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 when i rip (tc)

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Charlie Hopper
Charlie Hopper
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MessageSujet: when i rip (tc)    when i rip (tc)  EmptyDim 29 Mar - 11:35

les parents partis rendre visite à un oncle, les deux frères en soirée, c'est l'opportunité de l'année pour massacrer ou laisser les autres massacrer la maison, tout en se jurant que le premier qui vomit meurt dans d'atroces souffrances - mais pas avant d'avoir nettoyé. les offres pour boire à l'oeil n'ont généralement pas besoin d'être clamées bien fort pour rencontrer un certain succès alors l'invitation a été lâché avec nonchalance à deux ou trois personnes, avec la mention, invite qui tu veux si bien que ça n'a pas traîné. les trucs potentiellement dangereux ont été rangé -surtout les foutues photos de famille, personne n'a besoin de voir charlotte hopper en jupette et couettes dans les bras des frangins. le doigt est longtemps resté en suspens sur le nom sully dans le répertoire, inviter, pas inviter, difficile de trancher entre deux personnalités qui hurlent chacune une réponse opposée pour finalement trancher que quelqu'un se chargera bien de l'en informer, reste à savoir s'il osera mettre un pied là. et si la réponse est non, en découlera peut-être une consommation abusive d'alcool pour supporter les potentiels fuckboys aussi insipides que du papier mâché.

"adriel ! bouge ton cul putain."
la délicatesse à l'état pur quand elle finit de renverser le rhum bon marché dans le punch et tente de fermer son jean à une main. le multitâche connait ses limites que charlie ignore quand elle braie pour la troisième fois le prénom de celui qu'elle a embarqué dans les préparatifs d'une fête à l'arrache. les premières personnes sont là mais c'est pas le gala de médecins du monde, elle a pas prévu de les accueillir, de prendre leur manteau et leur souhaiter une bonne soirée. elle remplit deux verres, accueille un type d'un bouge sur soupçon de hargne naturelle et retrouve adriel pour lui mettre le verre dans la main. "cheers. il risque d'être un peu chargé j'ai pas voulu me faire chier avec les dosages", qu'elle prévient en riant. elle trempe à peine ses lèvres, surveillant vaguement les têtes de plus en plus nombreuses. "j'espère qu'on prendra pas les flics." seize ans, l'alcool, la fête, une bonne façon de se faire bien voir des parents si un de ses frères doit venir la chercher au poste mais pour l'instant ça l'amuse, elle ne prend pas les choses au sérieux, cherche des regards connus. "je te préviens ce soir on te trouve quelqu'un. t'as invité des gens que tu connais ?" il est toujours trop seul au milieu des filles, et même si elle l'adore au sein de leur groupe, elle voudrait combler l'âme pseudo romantique -ew- du nightingal. et s'il ne se décide de lui-même qu'importe, elle trouvera bien proie à forcer dans ses bras, reste à savoir qui.


kiss kiss bang bang ?:


@adriel nightingal
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Ocean Bloed
Ocean Bloed
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  EmptyDim 29 Mar - 14:41

ocean, c'est le genre de fille qui peut aussi bien sourire que rester le regard haineux coincé dans le tiens. et lorsqu'elle s'aperçoit du fait que finalement, la soirée prévue auprès d'un inconnu ne se ferait pas, que celui-ci venait royalement de se foutre de sa gueule, elle a la rage profonde. le pire ? c'est qu'elle ne peut même pas entrer dans ce cinéma, étant donné qu'il est actuellement fermé. alors oui, pas de gars, pas de film, rien de tout ce qui était prévu ne se produira.

c'est pourquoi, plutôt que de rester plantée trop longtemps face au ciné, elle sort son téléphone, regarde les dernières notifications reçues. ouais, pas grand chose d'intéressant. ce, jusqu'à ce qu'elle lit, via l'un de ces réseaux sociaux qu'elle a tant l'habitude d'utiliser, qu'une soirée est organisée par une certaine charlie. Charlie... quelques secondes de réflexion avant de comprendre que ce n'est autre qu'une autre élève de Silver. bon, pas très flatteur ; elle qui figurait parmi les étudiants de GOS autrefois, ça ne l'enchantait toujours pas de figurer auprès des bleus argents. mais puisqu'elle préfère l'amusement à l'ennui, et après tout ça pourrait lui permettre de rencontrer d'autres personnes, elle décide de prendre en compte l'adresse et de s'y rendre.

contrairement aux autres fêtes ou autres petits événements organisés, elle ne ramène rien avec elle. c'est simplement fringué en robe de soirée - elle risque d'avoir l'air bien conne, d'ailleurs - qu'elle débarque, téléphone toujours en main - comme si ça lui servirait d'arme en cas d'approche de personne loin de lui déplaire d'apparence - s'apercevant dans un premier temps qu'il y a déjà pas mal de monde qui, jusqu'à présent ne lui parle que de tête. salutations. c'est bien ici, la soirée intéressante ? oui parce qu'elle n'avait pas pris le temps de lire plus que ça, ignorant totalement ce qui était prévu lors de cette soirée.
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Adriel Nightingal
Adriel Nightingal
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  EmptyDim 29 Mar - 16:04

Le grand soir est là, et ça y est, il stress. Comme toujours quand il se retrouve seul avec Charlie, qui lui donne des palpitations, comme quand on boit trop de café. Il a toujours senti qu’avec elle, c’était différent, qu’il ne la voyait pas juste comme une amie, mais depuis qu’ils se sont embrassés avec Abi, il en est sûr. Gay Adriel is not so gay after all. Il l’avait toujours plus ou moins su, mais à force de se l’entendre dire, il avait fini par avoir des doutes sur ce qui l’attirait vraiment, sur sa propre orientation. Mais maintenant, c’était clair comme de l’eau de roche : son cœur battait pour les femmes. Plus aucune hésitation. Sauf que voilà, Charlie avait un amour tout particulier pour la gente masculine, et il pouvait pressentir qu’elle ne serait pas du genre à prendre la nouvelle avec le sourire, encore moins à l’accueillir à bras ouvert. Et en même temps il ne supporte pas de lui mentir. Mais rien que la perspective de pouvoir la faire souffrir… Il en a des frissons rien que penser. Alors il utilise sa technique favorite depuis toujours : le repli. Il garde toutes ses émotions pour lui, enfouie tout ça bien profond, et ne lui offre que son plus beau sourire, prêt à l’aider comme il le peut. A deux, ils ont passé un temps fou à mettre la maison en ordre selon les critères Hopper, mis toutes les photos de famille en lieu sûr, loin des yeux indiscrets, avec les quelques objets fragiles du salon.

« Je fais ce que je peux, Charlie ! » Il lui répond de l’autre bout du salon où il vide des paquets de chips dans des saladiers répartie un peu partout, alors que le salon commence déjà à se remplir. Il parcourt les différents visages, à la recherche d’une tête connue, guette l’arrivée d’Abi comme s’il attendait le Messie. Parce que les soirées de Charlie, il les connaît. L’alcool à profusion, Sully qui s’amènera probablement dans la conversation à un moment donné, s’il ne se pointe pas tout court. Il ne manquerait plus que quelqu’un ait l’idée lumineuse de lancer un bon vieux jeu de la bouteille pour qu’il se retrouve avec des sueurs froides. Il marche déjà assez sur des œufs comme ça, sans avoir besoin qu’on lui rajoute une couche de stress en plus, merci. En parlant de stress, Charlie s’amène avec deux verres. Ils trinquent, et il porte le verre à ses lèvres, avant de fermer les yeux, pris par surprise par la dose d’alcool. « Un peu chargé ? T’es sûre que t’as pas oublié le jus de fruit et que t’as pas juste vidé la bouteille de rhum ? » Il rit avec elle avant de prendre une nouvelle gorgée. « Tant qu’on se tient un minimum, ça devrait aller non ? A moins que tes voisins aient quelque chose contre vous, y a pas de raison qu’ils appellent les flics. No stress. » Elle mentionne sa vie amoureuse et il ressent un léger pincement au cœur alors qu’elle fait des plans sur la comète pour lui. Il se réfugie dans son gobelet – à ce rythme là il va finir ivre avant que tout le monde ne soit là – esquive la remarque d’un rire nerveux. « J’ai invité Abi, of course, et quelques copines. Et toi ? T’attends qui ? » Sully ou pas Sully ?

@charlie hopper
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Sullivan Collins
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  EmptyDim 29 Mar - 18:02

il s'y attendait pas à celle-là. apprendre de la bouche de son petit frère de douze ans l'existence d'une soirée chez charlie ce soir. it definitely hurts. il soulève un sourcil, hausse les épaules et dit rien, sully. parce-qu'il n'a pas de réponse à donner. il ne le savait pas et il veut pas passer pour le mec au courant de rien en plein repas familial. pas encore une fois. cinq paires de yeux le fixent attendant une remarque de sa part mais ils se retrouvent face à son mutisme habituel. son assiette lui parait soudainement passionnante et lui offre un moyen peu subtil d'éviter cette conversation. parce-que ça ne fait que le renvoyer dans sa solitude. les entrainements, les cours et le baby-sitting rythment sa vie. pas le temps de sortir. encore moins l'envie. il n'aime pas se mêler aux foules. avant, il y avait charlie pour le trainer. maintenant, plus personne. repas fini, table débarrassée, l'ado remonte dans sa chambre sans savoir quoi faire. il fouille sous les feuilles sur son bureau pour trouver son portable. rien. aucun message. sans surprise. sur quelle planète charlie l'inviterait ? pas celle-ci. elle ne lui doit rien, absolument rien. qu'elle s'amuse, qu'elle boive, qu'elle profite. elle viendra probablement sonner à sa porte à cinq heures du mat complètement bourrée pour lui reprocher son absence. bien le genre hopper. insupportable sobre, cute au possible ivre. alors il s'occupe. il attrape son bouquin de géographie et avance sur sa dissertation pour la semaine prochaine. pas concentré, il en vient à déchirer quatre brouillons. et il finit par céder. la savoir avec un gobelet à la main dans la masse, ça lui plait pas. suffisamment grande pour se défendre, il estime pourtant être le seul à la protéger d'elle même. irresponsabilité, danger et immaturité. traits de caractères de la teigne hopper qui ne font que s'accentuer quand elle trempe ses lèvres un peu trop longtemps dans l'alcool. il attrape sa veste à capuche, ses clopes, ses clés et redescend. il crie à ses parents qu'il part. sa mère le rattrape avant qu'il ait ouvert la porte d'entrée. un baiser sur sa joue, un sois prudent et dis lui bonjour de ma part soufflé puis il sort. il grogne. sa mère, première fan de charlie hopper en ville. depuis toujours, malgré la rupture. prête à l'inviter à manger dès que l'occasion se présente, maman collins ne semble pas comprendre les mots fini, séparation, célibataire. il a appris à ne plus rien dire. simplement hocher la tête. ça suffit pour la rassurer et la convaincre qu'il passe le bonjour à chaque fois qu'il la croise. faux. ça ne ferait que remuer le couteau dans le coeur la plaie. le chemin est connu par coeur. il pourrait y aller à l'aveugle. une fois arrivé devant la maison, les souvenirs le submergent. il se pose sur le trottoir d'en face, regarde la foule rentrer. lui, il est incapable de rentrer. il enchaine les clopes. le regard médisant sur chaque personne qui a été invité. eux l'ont été. p a s  l u i. le paquet quasiment vide, une cigarette qui se sent bien seule lui fait de l'oeil. partir, rentrer. il en sait foutrement rien. probablement qu'il est pas le bienvenu. elle fait chier à lui bousiller le cerveau à la moindre occasion. comme si c'était déjà pas suffisant qu'il arrive pas à passer à autre chose. fuck it, elle ne gagnera pas. pas ce soir. capuche enlevée, il finit par se glisser dans la foule. le regard perd pas de temps à la trouver. elle brille parmi tous les visages. comme à chaque fois. il attrape un gobelet à la volée, se sert un verre sans savoir de quel alcool et s'avance vers elle. toujours avec l'autre mec. pas foutu de la lâcher, celui-là. sully s'approche juste assez pour que son épaule touche celle de charlie. il ne lui donnera pas plus. un simple regard, un simple souffle «  t'as perdu mon numéro ? ou il réapparait seulement à 5h ? » ça brûle sur la langue. le reproche pique et se veut volontairement poignant. et il se casse. juste comme ça. parce-qu'il ne fera pas dans le social et qu'il sait même pas ce qu'il fout là. probablement qu'il va se barrer dans moins d'une heure. il s'éloigne pour aller côté jardin. il ne supportera pas de rester à l'intérieur dans la foule. très peu pour lui. il grogne face à son paquet tristement vide. il refuse de toucher à sa dernière clope ou alors... une fois son paquet fini, il s'aventurera dans la chambre de charlie parce-qu'il sait pertinemment où elle cache les siens. tentant. deal. il attrape sa dernière clope pour l'allumer. charlie mérite bien de voir son stock se vider. 

mentionnés : @"charlie la teigne hopper" @adriel nightingal
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Parker Calverley
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  EmptyDim 29 Mar - 20:01

Parker maintient la porte d'entrée ouverte avec sa hanche le temps qu'Adri la rattrape. Elles se glissent dans l'embrasure à la suite de trois Mary Sues qui hurlent du Migos. Cue le dramatique roulement des orbites. Possible que ça fasse trois ans qu'elle est au lycée avec elles, il n'empêche que pour Parker —qui n'a que deux modes, ride or die et who the fuck are you— toute personne sous ce toit n'étant pas Adri est un inconnu jusqu'à preuve irréfutable du contraire. À peine entrées, épaule contre la cage d'escalier, Parker les arrête. Pour sceller la camaraderie, elle lance les hostilités. Sort une flasque de sa veste, la sociabilité liquide qui clapote à l'intérieur, invitant Adriana à en faire de même. "Bottoms up." Coudes entrelacés, gorges offertes, elles sonnent les douze coups de la soirée. La tequila, précautionneusement transvasée de la bouteille aux flasques sur le parking d'un 7-Eleven quelques douze minutes plus tôt, rencontre les lèvres et y fleurit aussitôt en un smirk complice. Le shot est un risque : pas de designated driver, et advienne que pourra. C'est surtout la signature au bas d'un contrat. Elles arrivent ensemble, elles repartiront ensemble, having each other's back et tout le bordel. Et peut-être que si Parker sirote suffisamment vite, suffisamment furieusement, sur un estomac suffisamment vide, elle arrêtera de ressentir l'absence de Cruz comme un membre fantôme. Qui réussit, même en ayant pris ses distances, à revêtir toute la subtilité du pachyderme dans la pièce, se glissant sur la banquette avant entre leurs deux silhouettes, pénétrant la maison à leur suite. Elle désapprouverait. Pour un peu changer. En un seul froncement de lèvres, parviendrait à juger la déco, Parker, le choix de tequila et l'entièreté de cette bourgade de ploucs qui est si terriblement en dessous d'elle. Oh well, les absents ont toujours tort. Pilule blanche matérialisée à l'intérieur de la veste, qui disparait aussitôt sur la langue dans une seconde lampée. Parker anticipe la protestation d'Adri, éteint la controverse avant qu'elle ne puisse naître. "Relax, c'est du paracetamol." Ce qui n'est que la pure vérité, étant donné que depuis que Cosmo est à l'ombre, ra-tion-ne-ment est le maître mot. D'un geste nonchalant de menton, elle désigne son épaule, qui grince et pulse depuis des mois. "Le match hier était brutal. Speaking of which... On doit éviter qui ?" Aucun putain de moyen que l'ordre du jour ne contienne aucun ennemi ; elles en font la culture et la récolte. Et si, entre fight et flight, Parker a toujours été farouchement du premier camp, dans l'état —les ongles vernis à neuf, l'épaule bancale— ce soir semble le moment parfait pour s'essayer au pacifisme. (@Adriana Garcia)
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  EmptyDim 29 Mar - 22:09



so raise your glass if you are wrong
in all the right ways

patience et ouverture d'esprit. ça doit être pour ça qu'aspen passe la porte d'une maison qu'elle ne connaît pas. une maison pleine de silver, une maison où rien n'a de réelle valeur. une maison où elle ne se sent pas forcément à l'aise. elle sait pas ce qu'elle fout là. les filles de la royauté refusent de sortir à cause des exams qui approchent et elle doit juste se changer les esprits aspen. parce que y'a tout qui se complique dans sa vie et elle doit boire pour oublier. alors forcément elle a entendu les imposteurs de golden parler d'une soirée (les imposteurs étant les pauvres de golden). elle a enfilé ses fringues les moins chers pour tenter de se fondre dans la masse, mais même là elle a l'impression de se faire tâche. bien trop distinguée et classe pour se retrouver dans un tel endroit. elle avance, évitant les regards et toute autre salutation pour se retrouver face à l'alcool. le premier verre est rapidement terminé et le second va suivre. il va falloir au moins ça pour se mettre dans l'ambiance.  

Spoiler:
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Charlie Hopper
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  EmptyDim 29 Mar - 22:57

elle présente majeur comme première réponse, parce que si elle a eu la main lourde elle n'est pas prête à le reconnaître, et tout le monde s'y fera, surtout après un verre. "mes voisins ont connu les fêtes des frangins, je sais pas si ça aide à avoir des bons rapports." elle plaisante qu'à moitié mais qu'importe ils survivront tous autant qu'ils sont. "tu viendras me rendre visite quand mes parents m'auront privé de sortie pour les vingt prochaines années." elle appuie brièvement sa tempe contre son épaule, un quart de seconde, trois fois rien. pour les effusions d'amour faudra trouver quelqu'un d'autre, parce qu'elle a appris que c'était trop fragile et que ça faisait atrocement mal de laisser quelqu'un accéder à sa sensibilité. elle est détendue, prête à plaisanter, le sourire sur les lèvres. elle voit pas comment ça pourrait mal tourner, adriel pour compagnie doucereuse qui n'ira pas contre elle, pour les autres elle ne les connait pas forcément et elle s'en fout. "pers—" pas exactement mais le regard capté, le mot meurt sans se voir achevé, parce qu'elle l'attendait autant qu'elle le rejette, il rompt un instant l'assurance normalement à l'épreuve des balles. "pas lui déjà." oh la menteuse elle est— elle pourrait presque entendre les gamines collins la seriner jusqu'à supplication de cesser cette ritournelle enfantine. tendue d'un rien (mais sully c'est déjà beaucoup), elle a le revirement facile mais devient hostilement campée dans sa défensive, parce qu'elle sait que sully n'a pas besoin de beaucoup pour faire vaciller son modèle établi. ils connaissent ce jeu de reproches par cœur, et si elle détourne la tête quand il ouvre la bouche pour feindre quelque chose à mi-chemin entre l'indifférence et la surdité, les mots font mouches. hit and sunk. elle le hait d'utiliser ça contre elle, d'oser la réflexion devant les autres, le sous-entendu qui ne souffrira d'aucune explication parce qu'il y a déjà bien trop à conclure de ses deux questions. il ose putain. la mordre, bousiller ce qui était encore un événement qu'elle ne savait pas vraiment poser sur leur échelle entre bon à être oublié et à garder précieusement. ça la rend amère, comme s'il avait crié à la terre entière qu'elle n'a pas su dormir seule la hopper la dernière fois qu'elle était légèrement grisée. mais sully fait du grand sully : drop and run away, et il n'y a jamais rien eu de tel pour valider sa colère, et c'est adriel qui va devoir éponger en premier, parce qu'il est là, parce que c'est son regard à lui qu'elle croise alors qu'elle bouillonne déjà. "toi, ta gueule, essaye même pas de faire un commentaire." elle l'entend penser jusque là le nightingal, avec son regard de puppy qui n'y est pour rien, il a forcément un avis sur l'arrivée de sully et pire, sur ce qu'il a lâché. d'autant plus agacée qu'elle a hésité à l'inviter, que ça l'a occupé de longues minutes, tourner des phrases faussement décontractées pour enterrer la hache de guerre ou des we could be friends vibes à la con. qu'elle a l'impression d'avoir été prise à revers alors que le fond n'était pas résolument mauvais, et c'est trop facile de lui donner le mauvais rôle-justifié il parait, mais ça, il ne faut pas compter sur elle pour le reconnaître autrement qu'en ayant accidentellement pris de la drogue. "j'ai un truc à faire. en attendant abi t'as qu'à rester avec notre pollypocket." elle désigne @ocean bloed du menton à adriel et le pousse sans lui laisser le choix. elle l'a déjà aperçu au lycée, connait son prénom des bruits de couloirs mais guère plus. "prends toi un verre ocean, je vous laisse." parce que si elle ne règle pas la question elle va forcément vouloir étrangler quelqu'un d'ici moins de dix minutes, de préférence un connard random qui n'aura pas besoin de commettre plus d'erreurs que de simplement respirer trop près d'elle. elle finit d'une traite son gobelet pour ne pas être tentée de lui jeter à la figure parce qu'elle se connait et l'abandonne sur un meuble avant de sortir dans le jardin. "toi. au fond du jardin. tout de suite." elle attend pas de réaction pour l'attraper par la veste et le tirer plus loin. elle voudrait l'agresser, lui dire de se barrer, mais le calcul comporte trop d'inconnus pour se la jouer roulette russe de l'extrême. elle croise les bras sur la poitrine, le regard qui rêve de le transpercer à défaut de pouvoir prétendre l'étrangler à mains nues. "t'as un problème ? t'es pas content ? quand je t'écris ça va pas, quand je t'écris pas ça va pas non plus. t'as un truc à dire ? et c'était quoi ce que tu viens de me faire ?" il sent tellement la nicotine que c'est presque liquide, ça colle jusque dans la gorge. et si elle inhale profondément pour rester calme, elle se laisse surtout avoir par sa présence sans avoir besoin de venir le chercher de trop près. une époque où elle serait venue en chercher le goût contre ses lèvres, et quelque part très loin derrière le mur, les barbelés, les chiens enragés, une partie d'elle frémit.  "tu étais moins con au milieu de la nuit, tu t'es pointé trop tôt pour vivable c'est ça le deal ? t'avises pas de me refaire le plan de la petite allusion en public. finis ta clope, prends un verre et fais comme tout le monde. fais pas chier et fais semblant de profiter de ta soirée. c'est à ta portée sully ?" reste, connard.

@sullywho? @adriel nightingal @ocean bloed
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  EmptyLun 30 Mar - 5:59

Y’a soirée ce soir, chez une fille. Aucune idée de qui c’est, mais c’est pas anormal pour autant. Ça ne signifie pas que tu dois ou n’ira pas. Au contraire. C’est même pile ce dont vous avez besoin, Mickey et toi. Une sortie entre boys. Pas besoin d’penser à ton statut relationnel, Fran ne viendra surement pas. C’est pas faute de lui avoir proposé, quand t’as appelé tantôt. Pour t’assurer qu’elle était ok. Que Nino avait besoin de rien – lécheux de botte, hein Vincze ? Putain, ouais. T’essai d’être aussi clean qu’elle – pour pas prendre feu, si jamais tu la suis à l’église. Pas sûr, pas sûr. Sauf que Mickey est avec toi, qu’il gare la voiture et que, les poches pleines de bonbons qui réconfortent, vous passez le pas de la porte. Ton bras droit qui passe déjà, bien relaxe, autour du cou de ton bro. « À nous l’alcool, he he. » Sauf qu’évidemment, faut que vous croisiez la route de Parker et Adriana. Le croquemitaine et babayaga. Pas cool. Surtout que t’aime bien Parker, mais sans Mickey ça. Les deux réunis, c’est pas juste explosif, c’est une saloperie de désastre. Alors tu grimaces un peu, mais quand faut y aller hein ! Y’a ta main qui se referme contre la nuque du daddy et un clin d’œil rassurant que tu lui balances. « On dit bonsoir, pis on s’tire. Y'en a pour 2 secondes, juré. » Pep talk and all that shit. Mais t’es là, tu vas prendre soin de son petit cœur de chamallow – pas gay, niet. C’est Adriel le gay, celui à qui tu balances un coup d’œil ennuyé – pour la forme, hein.

Bon ça y est, tu viens percuter gentiment l’épaule de Parker de la tienne. Un sourire en coin. Presque adorable, baby face, giggle and stuff. « Hey you. T’vas bien ? Soirée entre filles, hein ? Yo, Adriana. » En attendant, t’incline la tête devant Adriana – le regard qui glisse légèrement vers le décolleté. Qui s’y attarde pas, quand même. Puis tu tapote l’épaule de Mickey, lui indique la cuisine. « On va voir c’qu’on peut boire ? On voudrait pas abuser d’votre hospitalité les jolies. Même qu’on reste pas, bonne soirée. » Sourire aux dents trop droite, mais Mickey c'est déjà tiré dans un murmure. Pas envie de rester, tu comprends, ton regard qui oscille, sur son dos, avant de lancer une œillade à Parker. « Vu l'foutoir qu'vous êtes tous les deux, j'encourage à garder 2mètres d'distance ce soir. Mais si jamais, sms moi ? J’ai les poches pleine d’merveilles y’know. Pour vous ou qui que ce soit. Allez, g’night milady. » Tu leur offre une presque courbette et tu files rejoindre Mickey. Dans le dos de qui tu te jettes en ricanant. Presque gamin, alors que tu lui frottes la tête, lui change les idées. Parce que tu refuses qu’il s’effondre dans ta douche, ce soir aussi. La poitrine qui élance encore un peu à ce souvenir. Non, tu lui tends plutôt un verre et te pose contre un coin de meuble dans un coin. Observe la foule, pour cogner ton verre au sien. « Aux bros. Alors… on t’trouve quelque chose à t’mettre sous la dent pour tester les résolutions prises ? » Ou pas. Ça te va aussi.

@Mickey Papa @Parker Calverley @Adriana Garcia
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  EmptyLun 30 Mar - 6:21

C’est plus fort que toi Daisy, tu ne peux pas résister – même pas envie. Pas avec le foutoir qu’est ta vie actuellement. Alors la fête dont Abi t’as parlé est tout simplement parfaite. Sans parler que tes parents te doivent une soirée, donc pas de babysitting pour toi – et sinon, ce sera la maman Bravo qui s’en occupera, tant pis. Une jupe et un peu de gloss plus tard, tu files en direction de la fameuse fête. Même pas besoin de la voiture, la maison de Charlie se trouvant à quelques pâtés de maison seulement – aka, ce soir tu peux réellement boire. T’es pas encore certaine que ce soit une bonne nouvelle, mais ça te rend joie. Petite boule de lumière qui rejoint la fête en souriant, une main dans les cheveux, l’autre tripotant ton téléphone. En quête du numéro de ta nouvelle copine, Ocean, que tu dois absolument inviter aussi !

Tu glisses à l’intérieur et t’as déjà un sourire en direction de Parker, avant de reconnaitre Adriana près d’elle – ce qui explique que tu contournes le duo, ravalant toute envie de la saluer. Très peu pour toi. Et aucune trace d’Abigail, mais tu reconnais Adriel, un peu plus loin, et en compagnie d’Ocean qui plus est ! Ce qui signifie que tu ranges ton téléphone et t’élance, sans même passer par la case alcool, dans leur direction. Percute même un peu Adriel, pour rire et t’excuser, le trop plein d’énergie visible dans tes doigts qui remette de l’ordre dans son haut. Pourquoi Daisy ? Because. « Hello vous deux ! Vous allez bien ? » que tu questionnes, trop rapidement, les yeux trop pétillants. Avant de sourire à Ocean – un peu conne la Daisy, mais pas méchante. Le corps qui cherche la musique, le besoin de bouger, de te dépenser. « Je ne savais pas que tu serais là Ocean, j’allais justement t’envoyer un sms ! En fait, je ne savais même pas que vous vous connaissiez. C’est bien ! » Totalement, même. Puis, tu observes les lieux et fronces les sourcils, sans perdre un iota de ta bonne humeur. « Abi n’est pas encore arrivée ? Vous savez qu’elle va attirer la moitié du Nevada ici, avec son tiktok ? » que tu glousses. Parce que cette annonce publique n’a rien d’un drame pour toi – après tout, ce n’est pas chez toi qu’à lieu la fête, graou. T’as même l’insouciance de croire qu’avec tout le monde qu’il y aura, tu ne chercheras pas bientôt Remington du regard – sauf que tu le fais déjà. Oopsie.

(outfit)

@Adriel Nightingal @Ocean Bloed @Remington Bravo
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  EmptyLun 30 Mar - 6:56

Ta soirée avait commencé par ton sport préféré : te prendre la tête avec Parker. Bousillant bien les coeurs entre des i missed you suivis de ok i'm blocking you, aucune autre façon de vraiment savoir vous aimer. L'adresse du party qu'elle t'avais balancé, of course que t'allais te pointer. Vincze que t'avais rameuté, le seul des mecs qui semblait avoir percuté, les autres en ghost depuis que Cosmo c'était fait coffrer. Sur Vincze, tu pouvais toujours compter. C'est d'ailleurs avec lui que t'es arrivé, la tête ailleurs, la veste abandonnée pour te retrouver qu'avec ton t-shirt à la manche relevé, tes baskets blanches et ton jeans troué. T'avais même délaissé ton iconic beanie, laissant par la même occasion la place à fiesty mickey. Ton copain se réjouit de l'alcool, tu souris, mais tu t'en branles bien. Les yeux qui la fucking cherchent, du venin à cracher, de celui avec lequel elle t'a infecté. Vincze voit tout, propose d'aller les voir, tu vois juste elle, toi, tu vois déjà flou.

Suivant Adcock vous rejoignez Parker et Adri, ton regard uniquement planté dans celui de Calverley et tout ce qu'à la gueule, t'as envie de lui cracher. La bataille qu'elle saurait, obviously, apprécier. Vin est le gentil policier, toi t'es celui qui comment à en avoir marre de pas s'faire respecter. Que votre amitié fucked ne vibre qu'au gré de ses envies à elle et que tu sois le tapis d'entrée que subit. Ce soir t'es pas venu pour ramper après elle, pas aujourd'hui, ni cette semaine. T'es juste venu lui souffler deux mots. Ceux que tu te penches à son oreille pour lui murmurer alors que Viney vous suggère déjà de vous barrer. « T'as pas vu un fuckboy qui s'apelle Parker par hasard ? J'dois le défoncer, il est sur notre territoire. » Que tu lui souffles tendrement, te reculant brusquement, la laissant pas te répondre en partant vers la cuisine. La main de Vincze qui revient, dans ton dos se redessine. Un verre récupéré, les deux bros qui viennent se caller, leurs verres qui viennent se cogner, le poison à partager. Le rire qu'il te fait retrouver, la volonté loin d'être bandée. Tes yeux courrent, trouvent rien d'intéressant autours. Qu'une meuf semi-enragée qui tire un mec plus loin pour aller lui casser les pieds.

« Quelle résolutions ? J'ai déjà oublié, j'étais graaaaave défoncé. » Que tu ne peux t'empêcher de rigoler. Ton regard qui viens croiser celui d'un Adriel abandonné qui est à la proximité. Pas le plus important de tes gars, mais vous vous entendiez bien en tutorat.  « Sup Nightingal, ça va ? » Que tu lui demandes, blasé, la main dans la poche et le petit sachet de pilules que tu fais rouler.

@Vincze Adcock @Parker Calverley @Adriana Garcia @Adriel Nightingal

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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  EmptyLun 30 Mar - 6:56

Côte à côte à Lyra devant sa grande maison, lieu de prédilection pour vous préparer, vous guettiez l'arrivée de Jp. Cette rencontre risquait d’être… intéressante. Tu avais déjà averti Jp et avais un peu peur d'avoir été trop dure avec lui, faisant rarement dans la délicatesse et n'ayant trouvé de meilleurs mots pour lui demander de bien se comporter devant Ollie et Lyra. Tu voulais éviter un malaise dans la voiture, déjà que tu ne te sentais pas au top. Adriel t’avait invité à la soirée et proposé d'amener des amis, et tu t'étais bien vite retrouvée à inviter beaucoup trop de gens de sphères différentes pour te sentir réellement à l'aise. Ta personnalité était trop bien découpée, mécanisme efficace pour te dévoiler tout en préservant cette barrière qui ne tombe jamais vraiment, te donnant l'illusion rassurante (ou pas) que personne ne te connait réellement. Puis ta tenue aussi, qui malgré tous les compliments de Lyra, te faisait douter. Elle avait tellement insisté pour troquer tes mom jeans contre une mini-jupe et ton t-shirt contre un top un peu plus serré que tu avais finalement accepté. Résultat: tes plus grandes insécurités physiques exposées au grand jour, soit tes jambes trop pâles, trop frêles et ta poitrine trop petite, habituellement toutes cachées sous beaucoup trop de tissus. Pour balancer le tout, une énorme chemise à carreaux sur tes épaules te faisait retrouver un semblant de normalité. « T’es sûre que c’est ok, la jupe ? » Tu tires sur ta chemise jusqu'à ce qu'elle cache tes mains et drapes le tissu au tour de toi, tes bras fermement croisés te donnant ainsi l'illusion de moins te montrer. Puis finalement, la voiture de Jp qui tourne à l'angle.« Viens, il est là ! » Tu lui prends la main avant de t'engouffrer à l'avant, lui laissant la banquette arrière. Tu offres un sourire complice en guise de salutation à Jp, espérant lui faire comprendre que tu es contente de le voir, malgré tes textos d’un peu plus tôt. « Merci encore d'être venu. » Tu boucles ta ceinture et te tournes légèrement vers l'arrière. « Lyra Jp, Jp Lyra. » Maigre présentation, mais ça ferait l'affaire, pour l'instant. (...) Tu écris rapidement à Ollie lorsque vous arrivez devant chez lui et encore une fois, te tournes vers l'arrière pour le saluer, sincèrement heureuse de le voir. « Ollie ! Tu vas bien ? Je te présente Jp. Jp, Ollie. » Soulagée de ne plus être la seule reliant tout le monde, mais encore inconfortable parce que tu es loin d'être la meilleure pour rendre tout le monde à l'aise, tu tentes l’humour comme diversion. « Tu sais Jp, ce soir tu es entourée du très réputé club de cinéma du lycée, c’est tout un honneur. » La voiture ensuite stationnée devant la maison hôtesse de la soirée, les portes claquées et tous rassembler devant, tu lances avec une nonchalance délibérée : « Hum, Jp a amené son bong. » Tu préférais être celle qui propose et non lui, une des conditions que tu avais établies. « Est-ce que ça intéresse quelqu'un ? » Toi-même ne dirais pas non, mais préférant quand même une énorme gorgée de vodka, juste assez pour te décontracter.

@Lyra Keegan @Jp Barankierowczek @Ollie Kane encore devant la maison
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  EmptyLun 30 Mar - 7:46

Oz allait pas venir avec vous, vous rejoindre plus tard, le beau bâtard. Meeeeerde. Ce serait donc que Juno, toi et les deux inconnus et rien qu'à y pensé, t'étais déjà tendu. Les messages de Baker pour te stresser, te donner la peur de merder comme tu sais si bien tout faire flamber. Habituellement tu t'en torches et t'en retorches, rien à foutre que les autres soient malaisés, faute de le remarquer, sauf que pour Juno, fuck, t'as envie de te forcer ? L'anxiété commence doucement à te chatouiller, t'en profites déjà pour commencer la soirée avec un premier joint dans le sous-sol à fumer, ta mère qui vient le remarquer et râler. Ça te fait encore plus stresser, donc tu vas te relaver pour pas empester la fumée, même si c'est clair que ça va arriver. Bonne couche de désodorisant, les cheveux en un bordel calculé, le t-shirt changé, tes jolis bras tatoués bien exposés, les jeans noirs aux genoux troués, le sourire de gamin de retrouvé, t'es fin prêt à te barrer. Dans la Jeep engouffrée, maman qui gueule que vous avez pas le droit d'y fumer, tu lui cries, oué, oué. Whatever. Tu fous ton rap à fond la caisse, pour te remettre dans le mood, te faire croire que t'es l'meilleur.

Tu trouves finalement l'adresse, la grosse baraque et les deux gamines qui viennent avec. Stationné pour les laisser s'installer, la musique que t'as pris la peine d'un peu baisser.  Un petit : « Wow... » Échappé, devant la propriété émerveillée. Bien trop stressé pour que sur Juno ton regard viennes se poser, Lyra qui t'es présenté. Tu prends la peine de te retourner pour la regarder, ton coeur qui a un raté. Fjdsfjsdfjsdfls. F. Mais. Mais, c'est la fille de, la fille de. Fuck. Ahaha. Fuck. Juno vous présente pendant que tu court-circuites. « Ahah ! Ench... Je.. Jp.. Mais déjà, elle... Elle à dit que... hey... ahah. Bienvenue ! » Que tu te ridiculises dans un grand sourire, grattant maladroitement ta tête blonde qui te fait souffrir. Ton regard se posant enfin sur Juno pour un autre court-curcuit, bug de la machine qui probablement la détruit. Ton regard qui coules trop longtemps de ses jambes jusqu'à sa poitrine qui se dessine, ses courbes qu'avant, il avait toujours fallut que t'imagine, comme un mythe auquel aurait jamais accès ta bite. Surment tes joues qui s'empourprent un peu, parce que what de fuck, tu sens que ta gueule est un peu en feu. « Wow. Je. Pizza. Ouais, définitivement Pizza. Nice ta jupe. » Que tu tentes de te contrôler, même si c'est mal barré, parce que même quand la voiture est démarrée, t'as plus de mal que d'habitude à arrêter de la regarder. Faible, fallait qu'une paire de jambes de ta pote pour arriver à te perturber. Si t'étais son frère tu l'aurais sûrement sermonnée, lui dire d'un peu plus... s'habiller. Même si t'es au premier rang pour apprécier, en être un peu trop troublé. L'adresse d'Ollie qui t'es filée, sa maison retrouvée pour le faire grimper, avec lui, un peu moins de difficulté. Te retournant pour lui offrir ton poing, contre le sien à fister. « Yo Ollie ! » Que tu te contentes de le saluer pour que ton regard, de nouveau sur Juno vienne se déconcentrer, sur la route ensuite où t'essaye de te fixer jusqu'à ce que vous soyez arrivés. La conversation que Juno tente de mener, Club cinéma, ah, c'est pour ça.  « Wow ! Cool ! J'ai écouté Texas Chainsaw Massacre le week-end passé, c'était cool !... Et euh, j'ai un chien aussi... » Que tu sors maladroitement, ton coeur doucement se débattant. Vous êtes finalement stationnés, le malaise qui finira par passer. June qui leur propose de quoi à fumer et toi qui est des plus décontenancé. Tu pensais qu'elle leur avait déjà demandé.  « Ahah ! Vous êtes pas obligés, zéro pression, ahah ! J'ai de la vodka et des bières aussi dans la valise. » Sans compter toutes les autres merdes que t'avais dans les poches aussi, dans ta veste qui dans la valise aussi gît.

@Juno Baker @Lyra Keegan @Ollie Kane @Oz Flint

(outfit or whatever)
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Lloyd Villin
Lloyd Villin
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  EmptyLun 30 Mar - 8:25

Deux salles, deux ambiances. Ça glousse et ça roucoule sur la minuscule banquette arrière tandis que, à l'avant, les expectations sont si expertement managed qu'elles ont plongé au niveau -7B. Connaissant Oshun, elle et son dreamboat du moment—pêchés sur le pas de sa porte, No One Is Too Small To Make A Difference—ont déjà quelques trains d'avance sur la soirée. Lloyd coule un regard complice à Romy, resplendissante sur le siège passager parce que même la plus tiédasse des house parties ne la priverait d'une occasion de dress to kill. "To be young and in love." Après sept mois de relation et une dose généreuse de Major Drama, ils font office de vétérans dans la catégorie "couples adolescents". Par conséquent, il est plus ou moins explicitement entendu que les enjeux sont différents pour eux ce soir : crashtest hasardeux de leur dynamique instable sur fond d'opération sauver les meubles. Difficile d'épingler avec précision de qui a véritablement émané l'impulsion entre le moment où leurs portables ont vibré à l'unisson, invitation lancée à l'aveugle par Oshun sur le group chat du drama club, et l'instant où la phrase "et si on faisait quelque chose de normal ?" a été jetée sur la table comme rameau d'olivier ou une putain de grenade. Eux sont davantage doppés à leurs décadents préparatifs : lui d'avoir passé l'essentiel des deux dernières heures artistiquement affalé sur son lit à la regarder, elle, parader sur de la dark pop élégiaque—tous les deux boredboredbored avant même d'arriver, mais avec style. Et lorsqu'ils s'immobilisent à destination, la normalité revêt des couleurs exotiques. A l'exception du pavillon qui accueille manifestement les festivités de pulser au rythme des basses, le suburb décoloré est si silencieux que c'en serait presque spooky. Les portières finissent de claquer, annonçant la fin du prologue et l'inéluctable dispersion des troupes ; Lloyd glisse un bras autour de la taille de Romy et la guide vers l'entrée, après avoir lancé un bref "pas de trop de bêtises, les amoureux" au dessus de son épaule. Il faut faire des coudes pour pénétrer l'habitacle de la maison, et il n'ont pas passé trois secondes dans le hall que la catastrophe est frôlée de près. Territoire inconnu oblige, Lloyd n'a jamais été autant aux aguets. D'un coup sec du poignet, il tire Romy vers lui aussitôt que leur chemin croise celui de deux dudebros éméchés et leurs canettes à la trajectoire aléatoire. Il y a une flaque de bière sur le plancher, juste à l'endroit où se trouvait la royale girlfriend un instant plus tôt. Amusé, il souffle contre sa tempe. "On a notre safe word établi, pas vrai ? "Hurly-burly" s'ils se mettent à reproduire des danses TikTok, "hurly-burly" si quelqu'un vomit." Flashback a la dernière house party à laquelle il s'est spontanément invité. "Et, god help me, "hurly-fucking-burly" si quelqu'un a la merveilleuse idée de lancer une partie du jeu de la bouteille."

(@romy wilson @oshun labbadie @skylar rheon)
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  EmptyLun 30 Mar - 8:54

À peine arrivées à la soirée que déjà, on pouvait vous voir Parker et toi, trinquant vos flasques avant d'en prendre une bonne gorgée, le liquide amer ne provoquant même plus de grimaces, faute à l’accoutumance.  Les réflexes pas encore inhibés, tu plaques brusquement ta main sur son avant bras avant qu'elle ne prenne sa pilule, ne la relâchant que lorsqu'elle dit que c'est du paracétamol. « Si tu le dis. » Sourcils froncés, méfiante mais n'insistant pas plus, son épaule était une excuse suffisamment acceptable.Cruz aurait dit quelque chose. Cruz aurait lâché un commentaire tout juste assez dosé en mesquinerie pour que Parker se sente coupable de ses nouvelles habitudes. Sauf que t'étais pas Cruz, t'étais nulle en dosage et surtout, t'en pouvais plus te toujours sentir son fantôme se glisser entre vous deux. Tu l'avais invité. Avais reçu un seen en guise de réponse, toujours coincé dans la gorge. Whatever. C'était pas le temps d'y penser. Tu hausses les sourcils face à sa requête, ayant connu Parker plutôt sur l'attaque que la défensive, mais elle n'avait peut-être pas tord. Tu n'avais pas spécialement envie de prises de tête pour ce soir. Qui aurait cru qu'un jour, tu t'assagirais ? Tu fais le décompte sur tes doigts. « L'équipe d'athlétisme de gop.  » La moitié d'entre eux rêvaient de t'arracher la tête, et c'était réciproque. « Daisy. » Le regard accusateur de savoir que Parker et elle s'entendaient plutôt bien, même après qu'elle t'ait poor shame, mais tu laisses couler, encore. « Jazz. » Daisy était un peu ta Jazz, et c'est plus pour Parker que toi-même que tu la nommes. Farouchement loyales l'une à l'autre, il y avait pourtant 2-3 personnes qui réussissaient à s'infiltrer entre vos mailles. « Mais aucune idée si l'un d'entre eux va se pointer. » Haussement d'épaules blasé, la liste noire est all set. « Quelqu'un pour toi ? » Bras dessus bras dessous, vous vous enfoncez ensuite un peu plus dans la maison sauf qu'évidemment, quand on ne cherche pas les emmerdes... les emmerdes nous trouvent. « Hello Vincze. Mickey. » Sourire figé au premier, ton regard dans le sien le suivant jusqu’à ton décolleté parce que oui, tu as remarqué, froideur pour le deuxième que tu ne salues que par politesse, parce que c'est ton tuteur et ton dealeur, mais aucune camaraderie n'y est, pas pour celui qui a tout détruit alors que s'il avait suivi tes conseils, les dommages n'auraient pas été aussi pesants. Ils viennent d'arriver, et pourtant, tu lances déjà : « Nice chat, mais on a des gens à saluer nous. » Tu coupes court à la conversation au même moment que Vincze, forcément en tant que side-kick dans cette histoire vous pensiez pareil, et te raidis lorsque Mick s'approche de Parker, lui lançant un regard un peu trop noir. Puis aussitôt arrivés, aussitôt partis. « Bordel. » Tu soupires, lâchant le bras de Parker pour lui faire face, clairement ennuyée qu'ils soient venus gâcher votre simili paix. « C'était quoi ça ? » Les bras croisés, tu ne vas pas la laisser se défiler, cette fois. Puis tu pointes du menton sa poche où se cache sa flasque, meilleur coping mecanism que tu connaisses. « Allez, t'as le droit à une autre gorgée. C'est quoi ton plan ? »Se saouler jusqu'à l'oubli, draguer pour attiser sa jalousie, quelle qu'elle soit, tu voulais connaitre sa ligne directrice.

@Mickey Papa @Vincze Adcock @Parker Calverley
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Adriel Nightingal
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MessageSujet: Re: when i rip (tc)    when i rip (tc)  EmptyLun 30 Mar - 14:25

Il profite de l'instant, de sa tête qui vient se poser brièvement sur son épaule. Geste assez rare, mais ça lui arrive, et ça suffit à illuminer sa soirée. "bien sûre que je viendrais te rendre visite, je vais pas te laisser mourir d'ennuie. mais on va quand même éviter d'en arriver là." il lui répond avec un sourire alors qu'elle se redresse, qu'elle s'apprête à lui répondre, mais elle s'arrête en plein vol, reste sur sa syllabe à semi prononcé, et il ne lui faut pas longtemps pour comprendre ce qu'il se passe. évidemment, que l'autre est là. invité ou pas, ça ne changeait rien, il a fallu qu'il se ramène, et adriel peut déjà sentir charlie qui se crispe à ses côtés. il aimerait pouvoir réagir, dire quelque chose, faire quelque chose, mais il reste complètement impuissant alors que l'autre se ramène, lui glisse quelques mots à l'oreille, qui n'échappe à adriel, et il peut sentir son coeur qui se fissure dans sa poitrine, de savoir qu'il y a encore quelque chose entre eux, assez pour qu'elle réagisse aussi violemment. il lève les bras devant lui en signe d'abandon, instinct de préservation qui se réveille, pour une fois. "de toute façon, quoi que je dise, t'en feras quand même qu'à ta tête." alors autant économiser sa salive. plus un constat qu'un reproche, mais l'exaspération n'est pas loin alors qu'elle le pousse de force vers une fille qu'il connait à peine, sûrement pour aller retrouver l'autre. "charlie, t'abuses, tu sais que..." pas le temps de finir sa phrase qu'elle est déjà partie, et le voilà qui se retrouve face à Ocean, l'anxiété au fond des tripes alors qu'il passe une main dans ses cheveux. "salut, adriel. tu veux un verre ? je vais te chercher un verre." il fuit avant même qu'elle ait eu le temps de répondre, se dirige vers le punch pour un refill avant de remplir un second verre, quand même, pour ne pas la laisser seule. il aperçoit mick, assit non loin de là avec ce qui doit être un ami. "hey mec, ça va et toi ? je savais pas que tu venais. t'as ramené des potes ? profitez bien de la soirée !" il retourne vers Ocean, lui tend le verre, cherche comment entamer la conversation. "tu... connais charlie ?" rien de plus bateau. heureusement, il est sauvé par l'arrivée providentielle d'une daisy qui les rejoint, semble connaître la demoiselle, et la mention d'abi le détend instantanément. "non, elle n'est pas encore là, mais elle ne devrait plus tarder. jamais elle raterait une occasion de faire la fête." du genre fêtarde, elle était de celle qui transforme une soirée par sa simple présence.

@charlie hopper @sullivan collins @ocean bloed @mickey papa @daisy humphrey
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