| Sujet: (do not disturb) Sam 9 Juin - 22:01 | |
| [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Macgregor, Day " mind like kanye, heart like drake " ------✩------
nom complet - Macgregor Julius Day pas une seule lettre d'or ne borde le nom de famille ( bien qu'il soit gorgé de fierté, qu'il porte les stigmates d'une lutte inconsciente pour la survie s'inscrivant facilement dans le plus pathétique darwinisme trouvable sur plusieurs kilomètres carrés de territoire). surnoms - on sarcle les contours, avec prompte dextérité, on ne s'embête jamais à prononcer l’entièreté d'un prénom patronymique - parce qu'on est au siècle des pseudonymes courts et autres raccourcissements de rigueur (le mal du siècle serait alors la luxation du muscle linguale ?) Macgregor devient - par une sale causalité - Mac, "The Day", number 42 exposé avec arrogance en écusson sur le célèbre blouson aux couleurs de son lycée. Lorsqu'on lui donne du Macgregor, généralement, c'est que ça va barder ; facile est de déterminer l'aspect critique d'une situation à la façon d'articuler son matricule (les décibels qui l'accompagnent ne laissent place à aucun doute). lieu de naissance et âge - dix huit ballets à s'user les pompes sur le gazon; pas de plomb dans la cervelle et quelques bridges gagnés à force de se prendre des plaquages (dix sept cicatrices et deux séjours à l’hôpital pour commotion cérébrale). L'aîné Day a vu le jour à Santa Barb' mais n'a - comme la plupart de ceux qui rampent sur la croûte - pas vraiment envie d'y planter ses racines, s'imaginant un ailleurs n'ayant de préférence pas un côté 'feuilleton prisé par la ménagère américaine'.nationalité et origines - l'exotisme ne suinte pas de tous ses pores; sa carnation ne suggère aucun mélange surprenant. Ses ancêtres ont vraisemblablement fui une crise impliquant de la pomme de terre pour chercher le bonheur - ou du moins, l'une de ses formes - dans un coin de Californie ( y proliférant à la manière d'une insidieuse horde de rongeurs désœuvrés). Sorry to disappoint: pas moyen d'alimenter ou d'entretenir une conversation en parlant de ses origines, hélas (pas que lui vienne à l'idée de le faire, un sourire, un jeu de muscles et de chevelure suffisent à affoler les radars dans un périmètre appréciable, après ça, même les frasques du président passent à la trappe). à santa barbara depuis - born and bred occupation - senior year , la perspective d'intégrer une université lui parait plus vomitive (et surtout, flippante) qu'un dîner aux chandelles en compagnie d'adolph hitler en personne ; son père fait des pieds et des mains pour que les recruteurs se penchent sur lui, certains lui prêtent d'excellentes statistiques, d'autres lui prédisent le même avenir que l'espèce de plouc bedonnant dont le spot publicitaire passe en boucle sur la chaîne de télévision locale. Qu'on se le dise : Mac n'a pas l'intention de finir vendeur vedette dans une concession automobile. Il rêve d'étudier l'agronomie et de devenir ingénieur. Mais, ses aspirations sont à des lieues de vendre du rêve à des parents qui n'attendent que de quitter la bicoque dégueulasse , à la pelouse maculée de détritus, dans laquelle ils vivent. Ils aspirent à "Conduire des Porsche et manger du homard au moins trois fois par an, fiston"situation familiale - le tableau reflète l'american way of life version 2.0, exactement comme le dépeindrait une pellicule indé : avec ses craquelures, ses canalisations éventrées, ses sols raboteux. Son père - Marty - bosse dans une station de lavage auto et sa mère, Sylvia, travaille pour sept dollars de l'heure comme serveuse Chez Joe - un dinner pas très clean. Mac a une petite soeur et deux petits frères - et tous s'entassent dans quatre vingt mètres carrés. A tous ceux qui se posent la question : oui, Macgregor vit sous pression. Il est conscient de ne pas être seulement garant de son propre avenir mais de détenir celui de toute sa famille entre ses mains, à chaque fois qu'il attrape un ballon ovale. situation financière - clairement pas descendant direct de crésus, il bosse en extra dans un restaurant asiatique où il a récemment été élu "spontex d'or". Ses équipiers se moquent souvent de son titre et n'hésitent pas à squatter une tablée de temps à autre pour jouir d'une petite ristourne. Effectivement, allier les entrainement, les corvées domiciliaires et son job ne relève pas de la mince affaire et il n'est pas rare qu'il se pointe en retard, pique du nez durant un cours ou se retrouve à payer un camarade pour faire un devoir à sa place. statut civique - Il est à toutes et à personne : point à la ligne. orientation sexuelle - hétérosexuel convaincu depuis le bac à sable, extrêmement tolérant mais mal à l'aise sous les œillades insistantes du même sexe. traits de caractères - blagueur, loyal, franc, vindicatif, aidant, gestion compliquée de ses élans coléreux, use beaucoup trop d'un langage de poissonnier, maîtrise l'art négligé de la joute verbale, est souvent à deux phalanges de briser des côtes, attention individu machiste, sexiste et plutôt adepte des démonstrations ultra testostéronées, généreux, enjôleur, audacieux et parmi ce listing, on se demande souvent ce qui tient de l'info ou de l'intox . avatar -jacob elordi groupe - iron crown. | | si tu étais un élément ? - L'air, indispensable et racoleur; celui qui attise et qui étouffe si vient à manquer. une plante ? - un cactus, le genre qui pique et qui arrive à survivre malgré un climat pas vraiment favorable. une saison ? - l'été, il faut bien alimenter les fantasmes environnants et quoi de mieux que sauter sur toutes les occasions d'arborer le fameux six pack ?. un mot ? - bold . un instrument de musique ? - la batterie - il aime l'idée d'imposer un rythme, de servir de pierre angulaire à un édifice musical. une friandise ? - une barre énergétique - question de joindre l'utile à l'agréable. une émotion ? - il aimerait répondre la quiétude mais, ce serait davantage un état d'esprit digne d'une baleine blanche. Il affectionne celle qui suit une confrontation : victoire ou défaite, elle se rapprocherait le plus d'une forme de soulagement. un des cinq sens ? - le toucher, une poignée de mains, un frolement maladroit, une caresse intentionnelle ; les poings contre la chair, le froid sous les paumes, les pulsation d'un pouls. un hashtag ? - #FML (#BLESSED). |
— don't tell anyone, or you'll be just another regret. Une chose est sûre : c’est qu’en posant le regard sur l’adonis, on ne tend pas à vouloir fouiller au-delà de ce que les apparences déballent sans compter. Macgregor Day se prête facilement aux préjugés, leur donne corps – on en oublierait presque qu’il a une âme, lui aussi. On se contente d’apprécier la vue qu’il offre, on le fait sous toutes les coutures, tous les maudits angles et puis, on en revient à ce qui fait aujourd’hui office de vérités – délavées par le temps et les habitudes qui ont la peau dure : ‘cervelle essentiellement concentrée dans les biceps (une bonne partie également sous ceinture)’, ‘est-ce que ce type sait lire ?’, ‘je parie qu’il n’arrive pas à compter au-delà de cinquante’ (de toute façon, des gens le font à sa place). Depuis môme, dégingandé et plutôt précoce, Mac s’illustre en parangon de tout ce qui passe par la tête des gens – et avec les déglingués qui pullulent en Californie, ça ne manque pas d’aller dans le psychédélique. Il s’efforce – et ce, tous les putains de jours – de conserver la stabilité d’un échafaudage de très mauvaise facture ; il ne s’en sort pas trop mal, la plupart tend à penser qu’il vit plutôt bien le fait d’être l’une des stars de son lycée, adulée par certains, exécrée par d’autres (qui l’envient, au fond, c'est bien connu). On aime bien le confort des certitudes alors que le principal concerné s’enlise dans des contraires que le quotidien rend âpres : il rejoindra une université parce que c’est un joueur de foot’, il réussira à obtenir une bourse et puis sera recruté par l’une des meilleures équipes NFL (les patriots de boston ? Pourquoi pas, il ne serait pas contre porter une chevalière sertie de diamants). Personne n’a l’air de vouloir savoir qu’en fait, le gaillard adore l’agronomie et se débrouille pas trop mal avec les plantes, qu’il peut passer des heures et des heures à bichonner les semis dans la verrière brinquebalante installée dans le jardin en compagnie de sa mère : hein, qui ça intéresse ce genre de détail méga important ? Certainement pas les supporters qui accrochent des banderoles ou les lianes écervelées qui agitent des pompons lors des rencontres en hurlant son prénom. En principe, tout le monde s'en fout du running back, ça n'est jamais que le gars de derrière, celui placé dans l'ombre du quaterback. Et pourtant, difficile pour un mec d'un mètre quatre vingt onze de passer inaperçu. « Non » - l’adolescent esquive une tape à la main et lève le sourcil , sa mère désigne le mixeur contenant un mélange verdâtre qui ne tenterait même pas un individu perdu dans le désert depuis plus de trois jours ; il déglutit le dégoût et s’atèle à la lourde tâche d’avaler le liquide. « On est à trois cent dollars de compléter la somme nécessaire à ton prochain stage de foot » - Mac acquiesce en silence ; la vérité, c’est que les mille dollars servant à aller dans un coin perdu du pays pour un entrainement intensif pourraient très bien épargner à la smala des douches froides, ils ne seraient certainement pas contre le fait que quelqu’un répare le foutu ballon d’eau chaude. « Merci » souffle-t-il, s’empressant d’attraper son sac à dos, il fait signe à ses frangins de se magner, il les attendra derrière le volant d’une vieille berline bruick, lassé par un schème au motif extrêmement répétitif, ne laissant place à aucune réelle spontanéité. Pourtant, lorsqu'il croisera les crapules formant leur peloton d'un genre nouveau - les Yakuzas, il est d'accord pour affirmer qu'il s'agit d'un nom plutôt badass mais avoue également qu'on s'imagine mal une bande d'adolescents se montrer à la hauteur de leur label - , la boule au ventre s'évaporera et il sera le premier à fomenter un nouveau plan d'attaque visant de près ou de loin un des Penetrators. La rivalité éclabousse de dégradés de rouge et de noir la partition d'une existence qu'il observe, pétri d'impuissance; dans cette guerre de quéquettes décérébrées, il s'agit davantage d'installer les bannières d'une suprématie stupide et ils le font pour le #FUN #FAME #REALSHIT (à moins d'en faire parti, personne ne peut comprendre).
pseudo/prénom - atm, el. âge/localisation - xx ish, france. avis sur le forum - flawless où l'avez-vous connu - le souk entre les épices et les aphrodisiaques autre - . |
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| Sujet: Re: (do not disturb) Sam 9 Juin - 22:02 | |
| OMGGG, JACOB! il nous faudra un lien... - Spoiler:
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bienvenue et bon courage pour ta fiche |
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| Sujet: Re: (do not disturb) Sam 9 Juin - 22:12 | |
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| Sujet: Re: (do not disturb) Dim 10 Juin - 10:59 | |
| Je veux tellement en lire plus Bienvenue |
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| Sujet: Re: (do not disturb) Dim 10 Juin - 12:25 | |
| c'est grave coolos par ici jpp bienvenue officiellement babe |
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| Sujet: Re: (do not disturb) Dim 10 Juin - 14:22 | |
| merci pour cet accueil chaleureux. avery, bien entendu. silene, je m'atèle, madame. ruby, liv andy - hâte partagée, même si bon, Mac est quand même moins fucked up que le van helsing kali, ça arrive dylan, et toi, ptn. on va faire des grandes choses, les bandits. |
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| Sujet: Re: (do not disturb) Dim 10 Juin - 15:04 | |
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| Sujet: Re: (do not disturb) Lun 11 Juin - 10:28 | |
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| Sujet: Re: (do not disturb) | |
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