres garçons. Là, tu deviens d’un coup beaucoup plus silencieuse. Sujet bien trop sensible. Même si t’es persuadée qu’il finira bien par apprendre ce qu’il vient de se passer et ce qu’il se passera ce soir, tu préfères encore le lui apprendre toi et poser les bons mots aux bons endroits. Puis Ocean tourne la bouteille. Deux vérités un mensonge. Tu y réfléchis un instant, tu la connais bien Ocean, et il y a une des propositions dont tu es sûre de la véracité. Pour les deux autres, c’est plus compliqué. Tu te ranges assez vite du coté de Sander. « La robe pour moi aussi » En espérant ne pas tomber sur un défi comme ça si jamais tu te décides à toucher cette foutue bouteille. Ce qui n’est pas encore gagné. C’est finalement Sander qui tourne la bouteille, échange de vêtements, tu le sens gros comme une maison que ça va te tomber dessus. Et ça loupe pas. Tu en rigoles, c’est presque nerveux. « C’est ma fête ce soir, c’est ça ?! » que tu souffles sans pouvoir le lui refuser. Tu grimaces en regardant ton propre petit haut en soie. « Deal, mais tu y fais attention hein, je veux pas une goutte d’alcool dessus ! » Parce que sur de la soie, c’est un enfer à nettoyer après. « Tu vas être magnifique avec » ou pas. Mais tu n’as même pas le temps d’enlever ton haut qu’Artemis débarque et tend le sien à ton ami. Tu marques un temps d’arrêt, surprise par cette réaction qui n’a absolument aucun sens. Tout comme sa remarque d’ailleurs. Elle ne savait pas que tu venais. En même temps, c’est pas comme si elle t’avait prévenu ou quoi. Mais tu laisses faire, c’est déjà suffisamment compliqué en ce moment entre vous, avec la distance qu’elle a installée sans que tu saches trop pourquoi, alors pas la peine d’en rajouter une couche. Tu la suis du regard, un verre de plus, elle s’agace pour rien. Aucun doute sur la dose d’alcool qu’elle a du ingurgiter pour qu’elle se comporte ainsi. Puis ton regard est ensuite attiré par un gars qui appelle l’un de tes amis puis qui se rue sur un autre de tes amis pour lui coller son poing en pleine face. Une fois. Puis une deuxième. C’est presque trop pour toi, tu peux pas t’empêcher d’aller t’en mêler, d’aller t’assurer qu’Adriel va bien. Tu le connais suffisamment pour savoir qu’il ne va pas se défendre. Et quand bien même, il aurait cet élan de courage pour se relever et se défendre, il ne fera clairement pas le poids. Puis Artemis qui décide de partir. Tu sais plus quoi faire, ni lequel aller voir. Pas question de laisser ta meilleure amie rentrer seule chez elle dans l’état bien trop alcoolisée où elle est. Déjà qu’elle a du mal à tenir debout rien que pour quitter la maison. Tu regardes alors Sander, une moue légère s’affiche sur ton visage, tu sais que ce que tu vas lui demander ne va pas l’enchanter. « Tu peux garder un œil sur elle et t’assurer qu’elle rentre bien chez elle ? » Ton regard se veut implorant et finalement, tu ne lui laisses pas vraiment le temps de répondre, que tu t’éloignes déjà en direction d’Adriel. Un Rusty qui s’impose entre Adriel et son bourreau, tu l’en remercie intérieurement avant de t’accroupir auprès de ton ami. « Adriel, ça va ? Tu n’as rien ? » Tu regardes autour de toi, d’autres coups pleuvent entre les garçons sans que tu comprennes réellement ce qu’il se passe. « Viens, on va aller soigner ça » Tu aides ton ami à se relever, pensant qu’il ne vaut mieux pas trop trainer dans le coin, histoire d’éviter qu’il se prenne à nouveau un coup. La cuisine te semble un bon endroit : à l’écart des gars qui se battent, on y trouve facilement de la glace pour poser sur la joue d’Adriel avant qu’elle prenne une couleur bizarre et qu’elle ne double de volume.  

@ocean bloed, @rusty adler, @sander gray, @artemis swanson, @adriel nightingal         

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Parker Calverley
Parker Calverley
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 8 EmptyLun 27 Avr - 18:08

Contre-soirée dans le placard aux avantages discutables ; il fait chaud, sombre, standing room only et la musique est assourdie. La fréquentation, cependant, est meilleure. Dans l'espace exigu, côtes rencontrent coudes rencontrent le mur et des ouch feutrés éclosent sur les lèvres engourdies. Alors que Parker trouve un espace de cloison où poser les hanches, la jalousie de Babi est coup de fouet dans la proximité. Puisqu'il fait trop sombre pour qu'un roulement des yeux soit audible, Parker opte pour un good ol' American snort gonflé à la dérision. Pas intéressée, je t'assure et tous ses préceptes de loyauté soigneusement emballés dans un peu d'air qui quitte les narines. L'insinuation qui la vexerait profondément de la part de quelqu'un qui la connait mieux passe sans encombres car leur amitié en est encore à ses trente jours d'essai gratuit. Babi aura tout le temps d'apprendre que pas de ça ici. Phase deux déjà amorcée : un baiser sur la joue + un rencard et c'est officiel, le placard = where the magic happens. Délivrée dans le plus pur enthousiasme marque de fabrique de Babi, la question amuse Parker. Elle se retient de souligner l'évidence : techniquement, elles sont de sortie toutes les deux en ce moment même. "Du placard ? You bet." Et la très littérale sortie en question devient libération. L'alcool qui a fini sur le plancher colle sous les semelles et distille son odeur puissante dans les quatre mètres cubes d'oxygène qu'elles partagent. Le buzz a eu le temps de se concentrer lorsque les portes s'ouvrent. Parker rééquilibre une Babi qui chancèle sur la sortie —cette fichue Converse encore, constamment dans le chemin— la remettant sur pied juste à temps pour que celle-ci se fasse embarquer par Buzzkill vers la cuisine. Big Yikes. Ayant hérité de la bouteille à moitié pleine (ça s'appelle de l'optimisme, look it up), Parker fait un tour de piste solitaire, sirotant le mélange en observant les festivités avec un ennui certain. Sa propre sagesse, bonne qu'à n'être regrettée, revient lui mordre les fesses : le tout serait vachement moins chiant si elle avait de la chimie plus forte à glisser sur sa langue. At the very least, la douloureuse sélection musicale deviendrait supportable. L'intérêt modéré éprouvé précédemment pour le jeu en cours dans le salon s'est vu méchamment amenuisé depuis que ce dernier semble s'être changé en merry-go-round du passif agressif amoureux. Elle s'en passera. Les omoplates contre la cage d'escalier, à défaut de plus mémorable, Parker savoure la note de fond rythme-rudesse de son embryon d'ébriété. Suffisamment chrétienne pour savoir que le providentiel vient d'en haut, elle n'est même pas étonnée d'entendre une voix masculine rugir au dessus de sa tête. Passablement déçue de se rendre compte que le cri ne sonne rien de plus que les douze coups du festival de la masculinité toxique, qui serait oh so boring s'il n'était pas si terriblement déséquilibré. Un pauvre mec se mange non pas un mais deux fuckboys —et il suffit de ça pour qu'elle se redresse, les poings entonnant le refrain de la Star-Spangled Banner. Peut-être que c'est la projection qui tire sur l'empathie ; elle qui, ayant l'habitude de s'attaquer à des types qui font deux fois son poids, s'est souvent retrouvée du côté David du combat à armes inégales. Plus probablement, l'ennui sait saisir sa chance lorsqu'il l'aperçoit. Aucune envie de se mêler aux embrouilles des autres, pourtant le code d'honneur apparemment hérité des chevaliers de la putain de table ronde se hérisse. Unfair, par conséquent : ugly. Fuckboy #2 quitte le ring, tandis que le bourreau s'accroche à sa victime. De profil, elle s'aperçoit de son identité. Collins, ugh. "Mais lâche-le, sérieux." Les doigts de Parker se referment sur le poignet de Sullivan, cherchent à le déloger du col de son condamné à mort, mais il la repousse d'un violent coup d'épaule qui parvient à percuter à la fois son plexus, sa fierté, et la bouteille, résultant en un jet de vodka orange qui jaillit hors du goulot et atterrit sur son top. Parker baisse les yeux, laissant l'irritation se changer en rage de la façon la plus délicieuse qui soit. Maugrée un "ok that's it" du bout des dents, avant de déposer la bouteille sur une marche et se retourner vers lui. Index majeur, elle tapote son épaule, et ça ne rate pas. Répondant au plus vieux réflexe humain, Sullivan tourne légèrement la tête vers elle, attention immédiatement récompensée d'un straight-punch dans la mâchoire. Ça fonctionne : sous l'impulsion, il lâche prise. Le poing est serti de bagues, it will hurt like a bitch, mais elle n'a jamais rencontré de douleur qu'une petite pilule ne pouvait pas étouffer. "Deux contre un, vraiment ? T'as quoi à compenser mec ? Care to share?" Elle se glisse devant le mec martelé, moins par instinct de protection que goût pour le divertissement ; si Sullivan doit s'en prendre à quelqu'un, que ça soit elle. Que ça soit quelqu'un qui a envie de se défendre. Coup d’œil jeté au dessus de son épaule vers le punching bag : une de ses potes semble déjà le réconforter. Parfait. Parker n'a pas signé pour le social. Son activisme se limite aux phalanges qui commencent déjà à hurler.

@sullivan collins @adriel nightingal
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Babi Mancini
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 8 EmptyMar 28 Avr - 13:08

perchée sur le plan de travail, babi est heureuse d'emprisonner uriel avec ses jambes. elle l'a pour elle, juste pour elle. le sourire glisse facilement sur son visage. la gosse, elle oublie bien vite pourquoi elle était contrariée. ça n'a plus vraiment d'importance. tout ce qui compte maintenant c'est qu'elle appose sa marque à elle dans le cou d'hillstorm. le besoin de lui prouver qu'elle tient à lui, que c'est pas juste quand ils sont que tous les deux au bord de la plage mais que c'est valable quand ils sont avec d'autres, inconnus ou non. ses doigts à lui glissent sous son t-shirt, l'épiderme réagit dans la seconde aux caresses. ça apaise autant que ça électrise. chaque contact qu'il initie est une douceur sucrée à laquelle babi devient vite accro. encore mieux que la clope au réveil ou que le milk shake en plein après-midi. c'est doux, addictif et parsemé d'un goût de pas assez. parce-qu'il choisit leur endroit à eux, l'encre de leur tatouage, les quelques centimètres de sa peau qui ont une signification autant pour elle que pour lui. leur première rencontre, leur première connerie et la preuve que c'était écrit dès le début. la possessivité entre les lèvres d'hillstorm est une douce mélodie dont elle ne se lasse pas. alors le palpitant s'accélère, embarque sur un rythme plus soutenu. après avoir posé un baiser sur sa marque, babi se détache à peine de lui. juste assez pour le regarder. les sourcils se froncent, elle secoue la tête. « pas besoin que ça soit compliqué. » la gosse hausse les épaules, se mordille les lèvres et il vient relever son menton pour passer son pouce sur sa lèvre. babi n'est que légèreté et facilité. elle est persuadée qu'eux deux ça pourrait être simple, s'il était moins sur la retenue, s'il osait plus. les yeux bleus brillent de malice quand il cède, quand il la ramène au gage initial. la gosse hoche la tête doucement et elle sait que cette fois elle l'aura son baiser. il est tendre et parfait. les yeux fermés, le sourire étiré, elle ne bouge pas alors qu'il se détache de sa bouche. babi est en arrêt sur image. encore sur son nuage de douceur. uriel uriel uriel crié dans sa poitrine. sa question lui fait ouvrir un oeil, seulement un. « chut. je suis bien. » là, maintenant, avec toi. bourrée ou pas bourrée, c'est la dernière de ses inquiétudes. elle enroule ses bras autour de son cou avant de souffler contre ses lèvres « encore... » et elle sent, babi, qu'hillstorm est moins sur la retenue, prêt à céder à ses caprices et ses envies. pas besoin de jouer de ses airs de cutie longtemps, il revient contre elle. explosion de tout l'être de babi. le coeur, le corps, l'esprit. ça bouillonne d'excitation. elle plonge en se raccrochant à lui. il est autant bouffée d'oxygène qu'arrêt cardiaque. et elle a envie de grogner, de le frapper, de lui demander pourquoi il a attendu d'être dans cette cuisine pour vraiment l'embrasser. parce-qu'il arrive à la rassurer juste comme ça, en la serrant contre lui, en faisant d'elle son unique centre d'attention et en lui montrant qu'il a autant envie qu'elle. ses lèvres s'aventurent dans son cou. elle pourrait mourir sous sa douceur. la voix de parker dans la pièce d'à côté l'alerte, babi se redresse un peu plus. ses doigts continuent de jouer avec les mèches blondes dans sa nuque. « parker... elle a... » babi est inquiète de ce qu'il se passe à côté. une envie égoïste de fermer les yeux pour profiter d'hillstorm pourtant la culpabilité d'avoir laissé parker, sa nouvelle meilleure amie pour la vie -elle est persuadée que bientôt elles auront même un ship name digne des plus grands- l'emporte. pas sûre qu'elle servira à grand chose si une bagarre éclate mais elle ne peut pas rester là sans rien faire. pourtant les lèvres d'uriel viennent retrouver les siennes. sans doute pour la distraire, lui faire oublier cette idée absurde d'aller sauver le monde avec son poids de crevette, elle a aucune chance. sur le papier et dans la réalité. la tête tourne, mélange agréable entre l'attention d'uriel et l'alcool. parker quitte vite son esprit. babi vient poser sa tête contre le torse d'hillstorm, apaisée et heureuse. « je rentre avec toi pas vrai ? » elle connait déjà la réponse mais elle préfère s'en assurer. parce-qu'après ça, hors de question qu'il la ramène chez elle et qu'il l'embrasse sur le perron pour repartir. no way. babi, elle veut s'endormir dans ses bras et se réveiller dans le creux de son cou. « tu veux continuer d'aller jouer ? ou alors on peut aller fumer, j'ai des clopes. » la question est faible, peu convaincante. la gosse, elle n'a aucune envie de bouger. que ce soit pour aller dans le salon ou pour rentrer. son corps complètement reposé contre celui d'uriel, elle pourrait presque s'endormir dans la seconde si seulement son palpitant ne se la jouait pas tango endiablé. (@charming)
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Ocean Bloed
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 8 EmptyMer 29 Avr - 21:05

C'est un sourire presque radieux qui s'affiche sur son visage lorsque son amie répond, ayant totalement raison. De même pour cette fille plutôt proche d'elle qui répond également, sans faute. Après tout mieux vaut signaler la robe en tant que vérité plutôt que les deux autres propositions données. Un jeu reste un jeu et Ocean, fourbe de temps à autre, sait très bien en trouver une bonne utilité. « C'est exact. Celle que je porte actuellement. Jolie n'est-ce pas ? Je sais, je sais. J'ai de très bons goûts en plus d'avoir un certain talent. » Lancée de fleurs individuellement, rien de trop perturbant ni d'alarmant contrairement à ce qui semble se passer autour.

L'alcool. Encore et toujours l'alcool. Des verres qui s'entrechoquent en premier temps pour finalement laisser place à un début de carnage ; coups par-ci coups par-là. Pas de quoi s'affoler que la jolie se dit avant même de presque faillir attraper un poing non à sa destination, du moins, c'est ce qu'elle imagine. Et elle voit juste. À peine se décale-t-elle que c'est le nouveau visage, celui qu'elle a rencontré il y a à peine quelques minutes, en débarquant ici. Quel bordel. Les gars et l'alcool, un vrai bordel. « P i t o y a b l e. » qu'elle rétorque avant même de presque accourir, suivant évidemment Olivia et Adriel, direction la cuisine.

Quelques secondes passent avant que la brunette ose s'adresser à lui, se doutant très bien de la réponse. « Comment tu te sens ? » @adriel nightingal comme si elle qui se fichait de la présence de cette nouvelle rencontre en arrivant s'en préoccupait désormais. Peu importe, Olivia le connaissait et était son amie, elle ne quitterait donc pas la cuisine de sitôt. En tout cas, elle refusait de s'éloigner beaucoup trop d'elle au cas-où d'autres coups s'échapperaient. On ne sait jamais. Et quand bien même consciente de ne pas avoir plus de force qu'un gars alcoolisé, elle saurait se débrouiller pour éviter que son amie se prenne à son tour un coup. Hors de question qu'ça finisse par arriver. C'est comme si Olivia était sa protégée du soir. « Si besoin de se déplacer, dis-moi. J'irai chercher ce dont il y a besoin pour que tu puisses rester avec Adriel. » @Olivia Castel
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Charlie Hopper
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 8 EmptyVen 1 Mai - 22:24

si le sentiment que rien n'ira plus loin que sa chambre pour cette soirée est agréable, il devient rapidement dépassé, anéanti par une voix qui braie son prénom. parce que c'est tout l'effet animal que lui fait ce charlie qui résonne autant comme un appel qu'un avertissement et provoque un soupir plaintif. bande d'incapables, des sauvages dont elle se retrouve responsable alors qu'elle n'a rien demandé -du moins, c'est doux de se bercer de cette illusion qui lui lave les mains de l'action potentiellement débile qui se déroule à une volée de marches de là. trois minutes de répit, c'est tout ce qu'elle aura gagné et c'est définitivement trop peu alors qu'elle écrase la cigarette qu'à demi-consumée. pas besoin d'avoir des dons divinatoires pour supposer sans trop de peine que le clébard qui a gueulé son prénom, c'est ce demeuré d'adler, et que le bordel inclus nécessairement sully -pas foutu de tenir sa rage- et adriel -incapable d'autre chose que subir, aucun doute sur la question. les larmes essuyées d'un revers de main rageur, il s'agit de switcher les émotions avec talent, transformer la fatigue en exaspération sur fond de colère - parce que putain, elle en peut plus de ces cons -, aller foutre la faiblesse sur un porte-manteau et préférer le glaive aux apitoiements douloureux. rollercoaster émotionnel dont elle se serait bien passée, mais pour ça il aurait fallu tout prévoir beaucoup plus tôt, et maintenant que l'enchaînement quoi que logique mais néanmoins désastreux a débuté, plus moyen de reculer. la porte de sa chambre claquée, bis repetita, elle redescend pour trouver un spectacle qui n'a rien de surprenant, ne fait rien tressaillir sur ce visage fermé : sully qui exsude la colère, rusty qui ne sert à rien, adriel qui prend. il devrait le savoir pourtant, qu'on frappe pas un mec comme ça, c'est ni humain, ni sportif, ni respectueux, ni rien et la morale elle l'a sur le bout de la langue même si elle n'est certainement pas la mieux placée pour aller lui dire de mieux tenir son impulsivité. enfin hopper n'a jamais été dérangée par les discours qui pourraient se voir rétorqués cette bonne vieille histoire de la charité et de l'hôpital ; il est à peu près certain que sully n'y échappera pas, au flot de mots cohérent quoique mal venu dans sa bouche, les reproches, les t'es qu'un con putain, mais l'immédiat est ailleurs. éviter qu'adriel ne rentre chez lui avec un nez cassé semble un bon début. toutes ces responsabilités qu'elle n'avait pas vu venir en se disant qu'une soirée ça serait cool ça lui donne le vertige. le pilote automatique s'enclenche enfin, catalepsie chassée d'un coup d'épaule reçu par un mec qui veut juste se trouver une bière et récolte une bourrade plus violente que celle donnée par erreur, servie accompagné d'un casse-toi connard tout aussi charmant. mais après tout qui a besoin d'excuses, qu'il soit foncièrement un connard ou non, il sera toujours possible de lui faire payer la faute pour tous les autres individus de son espèce ; celle des sauvages, des sous-évolués, des mecs putain. "sully ! arrête !" elle s'étrangle sur ce prénom, elle aurait dû donner du sullivan, ça aurait eu plus d'impact, voudrait bien faire écran là où ce connard d'adler est passé à autre chose. elle a pas le tendance de se décider sur la conduite qu'elle voit parker lui en retourner une. ça l'a sèche, elle grimace, elle aurait pas voulu la prendre celle-là. elle les rejoint, s'en sent presque groggy sans avoir le temps de boire plus de deux gorgées d'un verre. elle avise le t-shirt, qui lui a semble-t-il plus bu qu'elle. "parker. sully allait voir dans le jardin s'il a pas de l'air à respirer là-bas justement." qu'elle annonce sans savoir qui elle protège. "tu veux un t-shirt ou t'aimes ton look de j'ai croisé un connard ?" le-dit connard qu'elle a bien l'intention de confronter, derrière son air détaché. elle réduit la distance, la paume se cale contre son torse, elle cherche à capter ses pupilles, histoire de lui retourner un regard noir, et peut-être, par miracle aussi, demander ce qu'il branle là ce con alors qu'elle lui avait demandé de rester avec elle avant que ça vrille. "et toi je peux savoir ce qu'il te prend ?" c'est purement rhétorique, il a pas besoin d'expliquer, ils savent très bien tous les deux. c'est pour la logique, pour ne pas rester sans voix, pour nier qu'ils se comprennent peut-être mieux en regards qu'en mots. et ce qu'il lui retourne lui rappelle qu'il a largement assez de lucidité pour lire tout ce qu'elle n'avait certainement pas envie de lui montrer : reconnaître que tout ça l'atteint, qu'elle est pas aussi solide que ce qu'elle s'amuse à crier partout, que la façade vacille tellement dangereusement qu'il se pourrait bien qu'elle ait pleuré. ça dure quelques secondes et c'est une éternité de solitude et de malaise de son point de vue, à ne pas savoir se détacher de son regard. fuck. elle détourne la tête pour arrêter ça là, couper court avant qu'il ne lui prenne l'idée d'ouvrir la bouche- et dieu soit loué, ça lui prend toujours milles ans et ça apparaît comme une foutue qualité sur l'instant. le rythme brutal de son cœur communique à sa paume toute la montée d'adrénaline qu'il s'est offert tout seul, et l'espace d'un court instant d'absence elle se demande pourquoi il s'évertue à la protéger quand elle est tout à fait à même, jusque là, de frapper sans son aide. "dehors. et t'avises pas de disparaître on a à se parler après." elle gronde autant qu'elle le supplie intérieurement."j'te jure que si tu te barres…" menace qui ne trouvera pas de dénouement, pas la peine, elle a déjà prouvé qu'elle savait très bien revenir chez lui, et il ne la privera pas de son instinct reproches saveur charlie, pas aujourd'hui, pas ce soir. fiasco de bout en bout, elle a perdu patience – cette même patience qu'elle en possède pas vraiment de toute façon. "adler ! tu branles quoi putain, tu te crois où ? tes deux neurones ont cru que c'était intelligent d'aller frapper ail—" bon. tant pis. elle abandonne quand il reçoit un accusé de réception, ces deux là et leur plante verte de compagnie (poke villin) ne méritent sous doute pas de son énergie.  intérieurement la prière tourne autour d'un vœu de mort partagée, qu'ils s'entretuent, deux fuckboys de moins sur la planète ça serait un putain d'acte militant très bon pour le karma national. adriel s'étant trouvée une infirmière elle abandonne, ça lui évitera de l'encastrer dans la faïence de la salle de bain et de l'achever de ses propres mains s'il a le malheur de dire un mot de travers. elle lui en veut approximativement pour deux ou trois vies, du moins c'est comme ça qu'elle voit les choses tant que la colère coule dans ses veines et qu'on ne lui laissera pas le répit nécessaire.

@rusty adler l'intelligent @sully testropcon @park-love @adriTheStrongAhah
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Sullivan Collins
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 8 EmptyMer 6 Mai - 19:20

le regard fixé sur le dos d'adriel, sully ne voit rien d'autre. la colère jusqu'au bout des doigts, il marche à l'instinct. sans réfléchir au public, à la soirée ou même à être rationnel. rien à foutre. le simple souvenir de la trace à peine visible -heureusement- dans le cou de charlie suffit à le mettre hors de lui. pas le moment d'être sur la retenue et d'être réfléchi. là, tout de suite, il veut juste le buter et le faire payer d'avoir osé l'approcher. rusty, l'ami, ne pose aucune question, il agit. et sully lui offrira un verre, se bouffera les lèvres la prochaine fois qu'il aura envie de l'envoyer chier, c'est juré. adriel est arrêté et sully bondit. c'est rapide, jouissif et violent. un coup suivi d'un deuxième. ça bouillonne à l'intérieur. la raison de la colère est évoquée sous la forme d'une menace nullement surprenante. même si ce con doit très bien savoir pourquoi il  le prénom de charlie crié juste à côté arrête sully pendant un temps. l'attention est tout de suite perturbée par ces quelques lettres qui l'alertent de suite. le regard noir vers rusty. pourquoi il l'appelle ? qu'elle reste en haut, safe et loin de nightingal. et au fond, sully, il sait qu'elle va être énervée de le voir comme ça : impulsif et juste con. alors il espère simplement qu'elle n'entendra pas, qu'elle se fera aussi butée qu'habituellement et qu'elle continuera à fumer sa clope dans sa chambre. mais les yeux noirs basculent de nouveau vers adriel. le sang monté jusqu'au cerveau, les phalanges ne brûlent pas assez. il est habitué à pire, sully. le sac de boxe usé et tabassé chaque semaine. et si ce soir c'est le visage d'adriel qui le remplace, il veut retrouver les mêmes sensations. satisfaction, plaisir et soulagement. et s'il faut qu'il attende d'entendre un os craqué ou voir le sang couler, il le fera. patient et passionné. le poing est de nouveau levé quand rusty le pousse en arrière. sully grogne comme simple réponse. frustré d'avoir été coupé dans son mouvement. il secoue la tête, essaye de reprendre ses esprits, concentré sur son meilleur pote même si le regard vire derrière, sur le adriel pour s'assurer qu'il ne fuit pas comme un lâche. la man gauche est secouée le long du corps. la sensation des tiraillements sur ses phalanges lui apportent satisfaction. « c'est tout réfléchi. » la voix gronde autant que les yeux électrisent. « je vais le buter. » il pèse ses mots, sully. il ne fait pas dans la demi-mesure, pas quand ça la concerne elle. rusty attrapé dans un autre coin du salon, sully récupère le col d'adriel. il est prêt à lui en foutre autant qu'il faudra pour qu'il assimile que charlie est off limits. des doigts s'accrochent à son poignet dans l'espoir qu'il le lâche. un regard furtif sur celle qui s'aventure là où elle ne devrait pas. parker. regard noir, déclaré chevalier blanc de nightingal. sully n'en a rien à foutre de son avis. qu'elle continue de boire sa bouteille sans s'interposer. coup d'épaule, mal géré et sans doute trop violent pour ce qu'il voulait réellement faire, elle est percutée. assez pour reculer et pour renverser le contenant de sa bouteille sur son top. et dans un autre monde, plus calme, sans adriel, sans cette histoire de suçon, sans une charlie énervée, sully se serait excusé mais il ne maitrise pas ses nerfs là tout de suite. l'impulsivité prime sur la rationalité ou le bon sens. son surnom dans son dos, voix reconnaissable entre milles. il jauge rapidement la gravité de la situation. pas de sullivan, il reste sully donc pas si grave que ça, ça se réparera. il n'a pas le temps de se retourner, de réagir qu'il sent un tapotement sur son épaule. visage retourné, sully rencontre le poing de parker dans la mâchoire. grognement lâché, adriel est sauvé et les bagues de calverley s'impriment comme un douloureux souvenir sur sa peau. « c'était pas gratuit. » la défense est faible. sully sait pertinemment qu'il a une part des torts. mais il n'arrive pas à redescendre en pression. encore moins quand il le voit s'éloigner avec une de ses potes. bordel. « il a touché à charlie. il lui a... » c'est trop dur à dire. suçon. rien que l'idée qu'adriel se soit imaginé avoir le droit le rend dingue. assez pour réchauffer ses poignets et y retourner. il peine à trouver ses mots, s'empêche de la dégager pour continuer à défigurer l'autre con mais charlie s'interpose entre eux deux. « bon crochet. » qu'il lâche à parker. pour ce que ça vaut, il peut au moins reconnaitre qu'elle a visé juste et bien. il souffle, sully. il sait qu'il va déchanter. bien loin de marquer des points auprès de charlie en frappant son meilleur pote. elle a qu'à mieux les choisir ses potes, qu'elle évite les mecs pseudos gays qui la regardent avec amour. ça sera un bon début. l'attention est perdue sur sa mâchoire et sur son poing gauche. bien vite rattrapé par la paume de charlie sur son torse. le regard se lève dans la seconde. il y trouve, sans surprise, de la colère. mais il s'en fiche pas mal de ce qu'elle pense. lui tout ce qui lui importe c'est que le geste n'ait pas été impuni, qu'adriel ait compris et qu'il n'osera plus. les mots de charlie s'évaporent, il n'y répond pas, tout ce qui compte c'est ce qu'elle ne dit pas. ce sont les yeux rougis, les yeux brillants, les larmes chassés à la main avant de descendre. charlie a pleuré. sa charlie a pleuré et il l'a laissé seule. putain. il a merdé. sur toute la ligne. le torse se gonfle, les sourcils se froncent et le besoin d'aller choper l'autre con pour noyer sa propre culpabilité est puissant. pourtant l'envie contraire semble plus forte. la prendre dans ses bras, l'amener loin de tout ce bordel, la consoler. est-ce qu'il en a le droit ? joker. et il devrait pas caresser sa pommette avec sa main blessée, ça finit simplement par laisser un peu de sang sur son visage usé par la fatigue et la connerie masculine. mais il le fait, il lui dit je sais, j'ai vu, je suis désolé, j'ai été con. pourtant elle détourne la tête et ça fait mal de s'apercevoir qu'ils sont incapables de se regarder sans que ce soit douloureux. les mots sont là, sous le palais mais ils ne sortent pas. habituel. il s'attend à ce qu'elle le vire, qu'elle le foute dehors et il espère qu'elle frappera à sa porte dans la nuit pour qu'ils s'expliquent. pourtant c'est tout l'inverse. une invitation, non, une menace pour qu'il reste. « je ne m'excuserai pas pour lui. » c'est dit, c'est clair et net. qu'elle rêve pour l'entendre s'excuser pour avoir frappé l'autre con. sully ne changera pas d'avis. les nerfs ne sont pas encore calmés, la possessivité réclame à être criée mais il entend juste qu'elle ne veut pas qu'il dégage. bon signe. il attrape le paquet de clopes qui dépasse de sa poche arrière, une clope glissée derrière l'oreille, une autre entre les lèvres, il replace le paquet là où il était avant de se détacher d'elle. un regard vers rusty qui semble avoir trouvé son propre punching bag, il secoue la tête avant de retourner dehors. il aurait peut-être dû y rester. ne pas rentrer à l'intérieur, ne pas jouer, ne pas l'embrasser. et ça lui pince le coeur de savoir, après-coup, que charlie a pleuré sans avoir été là pour elle. soirée de merde. ( @charlielove @parker calverley @adriel nightingal @rusty adler)  
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Adriel Nightingal
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 8 EmptyVen 8 Mai - 10:01

il ne comprend rien à ce qui se passe adriel, ça s'enchaîne trop vite pour son cerveau embué par l'alcool et son engueulade avec charlie. alors qu'il essaie de sortir de la maison, il est percuté par un rusty avant qu'un sullivan enragé descende les marches, le rejoigne pour écraser son poing dans sa gueule, non pas une, mais deux fois. et ça bouille à l'intérieur, il aimerait pouvoir répliquer, répondre qu'elle est assez grande pour se défendre toute seule, qu'elle a pas besoin de lui pour ça. qu'elle avait déjà sûrement prévu de l'engueuler le lendemain, et que venant d'elle il ne se serait pas formalisé. mais venant de collins, ça lui donne juste envie d'être capable de faire preuve de la même violence, de pouvoir lui rendre coup pour coup pour lui remettre les neurones en place. mais non, adriel est loin de prôner la violence, et comme toujours il se laisse faire, il encaisse, comme il a l'habitude de le faire depuis ses dix ans. sullivan n'est clairement pas le premier à le frapper, et ce ne sera certainement pas le dernier. adriel, la cible facile, celui qui ne se rebelle jamais, trop doux, trop calme pour frapper à son tour, il n'a jamais comprit l'intérêt de communiquer avec ses poings. il pourrait lui répondre que si charlie ne veut plus qu'il l'approche, elle lui dira elle-même, qu'il ne prendra pas d'ordre de lui, mais à quoi bon. ça ne ferait que l'énerver encore plus. il baisse les yeux, prêt à subir, puisque de toute façon c'est perdu d'avance. il remarque vaguement parker qui s'interpose, puis c'est olivia qui vient la première s'inquiéter de son état. rien de plus que ce que j'ai l'habitude. qu'il lâche dans un soupir alors qu'il porte sa main à sa mâchoire pour évaluer l'étendue des dégâts. au moins ça n'a pas l'air de saigner. il remarque charlie qui débarque du coin de l'oeil, et il détourne les yeux. de toute façon il sait très bien que ce n'est pas pour lui qu'elle descend, et ça commence à le lasser, d'être là, toujours présent, toujours prêt à lui filer un coup de main quand elle en a besoin, pour au final toujours passer au second plan. le bon petit chien loyal qui répond toujours quand on l'appelle. sans un regard pour elle, il accepte l'aide d'olivia pour se relever, se dirige avec elle et son amie - ocean, s'il se souvient bien du début de soirée - vers la cuisine. il aurait envie de pleurer, de hurler, mais il est trop blasé par ce qui vient de se passer. il doit y avoir de la glace dans le freezer, là-bas. il se laisse tomber sur un siège alors qu'il indique du doigt, comme s'il était chez lui. ce qui est à moitié le cas, quand on y pense. il se tourne vers celle qu'il croise régulièrement à la patinoire. merci olivia. puis il se tourne vers son amie, le regard désolé. vraiment vous avez pas à vous en occuper, je voudrais pas que vous ne profitiez pas de votre soirée. vous êtes venues pour vous amuser, pas pour jouer les infirmières... c'est plus fort que lui, il se sent obligé de s'excuser de les avoir entraîné là-dedans sans le vouloir.

@charlie hopper @olivia castel @ocean bloed @sullivan collins
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Darcy Oswald
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 8 EmptyDim 10 Mai - 4:21

la double face d'une même pièce qui se révèle, quand l'ivresse prend enfin ses quartiers au creux de tes tripes et que cette étrange substance affluant dans tes veines libère son poison, 'darcy' s’endort et se retrouve remplacée par son reflet contemplatif. alter-ego flottant au dessus de son corps, cette version intoxiquée de toi-même te paraît être d'un confort trop plaisant pour la laisser filer. devant toi, le monde tourne au ralentit, vibre au rythme des basses et te semble plus étranger que jamais. ton corps est peut-être bien présent, mais ton esprit, lui, voyage dans la dimension astrale, survole les invités d’un œil vitreux. et sur ce nuage cotonneux qu'on appelle le high, la voix de lyra vient transpercer ta petite bulle à coup de questions plus futiles les unes que les autres. - euh pas vraiment non. et, si tu peines à articuler une réponse claire, la brume enveloppant ton esprit ne t'empêche pas de remarquer que la blonde est gênée. tu ne peux pas la blâmer ; toute cette situation est la définition même du cringe worthy. autour de toi, ça crie, ça rie, ça se roule des pelles comme si le monde arrivait à sa fin, le drama lycéen prenant une ampleur dépassant les limites du ridicule. mais, amère de ton apathie face à tout ça, tu ne peux pas t'empêcher de les jalouser. d'envier cette effervescence adolescente, cette excitation pure à l’idée de vivre, ces émois pathétiques auxquels tu n'as jamais vraiment goûté. parce qu'à seulement seize ans, t'as l'impression de ne déjà plus rien ressentir de "réel", d’être dans une phase d’introspection qui ne se termine jamais. tellement déconnectée de la réalité que n’en fais même plus partie. tu mets un bon moment avant de remarquer que lyra et les autres ont disparus. et tu te retrouves là, seule, assise dans un coin de la pièce comme un mouton qui aurait perdu son troupeau, à la recherche du visage familier de maddie, comme dernier recours avant la montée de panique. bien sûr, elle s'est déjà volatilisée, sûrement préoccupée par bien d’autres choses plus intéressantes que toi. et comme une réaction primaire, comme la peur infantile d’avoir perdu son point de repair dans un grand parc d’attraction, l’air se bloque entre les cordes de ton larynx pour former une boule chaude dans ta gorge. soudainement, observer l’agitation environnante te semble beaucoup plus anxiogène qu’auparavant, et les effets de la pillule que tu as pris plaisir à avaler catalysent l’anxiété qui naît en toi. ton regard se fixe sur la porte de la pièce la plus proche, et celle-ci semble grossir de manière cartoonesque sous tes yeux, comme la manifestation d’un refuge inespéré s’offrant à toi. tu précipites tes mouvements pour enfoncer la porte, sans prêter quelconque attention à ce qui pourrait se trouver derrière, et pourtant tu n’es apparemment pas la seule à chercher à reprendre un peu ton souffle dans cette cuisine. un garçon à la gueule mal en point et deux filles qui s’évertuent à lui poser des pains de glace sur la mâchoire te dévisagent alors que tu t’écrases contre le frigo dans une respiration saccadée, le regard brillant et les pupilles presque plus larges que tes iris. - désolée.
 
@lyra keegan @adriel nightingal @olivia castel @ocean bloed
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  - Page 8 EmptyLun 18 Mai - 11:24

sasha écoute la douce qui se contredit elle-même entre ce que la bouche renie et ce que le corps affirme. coupée dans son élan par le fil de sa pensée, elle vient confirmer ce que sasha présumait jusqu'à présent, et son amour pour la poupée du villin n'en est que décuplé au centuple. les yeux qui roulent alors qu'elle s'imagine mille et une façon de lui faire ravaler sa fierté pour lui faire payer l'affront d'avoir osé mettre sa douce dans cet état. le rire sarcastique au fond de la gorge à la mention des goûts du prince en carton, elle ne peut s'empêcher d'approuver. "à qui le dis-tu... faut croire qu'il aime ça, être à la botte de pseudo reines de balles, obéir au doigt et à l'oeil." comme l'autre imbécile pour qui la gutts à le coeur en miette, à cause de ses sursauts de révolution qu'elle se ferait un plaisir de lui faire ravaler. plus tard. pour l'instant, elle se doit de recoller les morceaux, de remettre la douce sur pied alors qu'elle passe son bras autour de ses épaules quand dulcie pose son front sur son épaule. la main qui vient caresser les cheveux par reflex, dans une tentative de venir apaiser les tremblements qui s'invite dans sa voix légèrement trop aiguë pour berner sasha quant à la blessure intérieure qu'elle essaie de garder pour elle. "t'en fais pas pour moi, il en faut plus que ça pour m'envoyer par le fond." le murmure qui s'échappe des lèvres alors qu'elle essaie de réconforter l'autre. il déjà su être plus incisif par le passé, sans le vouloir, probablement, récoltant les foudres d'une sasha blessée dans son orgueil sous la forme d'une main abattue sur sa joue. "si tu veux rester, on reste, mais tu sais, tu lui dois rien. ni à elle, ni à lui." préserver la façade de celle que rien n'atteint, peu importe si de l'intérieur elle se désagrège, c'est quelque chose que sasha n'a encore pas réussi à comprendre. mais si l'autre veut rester, elle restera. hors de question de la laisser seule face à ceux qui n'en on rien à faire, de ce que leurs actes ou paroles peuvent avoir comme impact sur celle qui est bien plus fragile qu'ils ne le pensent. "bon, je crois que les sept minutes sont passées. haut les coeurs." elle se redresse, encadre le visage de dulcie de ses mains avant de poser ses lèvres sur son front, dans une dernière tentative de la réconforter. elle ouvre la porte du placard sur un lloyd qui apparemment s'est mangé un point dans la figure, et ça lui arrache un sourire. sourire qui s'efface instantanément lorsque les iris se pose sur sohan qui se tient docile dans l'ombre de romy. "il se fout de ma gueule." elle gronde, les dents serrées. il n'aura pas perdu de temps. les yeux qui lancent des éclairs avant de se tourner, inquiet, vers dulcie. elle attrape sa main et la tire à sa suite, impérieuse alors qu'elle l'entraîne vers la sortie. elle se tourne vers elle une fois la porte franchie, le calme retrouvée, loin des regards indiscrets. "fais ce que tu veux, mais je resterai pas une seconde de plus à les regarder convoler pendant que tu souffres à côté."

@dulcie gutts @sohan cadburry @romy wilson
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