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| | ― be nice or go away. |  |
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| Auteur | Message |
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 | | Sujet: ― be nice or go away. Mer 21 Fév - 14:10 | |
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hermione lynch
FT. ELLA PURNELL
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nom complet - Hermione Lynch, rien à voir avec une quelconque affiliation avec le réal, t'aurais bien aimé mais non. De même ton prénom que tout le monde associe à ces ouvrages de sorcellerie tes parents l'ont en réalité tiré de l'héroïne grecque, lorsqu'on connait la mythologique c'est tout de suite moins charmant. Histoire tâchée de sang d'une famille maudite par les dieux. surnoms - seriously? Amusez-vous à raccourcir Hermione en voilà une chose que personne n'a encore réussi, Hermione ça ne se découpe pas ça se prend plein et entier. Des petits malins ont commencé à te héler par le patronyme de "Granger" pensant s'ériger emmerdeur mais t'es au contraire bien satisfaite d'être associée à une héroïne badass qui sauve le cul de ces fragiles de Ron et Harry à maintes reprises. lieu de naissance et âge - Tucson Arizona, en plein désert avec une chaleur à se faire péter la cervelle et la réserve amérindienne pas si loin que ça. T'y es née y'a dix-huit ans, et t'es foutrement contente de t'en être tirée. nationalité et origines - t'es une american-women jusqu'au bout des ongles, même si t'as l'esprit qui vagabonde à tes odyssées. Pas de celles destinées à finir dans ta bonne vieille ville d'Arizona. T'es une gamine du sud, dans le cœur et dans les tripes, une Scarlett O'Hara au caractère volcanique et à la moue effrontée. Néanmoins tu ne peux pas tenir en place, tu ne veux pas tenir en place. Ta grand-mère paternelle est une Navajo et tu n'es pas peu fière d'avoir du sang amérindien dans tes veines, elle vous a transmis sa culture et ses traditions, tu restes très respectueuse du peuple de tes ancêtres. Tu parles ainsi la langue navajo, langue na-dené qui s'apprend dans ta famille depuis votre plus jeune âge. à santa barbara depuis - moins d'un an, t'as débarqué pour y finir tes années lycée. occupation - t'es une vraie pile électrique, tu veux tout tester tout connaître, impossible de te poser. Instabilité chronique. T'aimes te cultiver mais à ta façon. Tu ne veux pas qu'on t'impose, qu'on te dicte et te dirige. Tu n'es pas faite pour rester sur les bancs de la classe à écouter un professeur, suspendue à leurs lèvres mais le regard tourné vers l'extérieur. Fervente partisane de l'école de la rue. Tu fais tes propres erreurs, tes propres choix, tu apprends dans tes rencontres. Artiste un peu bohème qui ne vis pas de ta passion, t'écris, tu peins, tu dessines, tu photographie, tu colles et rafistoles. T'es partout à la fois. Veux toucher à tout sans jamais te poser. T'enchaînes les petits boulots par nécessité pas par envie, car t'es accrochée à ton indépendance et ton autonomie si durement gagné. Tu veux te débrouiller seule et te montrer adulte mais paradoxalement, tu ne veux pas réellement t'engager dans la vraie vie, la vie de grands comme tu dis parfois. Changeant constamment d'envie et d'avis. En ce moment il t'arrive aussi d'assurer le poste d'hôtesse dans une boîte échangiste, le weekend. Lycéenne par obligation t'as raté tout une année à vagabonder sur les routes et te voilà à retaper une terminale dont tu te fiches royalement. situation familiale - bancale. explosée. niée. archivée. Tu préfères faire comme si c'était un simple détail, tu compartimentes bien comme il faut pour séparer l'avant de l'après et jures tes grands dieux que t'as coupé les ponts. Ça y est tu es libre. Ou presque. Une demande d'émancipation qui traîne en longueur, un juge pour enfant - ce gros malin - t'a collé dans les pattes de ton oncle. Démerdez-vous avec ça. Alors tu te démerdes, mais ton oncle t'as chamboulé sa vie de ton apparition soudaine et il a beau faire de son mieux il est pas armé pour affronter le bric à brac de contradictions que tu trimbales. Vous cohabitez plus que vous ne vivez ensemble, deux étrangers qui tentent de s'accoutumer. Tu sais faire, mais c'est devenu plus compliqué depuis qu'il s'essaye à se frayer un chemin jusqu'à toi, il tâtonne et tu le regardes faire. Pas encore bien décidée sur les barrières à garder. situation financière - On t'a dit un jour que pour être libre il fallait avoir de l'argent et toi tu refuses cette vérité dérangeante. Ta situation financière elle monte, elle descend. Elle vire au chaos mais jamais ne t'affole. Ton oncle prend en charge certaines dépenses mais l'idée t'enchante pas, l'impression tenace d'être redevable. Tu détestes ça. orientation sexuelle - tu te définis comme Queer, le revendiques comme étendard de ta différence assumée. Tu te définis par le fait de ne pas te définir, "étrange" "bizarre" "peu commun", tu t'opposes au patriarcat hétéronormatif, refusant d'être catégorisée. Tu ne veux pas d'étiquette interdisant qu'on te stigmatise pour la personne que tu aimes, ou celles que tu désires. Tu trouves de la beauté dans les courbes féminines, la voix suave et la poigne viril, l'androgyne.. les hommes, les femmes. L'orgasme n'a pas de genre. T'es même sortie avec un transsexuel lorsque tu étais de passage à NYC, tu n'en as aucunement honte. statut civique - De la même façon tu ne souhaites pas te soumettre aux normes d'un couple traditionnel, libertine tu suis un regard envoûtant, tombe pour un sourire charmeur. Le cœur en cavale et le corps papillon, tu n'acceptes pas qu'on te qualifie de fille facile, un homme qui passe de lit en lit est un Don Juan, une femme une salope. Ça te révolte, tu ne changeras pas ta façon d'être, d'aimer et de baiser pour des bigotes à l'esprit étriqué. T'es comme ça, la fidélité t'ennuie, la vertu te pèse, le silence t'arrache les oreilles. Tu veux du bruit, des éclats de rire, du rosé, des abat-jour roses, des regards d'homme et de femmes qui te désirent, des calomnies d'amies. T'es entre les doigts de personne et tu t'appartiens uniquement, pourtant il occupe tes songes et résonne dans tes éclats de rire, il t'ancre à Santa Barbara et fait naître le désir entre tes cuisses. Tu ne sais pas aimer à un mais à plusieurs, parce que de limites tu ne t'imposes jamais, parce que tu veux tout avoir sans rien sacrifier. Sentimentalement égoïste, amoureusement inconsciente. traits de caractères - fière, enfantine, créative, impulsive, volcanique, pugnace, militante, farfelue, aventureuse, engagée, farouche, fonceuse, no limit, emmerdeuse. Anciennement trop douce, renfermée, introvertie, tolérante as fuck.avatar - Ella Purnell groupe - iron crown. les erreurs sont une question de point de vue. Aux yeux tes parents incontestablement ta demande d'émancipation, leur couper l'herbe sous le pied, refuser de leur laisser libre accès à ton organisme. T'as fermé la boutique. Aux yeux de la loi les vols à l'étalage et les "emprunts" de voitures que t'as dû faire quand t'étais livrée à toi-même. Au yeux de ton oncle, tes nombreuses fugues qui l'obligent à passer des après-midi au poste de police. quel est votre plus gros mensonge ? - que c'est bon t'es réparée, libérée du joug parentale et totalement autonome, que t'as pas besoin d'eux, ni de lui, que tu t'auto-suffit amplement. Nul homme n'est une île. quel est votre rêve le plus fou ? - tu croyais l'avoir réalisé maintenant tu sais plus, t'as besoin d'un nouveau rêve et il peine à se former, incertain il change sans arrêt de visage. Peut-être t'installer quelque part très loin, en Europe, en France où t'as toujours rêvé de partir, l'emmener avec toi cette fois encore. comment vous voyez-vous dans dix ans ? - idéalement, t'as pas arrêté de voyager, fais ton tour du monde à la Jules Verne, t'es retombée 100 fois amoureuse et finalement t'as trouvé quelqu'un à qui te raccrocher. Dans la réalité tu sais que ça sera très loin de ça, si t'as réussi à te trouver ce sera déjà un gros pas en avant. pseudo/prénom - same. âge/localisation - douce france avis sur le forum - tellement naze qu'on se fait tous des dc  . où l'avez-vous connu - un jour lointain dieu créa bazzart  autre - jveux du harcèlement par mp venez à moiiii  jvous chanterais "aiiieee confiance"  |
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| | Sujet: Re: ― be nice or go away. Mer 21 Fév - 14:11 | |
| Dors le mal est passé il te rattrapera pas
Le souffle coupé tu n’es plus son appât
Ta peine s’est fondue au délire des autres[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]( do you bleed for me? ) t'as été éduqué dans la froide passivité. A mi-chemin entre l'indifférence et l'utilisation t'as appris très tôt que tout l'amour qu'on pense à tort incommensurable et naturel n'est en réalité que donnant-donnant. Un deal passé dès ta naissance avec l'affection parentale, autrui vous estime à ce qu'il peut prendre de vous. Tu es ce qu'on appelle joliment un bébé médicament. Dans les faits, c'est pas si poétique, l'échange équivalent bon pour les limbes tout n'est qu'une question de point de vue. De l'extérieur ça sonne altruiste. Un gage d'amour pour un secours nécessaire. De l'intérieur, de ton intérieur à toi : ça t'a morcelé, littéralement. Disloquant l'étincelle, arrachant tes organes vitaux. En d'autres termes, tu as été conçue pour soigner ta sœur qui souffrait d'anémie aplasique depuis toute petite et qui est en rémission depuis quelques années. Ta sœur, quand elle est sortie de la maladie elle s'est transformée en véritable tête brûlée : parapente, escalade, parachutisme, rien n'était trop dangereux pour elle. Résultat, elle faisait plusieurs allers et retours à l'hôpital et c'est toi qui réparais les pots cassés. T'es le pansement-humain de ton aînée, c'est ce que tu es.. étais. Tu lui as donné de la moelle osseuse, du sang, un bout de foie. Il y a deux ans après un accident de motocross elle a eu besoin d'un rein, bien évident tu étais toute désignée comme donneuse. C'est ton rôle. Tes parents t'ont eu pour ça. T'étais là dans la salle d'attente résignée à donner ton rein quand tu t'es réveillée, t'as fondu en sanglots. Des pleurs de soulagement, les éclats se mêlant aux larmes t'as décidé que t'en avais assez, terminé de servir de réserve de pièces détachées. T'as décidé d'avoir ta propre vie, la tienne, pas celle qui t'était imposée pour continuer d'être une poche de survie. T'as fuis l'hôpital, ta famille, l'état, t'y es jamais retournée depuis et y remettre les pieds reste ta plus grande crainte. ( like flowers we blossom and die ) Amoureuse éphémère, t'as jamais fonctionné autrement. T'aimes les débuts et les fins, les moments de flottements entre tout ça tu ne les comprends pas. Tu succombes aux premiers regards, aux premiers baisers, aux premiers rires et aux premières déchirures. Tu détestes te répéter. Aux yeux du monde tu sais que de fait les histoires d'un soir ont un caractère douteux, dépravé voir outrageusement méprisable. Aux tiens elles sont poétiques dans leur maladresse, fugaces aperçus d'éternité qui disparaissent avant la déchéance. Tu te perds de désir dans des peaux inconnues, ce sentiment qui s'éveille entre curiosité et excitation, faire un 180° en quelques heures pour des traits qui la veille encore n'existaient pas. C'est l’éclosion stellaire de deux âmes étrangères. Et puis après, après tu as le sentiment suffocant de faner ( it's a good kind of madness ) t'es une passionnée qui s'éparpille, une touche à tout en quête de révélations. Tu dessines, des dizaines de portraits, de paysages, des formes absurdes dont la signification échappe à tous, des illustrations critiques, des graffitis aux murs, des trompe-l’œil dans ta chambre, des aquarelles sous la pluie. Ta boulimie créative a franchi un cap quand t'es partie de chez toi. Elle n'a cessé d’augmenter ensuite. Faire l'idiote poétiquement est un passe-temps formidable. Tu ne te considères pas comme artiste. Quand on te demande tu réponds "je griffonne" car c'est ce que tu fais selon tes critères, ce que tu voudrais c'est qu'un de tes dessins parle au moins à une personne. Que ça ait eu du sens. Représenter de purs sentiments, de vraies émotions, quelque chose qui soulève les cœurs. Comme la communion entre spectateurs et comédiens, les musiciens et leur public durant les concerts, cette osmose partagée lorsqu'ils sont portés par quelque chose de fort. C'est ça que tu voudrais dessiner. Ça ne t'intéresse pas d'être moyenne tu veux pouvoir toucher, émouvoir ou provoquer.. ou alors tu préfères ne rien faire du tout. Raison pour laquelle le trois quart de ce que tu dessines, peins, ou photographies te sert de combustible pour feu de cheminée. ( sweet dreams are made of this ) avec lui t'as perdu un bout d'âme. T'as entendu un truc craquer. BOUM. un son fracassant à l'intérieur de ta cage thoracique. T'es presque sûr que c'est ça, un morceau d'âme qui se détache. Avec lui tu pensais t'être trouvé, parce qu'il est revenu, il revient toujours. Il t'a suivi sans un mot, aucune résistance, aucune objection alors que tu savais très bien qu'il pensait si fort à mettre les voiles. Il t'a supporté toi l'emmerdeuse de première catégorie et a commencé à se préoccuper quand personne ne se préoccupait. Ainsi de toute seule t'es devenue seule avec lui. Et puis, tout s'est cassé la figure. Murphy s'acharnant. Cette nuit-là... Elle le regarde la gamine aux yeux débordant de rires, de joie, d'appréhension nouvelle. Elle tournoie sur elle-même en chantonnant du Janis Joplin, un truc qui ressemble vaguement à "Cry Baby" mais qui devient marmelade étrange entre ses lippes incertaines. Encore un peu bercée par le biberon vodka elle se sent légère, légère presque évaporable, elle a besoin qu'on la descende sur terre d'urgence, qu'il la rattrape fermement pour la ramener à lui. Elle ne lui en voudrait pas, elle se pendrait à son cou en lui mangeant la nuque, les lèvres, le bout du nez. Il n'en fait rien, il ne le fait jamais. Il se contente de la regarder s'agiter pensif, amusé par ses excentricités il la surveille du coin de l’œil. Ils n'entendent pas les insultes qui fusent de l'autre côté du parc, l'ombre qui se rapproche, qui cherche à attirer cette attention qu'ils lui refusent. « Tu t’es trompée.. » qu’il lui signale alors qu’elle se tourne vers lui « C’est "Ain't nobody ever gonna love you the way I try to do." » il la corrige d’un air distrait et elle s’agrippe à la perche avec une espièglerie qui lui est propre « C’est vrai ? » elle parle de la chanson. Elle ne parle pas de la chanson. Il le sait, le sent à ce regard qu’elle pose sur lui, réclamation muette qui le fait tanguer l’espace d’un instant. Le gosse entrouvre la bouche pour lui répondre mais aucune parole ne s’en échappe si ce n’est l’onomatopée de douleur soudaine. Elle ne le vit pas venir : son poing s’abattre sur le visage de Milo. Son souffle coupé. Son cœur s’emballer. La peur l’engloutir. Il sert son emprise. Fort. Encore plus fort. Encore. Répétant les coups sur le corps recroquevillé du garçon à présent à terre. Il gigote. La brute alcoolisée resserre jusqu’à ce que son contrôle soit complet. Hermione elle entend déjà quelques sanglots qui étouffent sa gorge. Il commence à retracer les longs filets cramoisis sur cette peau diaphane. Il les maudit secrètement. Il rage. Il peste. Il détruit. Ses mains déchirent la peau. Elles la creusent. Elles l’enterrent. Elles l’effacent. Moins il y a de peau, plus il est excité. Excité par ce qui a été, ce que cache ces blessures de chair :
- Lâchez-le!
Il ne s’arrête. Il creuse un peu plus profondément en s’abattant sur lui, le forçant à se soumettre. Elle s’égosille vainement derrière eux.
- Arrêtez !
Elle a peur. Trop peur pour être immobile :
- J’vous en supplie !
Elle assiste impuissante aux os qui se brisent et aux membres qui se tordent. Les souvenirs se rappellent à elle plus violents qu’une mâchoire qu’on fracasse et toute pensée se volatilise. Elle ne réfléchit plus. Agit. D'instinct. Attrapant une pierre à ses pieds elle se jette sur l’ogre de fureur. Un coup. Deux coups. Le bruit d’un œuf qu’on casse. Il souffle. Il fatigue. Il tend la main vers elle, elle recule pour l’empêcher de la toucher. Il vacille. S’échoue sur le trottoir telle une poupée sans vie. Elle a encore la roche ensanglantée entre ses doigts fragiles, elle peut presque voir sa forme cabossée sur le visage à présent défiguré de l’inconnu. Il ne ressemble plus à rien. Une masse de peau informe, le liquide vermeille s’écoulant de son crâne. Elle suffoque. Elle n’arrive plus à crier. Elle s’effondre en larmes muettes. Elle hurle en silence. Hurle dans le geste, fardant les bruits. Elle n’en peut plus. Elle finit par devenir livide. Perdre haleine. Perdre la vue. Elle remarque à peine le jeune homme se relever difficilement, prendre le pouls de l’agresseur, la regarder avec cette lueur nouvelle. Celle de l’effroi. What have you done ? Ça tourne en boucle dans son esprit. Elle le sent la secouer à bras le corps, lui dire qu’il faut partir, qu’il a appelé les secours. Qu’ils doivent s’en aller. Elle arrive à peine à faire trois pas avant de vomir ses tripes dans le caniveau. Cette nuit-là t'as presque tué. Endormi entre la vie et la mort, tu crains qu'il se réveille, la culpabilité te dévorant de l'intérieur, se mêlant à la peur. Q'un jour il parle. Toi ça te prive de sommeil, de calme, de fuite. Des cauchemars qui n'en finissent pas. Ça te prive de tout même de lui. Tu peux pas le voir parce qu'il te rappelle cette nuit-là. Cette nuit-là où tout a basculé même sa façon de te regarder. T'oses pas l'affronter, paralysée à l'idée qu'il comprenne, que tu regrettes pas. En partant de chez toi t'as fait un pacte avec toi-même. Plus jamais on ne te prendrait quelque chose. Cette nuit-là on a tenté de te voler ce qui t'est trop précieux, tout c'est passé si vite. Tu sais seulement qu'il a fait couler le sang de Milo, et pour ça, il méritait de verser le sien. |
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| | Sujet: Re: ― be nice or go away. Mer 21 Fév - 14:25 | |
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| | Sujet: Re: ― be nice or go away. Mer 21 Fév - 14:31 | |
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| | Sujet: Re: ― be nice or go away. Mer 21 Fév - 16:23 | |
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| | Sujet: Re: ― be nice or go away. Mer 21 Fév - 16:55 | |
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| | Sujet: Re: ― be nice or go away. Mer 21 Fév - 19:13 | |
| whaaaaat
j'étais pas passée par ici ?
trop occupée par mon propre mystère, je vois, je vois,
parfaite. juste, parfaite.
jolem,
d'amour,
rebienvenue ma douce (wow, en écrivant, j'ai marqué douche, heureusement pour tout le monde, je m'en suis rendue compte) : 
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| | Sujet: Re: ― be nice or go away. Jeu 22 Fév - 3:43 | |
| Si la Hermionne de Harry Potter avait été aussi mignonne, j'aurais dévoré tous les films!  Rebienvenue!  |
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| | Sujet: Re: ― be nice or go away. Jeu 22 Fév - 11:07 | |
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| | Sujet: Re: ― be nice or go away. Jeu 22 Fév - 17:19 | |
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| | Sujet: Re: ― be nice or go away. Jeu 22 Fév - 17:53 | |
| welcome darling et courage pour ta fiche  have fun ! |
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| | Sujet: Re: ― be nice or go away. Mar 27 Fév - 21:06 | |
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| | Sujet: Re: ― be nice or go away. | |
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| | | | | | ― be nice or go away. | |
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