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 safer to be feared than loved | maddie

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Madeline Price
Madeline Price
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MessageSujet: safer to be feared than loved | maddie   safer to be feared than loved | maddie EmptyLun 9 Déc - 23:11



madeleine "maddie" price
be careful. salt and sugar look the same

nom complet - l'héritage qu'on traîne du couffin au tombeau, elle le porte la tête haute sans avoir aucune raison de détenir la fierté, madeline. elle devrait le détester, ce prénom à la con que beaucoup trop gens transforment en madison par habitude, qu'elle a gagné comme l'étiquette d'un choix maternelle, dernier fragment qui résiste d'une relation bancale. dissoute dans l'acide d'un divorce, et à elle seule elle incarne le déchirement familial : le choix de la mère, le patronyme du père. garde partagée du sobriquet. price, qui arbore toute la banalité d'origines moyennes. ça sent le divorce cheap, le remariage facile - et la belle mère nettement moins facile. pas synonyme de fric. pas synonyme d'importance, le nom de famille vend à lui seul toute l'absence d'essence qu'elle tente de dissimuler avec un acharnement féroce. surnoms - il faut l'entendre, cette première voyelle traînante du surnom qui se prête à l'aubade. maddie, de préférence d'un timbre velouté, les lèvres collantes d'un lipstick entêtant, à l’affleure de l'oreille capricieuse. c'est le mot magique qui ne peut appartenir qu'aux relations les plus proches, véritables ou complètement pipées à l'hypocrisie de couloir. il étire un subtil sourire au passage des syllabes.   lieu de naissance et âge - douceur qui a d'abord connu la vie plus rythmée de sacramento. pour autant elle ne garde aucun autre souvenir que les documents administratifs. délicate enfant de l'hiver madeline est née un 18 décembre pluvieux, journée sobre pour une gamine solaire.  à nevada city depuis - l'idylle familiale a volé en éclat à l'aube de ses six ans, fini le petit appartement au centre de sacramento, adieu maman, bonjour nevada city. elle y vit ses meilleures et ses pires années, diluant à grandes eaux les rares souvenirs des premières années de vie, comme si nevada city méritait d'être le noyau d'un vie, avec sa gueule de travers et ses magasins inintéressants. classe à la rentrée 2019 - le meilleur pour la fin, en dernière année ce sont les derniers mois pour briller, les derniers mois pour déterminer son orientation, savoir quoi faire de sa vie ou redoubler pour s'offrir un sursis humiliant mais néanmoins salvateur, parce que l'avenir, ça lui fout la trouille maddie. l'idée de perdre son petit monde, de toute recommencer ailleurs, ça l'angoisse quand elle enfouit son nez dans son oreiller parfumé à la brume de pivoines. situation familiale - un kit do it yourself. déchirée, rescotchée de pièces rapportées, recomposée qu'on dit mais décomposée serait bien plus pertinent parce que le cadavre du schéma de la belle famille soudée a nourrit d'un terreau fertile le divorce. les engueulades à ne plus en finir, les accusations déterrées du caveau, des reproches qui sentaient le renfermé, ça a implosé sous ses yeux terrifiés. ça lui a retourné le cœur, non pas pour ses parents, mais pour le confort de sa petite bulle qui s'est vue scindée en deux et de l'impotence maternelle a découlé la décision qu'elle irait vivre chez son père. avec sa nouvelle pouffiasse femme. ô joie. situation financière - elle rentre dans le classicisme d'une classe moyenne jusqu'à la courbe financière familiale. elle n'a jamais manqué de rien, elle ne sait pas ce que c'est que la faim, mais comme toutes les gamines elle a déjà éprouvé l'envie de celui qui a plus que ce qu'elle ne pourrait avoir. l'époque de la petite princesse gâtée par papa est révolue et elle voit tout le budget qui lui était consacré passer dans mes cadeaux pour sa nouvelle épouse. elle a toujours su qu'elle n'aurait pas une voiture pour sa majorité, ni qu'on ne lui paierait pas un poney immaculé pour ses six ans, mais elle est suffisamment précieuse pour coûter cher à quiconque tenterait de satisfaire ses lubies. statut civil - tw : elle fera vriller les plus féministes. le coeur amputé de celle qui ne voudrait surtout rien ressentir, elle frémit d'un rien, elle a le crush factice si facile qu'elle est très loin d'être l'ice queen qu'elle voudrait être madeline. si son plan universitaire n'est pas vraiment arrêté il n'en va pas de même pour son avenir sentimental, persuadée que son bonheur réside dans un couple hétéro-normé, soldé par un mariage avant vingt-ans. et attendant de parvenir sa réussite sociale elle s'affiche au bras de tommy sans laisser personne la toucher trop longtemps parce que c'est l'inquiétude qui prend racine dans son bas-ventre quand elle songe à ce qu'ils vont attendre d'elle.   orientation sexuelle - est-ce une pluralité de choix à l'époque de l'effervescence adolescente ? quand aimer le sexe opposé c'est la normalité, et le reste une fantaisie. alors en soirée elle embrasse ta copine juste pour te faire écumer, voir la folie assassine du mâle blessé, elle s'en nourrit avec bien plus de satisfaction que toutes les promesses de septième ciel que tu pourrais lui faire. le gloussement tourné en direction de la testostérone qui fleurie, elle joue des mélodies aguicheuses parfois vulgaires sans pour autant laisser la moindre chance à une petite sauterie derrière les gradins du terrain de football.   avatar - saoirse ronan. groupe - iridescence surprenante qui parcourt d'une démarche agile les couloirs de silver creek high et heureusement parce que gop l'aurait rendu beaucoup trop prétentieuse.
matière préférée - le silence est d'or mais la parole est de platine fascinée de première heure par le cours de speech, parce qu'elle rêve de maîtriser la langue comme personne et elle n'est pas si mauvaise quand elle y met du sien, la bouche en cœur, l'air de ne pas y toucher alors que fondamentalement elle n'est jamais autant dans son élément que lorsqu'elle remporte un débat. sport préféré - la gomme des tennis accrochent et couinent sur le parquet lustré du terrain, les jupes dévoilent souvent la courbe de fesses féminines. c'est le cheerleading qui remporte son suffrage, les pompons aux poignets, la souplesse féline de la gymnastique rondement menée. livre préféré - elle aime l'obscurité humaine, le poisseux réalisme de la famille retournée alors son coeur frémit face à sharp objects de gillian flynn. elle s'identifie, elle relit, recommence, balaye tout, se dit que ce n'est qu'un amas de connerie puis y revient, parce qu'elle l'aime, cette sincérité brutale d'une relation mère-fille complètement anéantie. artiste préféré -elle aime secrètement xavier dolan, à voir et revoir ses films parfois sans prétendre les comprendre, parce qu'elle trouve en leur sein une poésie fragile qui arrive à taper juste dans ce myocarde si fragile. parce que j'ai tué ma mère l'a laissé pantoise d'une admiration sentimentale.  marque de vêtement préférée - les espoirs bien au-delà des finances, elle idolâtre the kooples même si bien au-delà de ses moyens. elle se glisse avec l'aisance d'une ballerine dans des pièces qui semble avoir été coupées à ses mensurations exactes et ça l'exalte d'un plaisir fou, lui permet de caresser le fantasme d'être la fille parfaite. alors chaque année c'est le même cinéma qui s'enclenche, caprices sur supplications pour rassembler l'anniversaire et noël, qu'on lui offre une jolie petite robe. réseau social préféré - les opalines séduisantes, le battement de cil d'une biche, madeline pourrait être la candidate idéale des selfies enivrants, des stories hypnotiques où l'iris translucide suffit à décrocher des coeurs à ne plus savoir où les ranger, mais non, elle se complaît dans la viralité des vidéos tiktok, bouffée par ces vidéos de petits animaux ridicules, de danses débiles virales, de tuto beauté ennuyeux.
— teen attitude, teen problems.




get the rhythm

why do you love me - charlotte lawrence
cradles - sub urban
down - marian hill
hurt somebody - noah kahan
magnets - disclosure
valleys - honors
gemini feed - banks
tainted love - soft cell
magic in the hamptons - social house
pretty girl - cheat codes
gum (everybodys my friend) - oyster kids
bad ones - matthew dear
tempt my troubble - bishop briggs
millennial falcon - mr gabriel
just the same - charlotte lawrence



traits de caractères - c’est qu’elle a des allures de princesse, le menton haut, les opalines qui toisent les autres sans ciller, le sourire mutin qui se glisse moqueusement au coin des lèvres. elle se rêve indomptable, inaccessible, wild as fuck mais elle fléchit maddie, à l’impulsion de ses caprices, à jamais savoir ce qu’elle veut. elle en oublie qui elle est entre ce qu’elle aimerait renvoyer, ce qu’elle parvient à faire miroiter et la réalité toujours plus fade. elle veut se croire intéressante, pour fuir la banalité de la middle class, elle joue la même scénette adolescente que beaucoup de gosses étrennent, sert des moues flirteuses à des garçons jamais assez bien à son goût. elle rêve de marcher sur le monde, d’être impitoyable, l’insensibilité incarnée, et parfois elle tient suffisamment bien le masque pour écoper d’une ou deux réflexions perfides mais elle est faillible pourvu qu’on sache appuyer sur l’ecchymose douloureuse du manque de confiance – ou pire, du manque de personnalité. elle frôle le mépris, l’arrogance, les airs de pimbêche fugaces, dans son rôle surfait mais funambule de l’extrême elle menace sans cesse de retomber dans la réalité terre à terre : elle est immature, elle sonne creux et tout le monde se contrefout du change qu’elle pense donner. la popularité ne l’atteindra jamais, lorsqu’elle veut être drôle ça passe pour de la méchanceté, quand elle espère être méchante, elle sonne vulnérable. tout sauf un maestro, maddie c’est surtout la fille qui espère être premier violon de l’orchestre sans jamais avoir appris les rudiments du solfège.  

candy love -- jupes patineuses -- opale -- les perles les jours de fête -- le mensonge facile surtout à soi-même -- thé au jasmin -- lollypop -- sourire travaillé -- pastel pink – dentelle délicate -- lipstick -- mousseline -- l'ébriété rapide -- la langue qui claque contre le palais -- sucrée -- le parfum sophistiqué -- gracile -- blush -- deux doigts au fond de la gorge -- la bougie lemon lavender -- le chat sur le lit -- la vanille sur la langue -- bullet journal -- l'impatience de vivre -- sunbathing -- pivoines -- cinnamon rolls  -- lait fraise -- des baisers sur les paupières 

come on and meet mommy sweetie --
la bouche ouverte d'un o parfait face au miroir, elle applique avec patience la texture crémeuse du rouge à lèvres. candy love. le nom est proche du degré zéro de la poésie, ça colle, ça écœure l'oreille mais il pourrait s'appeler fucking peach qu'elle l'aimerait toujours autant. c'est la minutie d'un esthétique sobre mais recherché, parce qu'elle est convaincue que l'apparence régit le monde, que la terre ne continue sa rotation que parce qu'elle respecte des principes de codes couleurs, de camaïeux précieux, de textures féminines. l'enveloppe plus que le contenu, parce qu'il est plus facile de dissimuler la vacuité sous le chatoiement d'un satin qui tombe avec une justesse exquise. elle veille à donner le change d'une simplicité naturelle, parce que c'est ce qu'elle est, une fille simple. la tête pleine de rêves de complexité, de raffinement, elle juge pourtant son reflet banal et respecte cette médiocrité en ne tombant pas dans le maquillage outrageusement poussé. elle ne veut pas qu'on se souvienne d'elle pour l'ombré de ses paupières fines, mais pour l'ensemble cohérent et agréable. les lèvres se pincent, la couleur uniforme rehausse l'ensemble fade, et elle est satisfaite maddie. aussi satisfaite que peut l'être une adolescente en mal de confiance en soi. comme si les pigments étalés pouvaient dissimuler l'angoisse qui palpite dans son estomac, écrase ses poumons. elle lisse sa robe d'une nervosité inconsciente et décroche du miroir après une longue minute de doute. elle se dit qu'elle a pensé à tout. que tout va bien se passer. que l'univers ne va pas collapser aujourd'hui. pourtant ses paumes sont moites, ses réactions fébriles, mais elle revêt le masque de l'enfant parfaite, se pare d'un sourire discret si longtemps travaillé dans la salle de bain le soir avant de se coucher. ça lui coûte, l'énergie l'abandonne, ruisselle de son coeur à ses pieds et déguerpit pour la laisser démunie. tout va bien se passer. anxieuse de l'issue d'une pareille journée, elle n'a rien pu avaler. ça tombe bien, elle s'interdit de grignoter, s'imposer une discipline de fer comme si elle ambitionnait d'être rat d'opéra alors qu'elle n'est que cheerleader à silver.
l'oeil embrasse une dernière fois la chambre sans prétention qui n'a jamais été aussi bien rangé : dans l'inquiétude de l'instant de vie, elle a préféré mettre de l'ordre plutôt qu'affronter son émotivité à fleur de peau. son fragment de rien-qu'à-elle dans le château branlant d'une famille recomposée. son royaume adolescent aux murs blancs et aux polaroids d'amitié acidulée. elle se détourne d'un bruissement discret de l'ondulation de sa robe, abandonne son refuge, se mouvant comme un animal qui se sait sur le chemin de l'abattoir. elle a le palpitant retourné, la gorge nouée de la perspective d'un désastre imminent. pourtant elle gagne le salon la tête haute, l'air déterminée de la conquérante qu'elle n'est que dans ses fantasmes les plus fous. dans le canapé l'attend sagement son cauchemar que son regard évite avec un soin tout particulier. le café trop corsé embaume le salon et ça lui soulève le coeur parce qu'il n'y a qu'une personne sur cette terre pour boire quelque chose d'aussi indigeste, mais, dans son rôle de tragédienne de film d'auteur interminable elle soupèse chaque geste, pantin artificiel qui prend le temps de s'asseoir dans le fauteuil pour faire face à sa kryptonite. ne croise pas les jambes, c'est si vulgaire. trop droite, elle contrôle tout au détriment d'une spontanéité qui pourrait les sauver toutes les deux. le silence l'accable mais il est nécessaire pour lui accorder un délai pour se plonger dans le regard trop bleu qui lui fait face et se plisse instantanément de ridules qu'un sourire sincère fait remonte. sincère, mais pas communicatif. " bonjour maman." trois-cent soixante-cinq jours depuis le dernier accomplissement de cette même scène qui se répète pour chacun de ses anniversaires et ça la crispe toujours autant. parce que le divorce a arraché les derniers fils d'une relation déjà fragile. séparées trop tôt elles n'ont rien construit et faute de stabilité aussi bien mentale que financière mère et fille ont du évoluer dans deux sphères distinctes.

ses yeux plantés en elle la pétrifient, parce qu'elle sait ce qui découle toujours de ces rencontres annuels : l'avalanche classique de questions visant à faire un tour d'horizon et triturer sa vie comme un animal de laboratoire. et il faut passer par dessus les phrases banales, compliments glissés avec un amour maladroit que madeline repousse toujours avec une politesse insultante. "tu es toujours avec ton petit copain ?" elle retient de justesse de lever les yeux vers le plafond et pourtant ça la démange, ce terme obsolète, qui prend une gifle aller-retour dès qu'il accouche péniblement d'une bouche ayant pas loin de la quarantaine. petit copain. tommy. toujours. encore. pourtant elle n'y comprend plus grand-chose, ne sait plus ce qui les unit. elle n'a plus cette envie de rire à chaque fois qu'il ouvre la bouche, et pourtant il est gentil tommy. il est correct. il plait à son père et à sa belle mère. mais non, quelque chose est boiteux dans cette relation et ça l'angoisse la nuit avant de s'entendre : et s'il la quittait ? n o n . ça n'est pas de l'ordre du possible. ça la rend nerveuse, ça lui donne envie de se ronger les autres mais tous ses efforts pour être jolie ne peuvent pas être anéanti par une vulgaire appréhension, aussi féroce soit-elle. elle bat des cils, accorde un sourire timide alors qu'elle opine d'un mouvement de tête. "bien sûr." bien sûr que rien du tout. et s'il la quittait vraiment ? elle maltraite ses phalanges, les serre, fait tourner ses bagues à défaut de pouvoir s'apaiser autrement sans étaler à des yeux impudiques ce qui lui tort les tripes. elle papillonne madeline, avec ses grands yeux bleus innocents qui enrobent de délicatesse cette relation qui se meurt. et puis ce n'est pas sa seule inquiétude pas vrai ? tommy n'est pas le seul caillou qui se promène dans sa chaussure. non. il y a aussi ce regard qui admire bien trop le corps des filles après l'entraînement des cheers. c'est chaste, pas vrai ? oui. juste une ode à la poésie d'une physionomie qui se complaît que courbes. la brume de la réflexion entache ses pupilles vagues mais -- "je vais me remarier chérie." elle hoquette de surprise, arrachée à ses réflexions par l'apparition de steve dans le tableau mental et dieu sait qu'elle le hait, ce connard raciste, sans ambition autour que descendre sa bière devant la télévision en rentrant de son boulot minable. l'azur s'assombrit, la bile remonte, elle colère intérieurement mais dans son catalogue de réactions elle prend le temps de trier. elle croit que c'est un avantage mais non. "et tu vas avoir une petite soeur." la pire des arme, elle meurt derrière son masque de gamine polie, souhaite même momentanément la mort de sa mère, de son steve, et de leur embryon comment. comment ose-t-elle lui faire ça avec toute l'absence dont elle remplie sa vie ? "pardon ?!" elle glapit plus qu'elle ne parle, étranglée par sa fureur qui mue en son sein. "t'es pas sérieuse là putain ?" les aiguës trahissent l'émotivité qui frappe au rythme de son myocarde. elle est injuste. elle est égoïste. mais elle est surtout révoltée, elle a le sentiment d'être abandonnée une nouvelle fois et ça lui parait intolérable. et si proche de son anniversaire ? jamais.

le dégoût dans les veines, furieuse de se voir supplantée par un têtard dans son rôle déjà fragile de joli cœur. "je te hais." je voudrais que tu sois morte. les prunelles incandescentes de la sincérité brutale d'une haine butée. adieu douce madeline. elle refuse de servir de paillasson à la vie déplorable des autres, l'intransigeance remonte à la surface, lèche le masque fendillé. "et garde ton cadeau de merde, peu importe ce que c'est, je ne veux plus te voir." la rupture est consommée alors qu'elle ressort de son fauteuil d'un bond. qu'ils aillent tous se faire foutre, elle a besoin de personne maddie.
enfin si.
d'un mec. bien. fort. avec des ambitions autre que l'usine.
et d'une place à l'université.
et d'une demande en mariage sous trois ans.
mais pas de sa mère, de son connard de mec et de leur bâtard.






admit it - life would be so boring without me | relationships
boyfriend - elle rêve des étoiles plein les yeux de caresser la perfection maddie, et ça peut faire d'elle cette fille facile, objet de décoration à manipuler avec précaution, non pas parce que c'est fragile, mais parce que c'est versatile. c'est la meuf qui va te les briser avec ses lubies, qui va t'épuiser pour obtenir le selfie de couple parfait mais qui, difficilement, se laissera toucher, et putain, ça c'est chiant. -- (tommy) pseudo crush  - elle en pince pour un garçon, ou elle croit qu'elle en pince pour un garçon, la nuance est tenue mais bien douloureuse. elle se projette dans son avenir idéal, c'est le mec sportif, qui a un avenir, qui aura sans doute une place pas trop mauvaise à la fac, le genre de mec avec qui elle se dit qu'elle peut réussir sa vie, se marier. c'est un putain de mensonge quatre fois plus gros qu'elle mais elle y croit, elle pourrait tout lui donner pour qu'il la regarde, c'est absurde. et lui s'en tape ou y voit une meuf facile à garder sous le coude. -- (lip) amie d'enfance  - se tirer les cheveux dans le jardin à l'arrière de la maison, échanger des barbies, se raconter sa vie comme à un journal intime vivant, elles ont grandi ensemble, elles se sont disputées, adorées, réconciliées, la plupart du temps pour des histoires absurdes. elles ont pu se perdre de vue ces derniers temps mais elle compte toujours autant pour maddie. -- (libre)
son fléau  - shiny shiny shiny. elle l'envie maddie, cette fille à qui tout semble réussir, qui est bonne jusqu'au bout de ses ongles parfaits, qui règne dans les couloirs, qui brille comme personne. elle la regarde avec admiration, jalousie discrète sans volonté de lui nuire ou de lui voler sa place. c'est son modèle, même si elle ignore sans doute l'autre face de la pièce.  -- (libre) la mauvaise influence  - (peut être pensée au masculin) l'enfant parfaite, elle et sa recherche de correspondre à la fille idéale, elle est parfois chiante comme la pluie maddie quand sa préoccupation principale c'est de savoir si la couleur de son pull s'accorde à son teint. alors ça lui fait pas de mal d'être entraînée dans les bas-fonds. de toucher à l'interdit, de frémir à la nouveauté. -- (libre) lien  - description description description description description description description description description description description description description description description description description description. -- (nom)



pseudo/prénom - emilie âge/localisation - entre 26 et 27, entre  44 et  49.  avis sur le forum - le design est dégueu, qui a fait ça ? virez cette personne où l'avez-vous connu - idfk prélien ou inventé - 100% homemade


crédits : stealing storms | pando | a-sprinkle-of-moodboardss  
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MessageSujet: Re: safer to be feared than loved | maddie   safer to be feared than loved | maddie EmptyLun 9 Déc - 23:16

aïe
mes yeux n'étaient pas prêts
c'est si doux ici
sad. sad.
welcome home sweetie, hâte d'en découvrir d'avantage sur cette merveille well. well.
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Jazz Wolf
Jazz Wolf
s'entraîne pour un CAP coiffure
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dreams : 122
pseudo : cosmo.
face, © : diana silvers, miserunt.


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MessageSujet: Re: safer to be feared than loved | maddie   safer to be feared than loved | maddie EmptyLun 9 Déc - 23:18

j'ai déjà les yeux qui piquent.
ça transpire le charisme à en crever.
tu me butes.
épouse moi.
well. well. well.
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MessageSujet: Re: safer to be feared than loved | maddie   safer to be feared than loved | maddie EmptyLun 9 Déc - 23:20

j'ai beaucoup trop hâte d'en lire plus sur maddie. draw.
bienvenue sur tdnd et bon courage pour ta fiche. cute.
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Lloyd Villin
Lloyd Villin
*cries in emo*
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pseudo : anaïs.
face, © : tom webb, ©mooncalf.


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MessageSujet: Re: safer to be feared than loved | maddie   safer to be feared than loved | maddie EmptyMar 10 Déc - 0:02

yooooooo
y'en a marre de toi.
affectueusement,
quelqu'un de mort et ressuscité
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MessageSujet: Re: safer to be feared than loved | maddie   safer to be feared than loved | maddie EmptyMar 10 Déc - 1:30

Bienvenue jolie demoiselle  pervers.
Bonne chance pour ta fichette  cat
Bisous  white heart.
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MessageSujet: Re: safer to be feared than loved | maddie   safer to be feared than loved | maddie EmptyMar 10 Déc - 1:33

contente de revoir saoirse dans le coin hehe.
et ce début shook. brille.
bienvenue parmi nous white heart.
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MessageSujet: Re: safer to be feared than loved | maddie   safer to be feared than loved | maddie EmptyMar 10 Déc - 3:41

non, mais c’est parfait ce que tu écris bave. luuv.
bienvenue!
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MessageSujet: Re: safer to be feared than loved | maddie   safer to be feared than loved | maddie EmptyMar 10 Déc - 5:37

j’ a d o r e ce que je vois
ce que je lis
bienvenue par ici lil' heart.
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Madeline Price
Madeline Price
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face, © : dyer - jesaispas


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MessageSujet: Re: safer to be feared than loved | maddie   safer to be feared than loved | maddie EmptyMar 10 Déc - 11:23

@Ludmilla Agarfeld de l'amour coeur basique.

@Jazz Wolf tsssk. nope. pas de mariage, pousse-toi savage.

@Solveig Estridsen un lien, merci safer to be feared than loved | maddie 1f60f

@Lloyd Villin beaucoup trop futée pour ton propre bien. mais moi aussi je t'aime hehe. heart.

@Neven Osborne merci never fible

@Hemerick Leota je t'en veux un peu, j'avais PAS besoin d'un nouveau perso --anyway le mal est fait.

@Blake Lennon merci hug.

@Dana Castillo devine qui va vouloir un lien avec adriana ?
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MessageSujet: Re: safer to be feared than loved | maddie   safer to be feared than loved | maddie EmptyMar 10 Déc - 12:00

ah ça y est t’arrêtes de croire que tu n’es pas grillée en littéralement deux mots et quatre minutes ? hehe.
rebienvenue grognasse
du coup je m’étale pas sur cette fiche
après on va dire que c’est que parce que c’est une admin blabla
du coup ...
meh.
voilà
et j’vais la surveiller étroitement cette môme, jazz mérite rien de moins que le ciel, le soleil, la terre, la lune, les étoiles, la Voie lactée et toute la galaxie en fait hehe.
(love)
in love.
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Madeline Price
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pseudo : emilie
face, © : dyer - jesaispas


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MessageSujet: Re: safer to be feared than loved | maddie   safer to be feared than loved | maddie EmptyMar 10 Déc - 12:03

@Riley Raynes putain on franchit un nouveau cap, grognasse, carrément.
s h o o k
comment elle parle aux nouveaux elle red.
mes à genoux, écumer et as fuck te disent d'aller bien te faire voir, avec amitié
merci
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Parker Calverley
Parker Calverley
ça sent l'échec
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pseudo : ivy.
face, © : satterlee, hedgekey.


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MessageSujet: Re: safer to be feared than loved | maddie   safer to be feared than loved | maddie EmptyMar 10 Déc - 12:52

bienvenue lol
Smile
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Lip Castel
Lip Castel
aspen merci de l'oublier. bises. sander
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pseudo : twenty-two.
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MessageSujet: Re: safer to be feared than loved | maddie   safer to be feared than loved | maddie EmptyMar 10 Déc - 13:45

encore toi ???  mais.  mais.
l’aesthetic est tellement satisfaisant.
damn.
et l’avatar...
que de bons choix.
est ce vraiment surprenant venant de toi ?  siffle.
pas bienvenue. t’as pas besoin de ça pour t’installer.  coeur basique.
- romy risque de ne pas aimer maddie, ça peut faire de belles étincelles entre les deux -
vous me donnez envie de faire une Silver avec vos conneries.  think.
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Jules Lancaster
Jules Lancaster
— le cerveau et les couilles débattent
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dreams : 1302
pseudo : hufflepuff (daphne)
face, © : heizer (hoodwink)


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MessageSujet: Re: safer to be feared than loved | maddie   safer to be feared than loved | maddie EmptyMar 10 Déc - 15:54

Maddie a écrit:
-elle aime secrètement xavier dolan

v e n d u.

j'adore tout tout tout.
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MessageSujet: Re: safer to be feared than loved | maddie   safer to be feared than loved | maddie Empty

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