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 un peu de poésie dans ce monde de putes (volk)

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Volk Meyer
Volk Meyer
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MessageSujet: un peu de poésie dans ce monde de putes (volk)   un peu de poésie dans ce monde de putes (volk) EmptyMer 18 Sep - 23:01



volkan meyer
▬ your mother was cheaper ▬

nom complet - (volkan) ça sentirait presque le sapin et les meubles chiants à monter, héritage involontaire d'un père dont on ne veut plus dans sa vie, dont on crache la ressemblance tous les matins dans le miroir de la salle de bain. explosif petit nom qu'il a démembré, parce que ça transpire, ça suinte d'une vérité qu'il ne veut surtout pas, l'instabilité portée dans un prénom, vérité à la vue de tous, caractère dangereux derrière ses airs endormis, la lave au bout des doigts. ça chante pas, c'est pas doux en bouche, ça oblige la langue à claquer contre le palais, c'est le premier effort d'une longue liste si on veut le fréquenter. (meyer) banalité aux consonances qui se perdent entre les élans germaniques et les élans nordiques dont il se débarrasserait volontiers. surnoms - (volk) comme un prénom incrusté maintenant, un raccourci plus flou, qui ne veut rien dire, qui provoque un point d'interrogation dans les esprits vierges, qu'on pourrait presque muter en volt pour cette énergie qui le précipite dans toutes les conneries du monde. toujours in, volk la volt. ça se gueule de loin dans la rue, ça se grogne à l'oreille, une seul syllabe qu'on peut lâcher quand bon nous semble. c'est devenu son identité pour tous, à croire que le vrai surnom original reviendrait à l'appeler volkan. lieu de naissance et date de naissance - (1er octobre) la nuit fraîche, le jour qui tombe, l'odeur des pumkin pies. dégradé orangé qui bave sur un gamin de l'automne. ça craint d'être de la fin d'année, toujours en décalage avec ses camarades de classe, jamais le bon moment de l'année pour fêter son anniversaire, coincé entre la rentrée et halloween.  nationalité et origines - (americo-néerlandais) maman est un pur produit américain, délicatement banale, usée par les années, joli visage qui n'aurait pourtant jamais pu prétendre gagner un concours de beauté ou être reine du bal de promo. papa possédait du sang des lointains pays froids, du côté maternel, lointain souvenir qui pourtant imprimé dans le patronyme du gosse. à nevada city depuis - (toujours) embourbé dans son quartier avec la conviction qu'il n'en bougera pas, que tout au mieux il se décalera d'un pâté de maison, deux tout au plus, ascension sociale dont il a rien à foutre, pourtant c'est pas faute de savoir se débrouiller, de savoir trouver du pognon, de pouvoir le mettre de côté. mais c'est sa zone de confort, il maîtrise jusqu'à la moindre particule de son quotidien dans des rues qu'il pourrait redessiner de mémoire derrière la toile de ses paupières closes. beaucoup crachent sur cette ville, lui l'apprécie comme un terrier sans classe qui dégueule le home sweet home qu'on le veuille ou non. classe à la rentrée 2019 - (12th grade) joliment retapé, parce que ça lui en touche une sans faire bouger l'autre, il oublie parfois d'aller en cours, et quand il est là il pense plus à rire, à jeter un bras autour des épaules de sa girlfriend, acte de présence en dilettante. situation familiale - (disloquée) atome de chaos volkan qui a précipité la famille au fond du trou, même si elle était déjà en mauvaise posture. le voir lui, la main portée sur une cuisse que lui chérissait, les doigts qui affirment une possession au de-là d'une figure paternelle et qui exsudent un désir malsain. il l'a vu dans son oeil. lubrique. il l'a sauté, pas qu'une fois. papa surpris en bien mauvaise posture avec cette fille qu'il aimait un peu plus qu'une banale meilleure amie. plaie béante dans le corps nécrosé d'un couple déjà condamné à mort. alors il s'est tiré, ou elle l'a foutu dehors, il a jamais trop su, préférant se tirer pendant des heures entières dès que le ton montait entre mommy et daddy. alors y'a plus que lui et elle, et ça tient à un fil, parce qu'il est pas des plus présents volkan, toujours fourrés ailleurs, à fuir sa réalité qu'il trouve bien trop pesante. à pas supporter ses regards maternelles, emplis de tristesse et d'inquiétude, parce qu'elle lit en lui. elle lit le fiasco imminent, les mauvais choix, l'obscurité cousue comme un linceul au dessus de la tête de son fils.  situation financière - (insoupçonnée) dans la version officielle c'est pas le pérou mais c'est pas non plus les bahamas, maman infirmière avec son salaire un peu juste qui assure tout à la maison, papa qui de très loin verse une maigre pension, les deux cumulés qui permettent une vie normale, de se sortir du cercle vicieux qui consiste à compter ses centimes à la supérette pour ne rien perdre. dans la version officieuse ses mauvaises idées lui rapportent du pognon. touche l'argent des deals de la bande, ne refuse jamais rien qui pourrait lui faire gagner un peu plus mais le moindre dollar gagné il le garde pas pour lui, jar précieusement remplie pour sa vee. pour l'aider elle. sa famille. ses galères. trop amoureux pour songer à faire de l'épargne pour lui-même à défaut de s'offrir des chances à l'école. statut civique - (hers) jolie poupée qui capte le moindre de ses coups d'oeil, elle est beaucoup trop douce, beaucoup trop fragile pour lui et il sait qu'un jour il la bousillera, comme tout le reste, corps gracile entre des doigts qui sont plus doués pour démonter les pièces d'un moteur d'une bagnole volée que pour écrire une belle histoire, mais c'est pourtant bien la sincérité qui flotte dans le fond de sa pupille quand il lui murmure qu'il l'aime comme un fou. orientation sexuelle - (ses courbes à elle) se contrefout des histoires de sexualité, il ne jure que par elle, son parfum, le velouté de sa peau, la douceur de ses cheveux qu'il caresse quand tout va mal. n'est en émoi que face à son corps à elle, prêt à vendre son âme au diable pour qu'elle lui offre une étreinte, le reste il l'a oublié. traits de caractères - (provocateur) agitateur né, qui adore pousser les autres, d'une langue trop taquine, espiègle gamin qui se joue des limites, les frôle, les chatouille. (inconscient) il est con, volk, lorsqu'il s'agit du danger. il oublie qu'on a qu'une vie. il oublie qu'il est mortel. il oublie que les choses peuvent être grave. mais non, tranquille mon pote, tout va bien se passer. c'est pas dit. (loyal) à en crever. il pense n'avoir qu'une seule parole et s'y cramponne avec un dévouement sans égal. s'il s'engage, il s'y tient, peu en importe le prix, prêt à faire passer le reste de la bête avant tout le reste. (serein) y'a rien qui l'affole volk. il a un sens inné de la décontraction, à ne monter dans les voltages que si on provoque la bête, la pince, la bouscule. flegme apparent, force tranquille qui ne dissimule aucune réflexion intellectuelle mais juste un goût immodéré pour la tranquillité. (branleur) la paresse assumée, la clope qui vacille au bord des lèvres, le corps relâché dans un canapé défoncé. chiller au milieu de la planque, écoute les mecs discuter, échanger des rires gras. à toujours tirer au plus court, au moins fatiguant, un sens affolant de l'économie d'énergie. avatar - jannik schümann. groupe - silver4life.
matière préférée - (aucune.) cancre en puissance qui préfère se toucher plutôt qu'ouvrir un livre de classe. chaque cours l'ennuie un peu plus que le précédant, il ne sait pas ce qu'il fait encore au lycée, à s'astreindre à tenir son cul sur une chaise alors qu'il pourrait faire milles choses plus intéressantes. sport préféré - (athlétisme) time is running free. il a besoin d'avoir le feu qui ravage le poumon, frapper l'asphalte à une cadence régulière, avoir la bonne détente pour le saut en longueur, habile sport qui demande de mobiliser de nombreuses qualités et on ne va pas se mentir, il s'est toujours dit que lorsqu'on trempait dans des trucs dégueulasses, mieux valait savoir courir vite et bondir avec un peu d'agilité. flic oblige.  livre préféré - (beg you pardon?) il lit pas volkan, ou bien si, l'arrière des boîtes de céréales, les manuels de mécanique, potasse l'automobile, essuyant ses doigts sales sur son t-shirt pour tourner une page en insultant les connards de constructeurs de bagnoles, tous des rats. mais les romans, pas connaître. la poésie, pas connaître. le théâtre what is this shit.  artiste préféré - (two feet) ça vibre, ça balance, avec un rythme à faire dresser les poils, il peut s'abandonner à une écoute solitaire, entièrement relâché, serein. heureux. marque de vêtement préférée - (loin de lui les magasins) ça le fait chier volk d'arpenter les allées, il voit rien, dans ce magma de tissu, rien qui l'emballe, et puis il se dit qu'il a mieux à faire mais l'époque où sa mère pouvait faire du shopping à sa place est révolu depuis longtemps alors il compte sur vee, il la laisse choisir pour lui, se contente d'être le mannequin et le portefeuille, qui la suit sans piper mot. si elle était pas là il serait bien emmerdé de devoir se souvenir dans quel magasin aller. marque de ton téléphone - (xiaomi) parce qu'il s'en cogne d'avoir un iphone, parce que tant que ça prend des photos et envoie des messages tout va bien, parce qu'il emmerde la société dorée qui ne jure que par la pomme, et parce que ça lui fait toujours économiser un peu de pognon de ne pas lâcher le fric qu'il gagne dans un gadget comme un téléphone portable. réseau social préféré - (snapchat) c'est marrant d'envoyer des photos de merde qui ne resteront pas, parce que lui il a pas la fibre insta, il a pas l'aesthetic qui vibre au fond de lui pour savoir quand prendre une belle photo, au mieux il utilise ses deux yeux pour voir, au pire il remarque rien à la beauté.
— teen attitude, teen problems.


épargne toi ma fiche, lis ce résumé a écrit:
volk c’est la mauvaise idée sur le bout de la langue taquine. le sourire narquois toujours promu, le clin d’œil facile alors qu’il promet toujours que ça va aller, tranquille. pas de prise de tête possible, à toujours prendre les choses par-dessus la jambe il est fatigant pour la plupart des gens. pas un mauvais gosse, volk, mais il est pas brillant dans ses choix, à s’entourer de mecs qui tirent pas forcément vers le haut, pas du genre à se leurrer d’ambitions folles, il sera jamais avocat ou médecin. ni intelligent, ni populaire, il s’en fout de passer pour le crétin, celui qui fait marrer les autres dans sa décontraction assumée. maman dépassée, qui a bien tenté de tenir son fils quand elle a commencé à le voir sortir beaucoup trop tôt, revenir en sentant la nicotine, le regard hagard mais bienheureux. papa qui a eu la bonne idée de se faire la meilleure amie de volk, et lui qui les surprend. l’horreur indicible, la bile qui remonte dans la gorge, nausée qu’il garde pour lui mais qui le brûle toujours. loin, très loin, cachée derrière un étirement labial. persuadé que sa vie est suffisamment fucked up pour en avoir plus rien à foutre de rien, ne plus jamais éprouver la moindre peur. vivre en se disant au pire, tant pis. ça sent la térébenthine. ça sent aussi la défaite, mais surtout, ça ventile d’ironie foudroyante, la moue joueuse de celui qui précipite les autres des eaux troubles sans même calculer. inconscient qui pourrait bien flatter les monstres comme s’il s’agissait d’animaux dociles.  

ciel gris mais cœur léger.
blue jeans.

vibrante symphonie quotidienne qui ne connait que des basses régulières. des feels qui prennent d’assaut un corps au repos, le regard rivé au plafond grisâtre de la planque. le canapé est confortable mais n’a même plus une gueule de canapé, à force qu’ils l’éliment un peu plus. leur trou rien qu’à eux, confortable parce qu’il renferme leurs moments où ils peuvent se rêver forts et intouchables, loin du cocon familial qui asphyxie lentement. le téléphone sur une cuisse, le paquet de clopes sur une autre, il attend l’absolution ou simplement que le temps s’égrène. l’ennui lèche ses pupilles qui ne décollent pas d’un point imaginaire, ça l’absorbe tout entier, à grignoter sa solitude sans en être dérangé un instant parce que s’il est un animal sociable il aime fermer les yeux sur un univers qui n’appartient qu’à lui pour quelques heures. il médite. les pensées qui dérivent au fil de l’eau alors que les doigts se servent une cigarette roulée avec beaucoup trop de soin. il sait plus vraiment si c’est une bonne idée tout ça. fondamentalement il sait que c’est pas brillant, qu’il aurait pu faire d’autres choix dans sa vie, que fréquenter ces mecs là et marcher dans la moindre combine, mais il s’en plaint pas. ça reporte. du pognon en premier lieu, de l’adrénaline en second lieu, et puis ça le fait rire comme un con bien souvent. quand le cœur tente de s’arracher de la poitrine sous la décharge d’hormone parce qu’il s’en ait fallu de peu pour que leur vie prenne un tournant tragique – aléa qu’ils oublieront en quelques minutes seulement, esprits à mémoire vive limitée.
les lèvres accueillent le filtre, le pincent avec l’habitude de l’automatisme pendant que l’autre partie du subconscient palpe tranquillement ses poches à la recherche d’un briquet.
et puis tout ça, il le faisait pour elle aussi. c’est ce qu’il se dit souvent. et c’est pas une excuse bidon pour se dédouaner non, il assume chacun de ses actes, prêt à tout recommencer depuis le départ sans effectuer le moindre changement. mais c’est pour elle. pour vee. parce qu’elle a besoin d’un coup de main et qu’il sait bien volkan qu’il a pas la tête suffisamment remplie pour se trouver un job qui paye vite et bien. parce que là il est loin de se mettre mal avec tous ces petits trafics de gosse des quartiers défavorisés. chaque putain de dollar qu’il glisse dans sa poche arrière, il le reglisse dans une boite en fer pour vee. pour les galères de sa famille à elle. pour espérer chasser l’inquiétude de son regard fatiguée, parce qu’il l’aime au point que ça le fasse crever à chaque fois qu’il capte une poussière de tristesse là où il ne voudrait trouver que des étoiles.
la flamme danse, rend rougeoyante la clope sur laquelle il tire paresseusement. bordel est-ce que quelqu’un avait déjà remarqué que la tâche d’humidité au plafond dessinait un espèce de clébard chelou ? la tête repousse sur le dossier mou du vieux sofa au cuir pelé. ou alors c’est un chat ? il sait pas trop volk, mais ça l’occupe. il recrache mollement la fumée en direction de ce ciel bétonné. peu importe.
sa mère l’attend sans doute. ou alors elle l’attend plus au contraire, comme elle attend plus grand-chose de la vie. elle était déjà un peu au bord du précipice avant qu’on ne l’y pousse. et puis son mari avec une gamine, une amie de volkan, ça avait achevé d’imploser ce schéma familial bancal. elle avait pris dix ans en une nuit à trop pleurer un mariage qui de doute façon était dans la tombe bien avant qu’il ne s’amourache de chair trop fraîche. rien que d’y penser, la bile remonte dans sa gorge. riley. putain. la main tremble momentanément de devoir retenir cet élan de colère. il ferme les yeux.
seconde inspiration profonde de nicotine, toujours renversé.
avachi. corps trop mou.
il aurait pas pu s’en taper une autre ? c’est dégueulasse. ça avait miné la mère. miné le fils. parce qu’il pouvait pas nier qu’il était toujours resté insensible à la brune. trop souvent chez lui. et maintenant ça lui filait la gerbe, de se demander à partir de quel moment elle était venue pour daddy et non plus pour lui.
la vie est mal foutue.
les naseaux qui fument doucement, la rétrospective se voit éventée par la sonnerie d’une notification, la technologie qui asservie l’adolescent pour lui apporter cette nouvelle qu’il attendait. un lieu, une heure, sans plus de politesse ou de signature. c’est la coutume. il est pas là pour enfiler des perles, aujourd’hui il s’agit d’aller livrer une bagnole volée à un groupe de connards qui se chargeront de l’envoyer loin, très loin, pour en faire quoi ? aucune idée ça le regarde pas et il s’en branle. volk, trop tranquille pour être piqué d’une curiosité dangereuse qui pourrait mettre directement sa tête sur la guillotine.
le corps reprend vite, sa rappelle à la vigueur si jeune, reprend un tonus immédiat alors qu’il bondit sur ses pieds. la souplesse d’un chat qui s’accommode des pires positions sans éprouver la douleur. il sort en plein jour en grimaçant de la lumière qui l’éblouie et percute un corps qui manque de lui faire perdre sa précieuse clope. il dévisage son adjuvant. ollie. la crispation du choc inattendu se dissout instantanément. lui il est protégé par l’aura de venus. petit frère chéri contre lequel volk n’a jamais rien eu à redire même s’il ne s’attendait pas à le trouver sur son terrain. lui les familles nombreuses il connait pas. il appréhende avec prudence ces liens qui lui paraissent solides. à hauteur de ce que lui est loyal envers ses potes. – alors ollie, le centre aéré t’a libéré plus tôt ? il taquine sans amertume, l’œil qui scintille toujours d’une certaine espièglerie naturelle. il aime pincer. jouer. provoquer. faire réagir. il le contourne en pensant déjà à son objectif d’aller débâcher la caisse qui détient toute son attention. – si tu cherches vee elle est pas là. elle est jamais là même. jamais. jamais il prendrait le risque de ramener une douceur dans pareil endroit. pas qu’il redoute les mecs, mais plutôt qu’il considère qu’elle a rien à faire là, que ça serait trop brutal pour elle. – et j’reste pas non plus. traîne pas ici, t'as rien à faire là, rentre chez toi. il lui tourne déjà le dos, prêt à lui dire au revoir, à faire sauter la clef de la voiture dans la main extirpée de sa poche avant de se figer et virevolter. – eh ollie. t’as déjà conduit une voiture ? la mauvaise idée flambe déjà dans un coin de sa tête, parce qu’il est pas prêt de s’improviser superviseur de conduite. c’est tout volk. il veut bien faire, pas laisser le gamin sur l'carreau et pourtant il pense même pas à lui demander ce qu'il fout là.
désinvolture de l'extrême, inconscient.
aucun calcul n'est tiré à l'avance pour évaluer la gravité de la situation à venir, parce que c'est pas comme s'il allait vendre la vaisselle de grand-mère à une brocante et pourtant il agit tout comme.
tranquille.
on risque rien.
on risque de vivre. ou peut-être d'avoir des emmerdes. mais lui ça le rend vivant, c'est une drogue trop ancienne pour qu'il décroche de ces palpitations affolées quand il a le sentiment de toucher du doigt un truc qui sort de la ligne plate du quotidien. joe la débrouille depuis trop longtemps pour se souvenir qu'il a pas à entraîner les autres dans son sillage, que tout le monde n'est pas aussi indépendant, insensible, inconscient que lui. il devrait pas toucher au petit frère de vie. seize ans, pauvre môme. mais dans sa tête il fait pas de mal volk, il propose à l'autre de s'amuser un peu, parce qu'à son âge il avait déjà fait bien pire. la distinction du bien et du mal a cessé de couler de source depuis longtemps et c'est pas avec son absentéisme à l'école qu'il va aller loin.
mais depuis toujours,
i l . . p e n s e . . p a s . . à . . m a l . . v o l k.



pseudo/prénom - robbie/émilie âge/localisation - old but gold. avis sur le forum - les admins sont relou de ouf. où l'avez-vous connu - il était dans mes fav autre -  ce quatrième compte va bousiller mon entreprise alors merci de tous me donner un p'tit quelque chose pour que je survive ? love
edit : vu que je rejoins la bande à dodo il me faudra un lien avec @michael de luca @cosmo kidd @fran fusco @nate dixon
réserver son avatar : ta mère
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Marlowe Nilsen
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MessageSujet: Re: un peu de poésie dans ce monde de putes (volk)   un peu de poésie dans ce monde de putes (volk) EmptyMer 18 Sep - 23:07

nibvueybfinoz,efzebfzeonfzenf
PREUMS shook. shook.
2. 2. 2.
hug. hug. hug.
respect respect respect
felt. felt. felt.
et surtout
just dance. just dance. just dance.
(je t'aime bordel)
(t'es beau)

edit : "les admins sont relou de ouf." red. red.
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MessageSujet: Re: un peu de poésie dans ce monde de putes (volk)   un peu de poésie dans ce monde de putes (volk) EmptyMer 18 Sep - 23:34

J'AIME BEAUCOUP TROP CE QUE JE LIS.
genre
wow ?!?
vivement la suite well. well. well.
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Volk Meyer
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MessageSujet: Re: un peu de poésie dans ce monde de putes (volk)   un peu de poésie dans ce monde de putes (volk) EmptyJeu 19 Sep - 0:55

moh
vous êtes beaucoup trop chou les bb
♥
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MessageSujet: Re: un peu de poésie dans ce monde de putes (volk)   un peu de poésie dans ce monde de putes (volk) EmptyJeu 19 Sep - 9:55

ohlala mais ohlala rebienvenue déjà (ouais t'as raison les admins sont relous de ouf) coeur basique.

j'aime trop ce pseudo et de ce vava hihi
hâte d'en lire plus !!! draw.
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Lloyd Villin
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MessageSujet: Re: un peu de poésie dans ce monde de putes (volk)   un peu de poésie dans ce monde de putes (volk) EmptyJeu 19 Sep - 11:48

ok ok ok
quelqu'un est clairement pas venu pour jouer mais.
tout ce cynisme, c'est délicieux
marre de toi et de tes persos parfaits tbh ouep.
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Volk Meyer
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MessageSujet: Re: un peu de poésie dans ce monde de putes (volk)   un peu de poésie dans ce monde de putes (volk) EmptyJeu 19 Sep - 15:52

han mais ?
trop d'honneur ?
coeur basique.

et lloyd
c'est toi qui parle de perfection t'sais
pff.
l'hopital, la charité, tout ça tout ça
j'aimerais être au moins à la hauteur de ta cheville
un peu de poésie dans ce monde de putes (volk) 1f481
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Parker Calverley
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MessageSujet: Re: un peu de poésie dans ce monde de putes (volk)   un peu de poésie dans ce monde de putes (volk) EmptyJeu 19 Sep - 17:28

ce résumé goddamn
j'ai des palpitations cardiaques
un peu de poésie dans ce monde de putes (volk) 3639313848
coucou tu me gardes un lien,
ce serait cool que je puisse show you some love au moins sous une (1) de tes incarnations
(puis two feet par dessus le marché, j'veux dire  un peu de poésie dans ce monde de putes (volk) 1f44c )
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Volk Meyer
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MessageSujet: Re: un peu de poésie dans ce monde de putes (volk)   un peu de poésie dans ce monde de putes (volk) EmptyJeu 19 Sep - 17:30

Parker Calverley a écrit:
ce résumé goddamn
j'ai des palpitations cardiaques
un peu de poésie dans ce monde de putes (volk) 3639313848
coucou tu me gardes un lien,
ce serait cool que je puisse show you some love au moins sous une (1) de tes incarnations
(puis two feet par dessus le marché, j'veux dire  un peu de poésie dans ce monde de putes (volk) 1f44c )

o m g
t'as la ref.
putain, t'as la ref.
je meurs

coeur basique.
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MessageSujet: Re: un peu de poésie dans ce monde de putes (volk)   un peu de poésie dans ce monde de putes (volk) EmptyJeu 19 Sep - 18:09

Re-Bienvenue salut.
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MessageSujet: Re: un peu de poésie dans ce monde de putes (volk)   un peu de poésie dans ce monde de putes (volk) EmptyJeu 19 Sep - 18:11

euh nan, on fait pas ça...
c'est mochbô, ça donne des émotions.
cette écriture qui roule sur la langue. ses rythmes.
bref. j'suis pas d'accord.

EDIT : (eh bah voilà, je me suis trompé de compte)
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MessageSujet: Re: un peu de poésie dans ce monde de putes (volk)   un peu de poésie dans ce monde de putes (volk) EmptyJeu 19 Sep - 18:42

mais mon dieu, ce résumé m'emporte déjà et le début de la fiche??? bref c'est pas juste, bcp trop de talent en une personne. in love. well.
hâte que tu brise le coeur de la petite vee, et puis hâte du drama qui arrive hein. et puis hâte de lire ta fiche parce que c'est pas assez pour moi. i need more. red. no ugh. shook.
bref, rebienvenue chez toi. coeur basique.
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Lyes Wilder
Lyes Wilder
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MessageSujet: Re: un peu de poésie dans ce monde de putes (volk)   un peu de poésie dans ce monde de putes (volk) EmptyJeu 19 Sep - 21:34

viens @parker calverley on se trouve un lien positif et on va latter @jules lancaster parce que quand j'le te vois taguer partout pour te mettre en prison je me dis qu'il mérite une toute petite correction
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Jules Lancaster
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MessageSujet: Re: un peu de poésie dans ce monde de putes (volk)   un peu de poésie dans ce monde de putes (volk) EmptyJeu 19 Sep - 22:03

Lyes Wilder a écrit:
viens @parker calverley on se trouve un lien positif et on va latter @jules lancaster parce que quand j'le te vois taguer partout pour te mettre en prison je me dis qu'il mérite une toute petite correction


Bonne chance cc toa.
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Lyes Wilder
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MessageSujet: Re: un peu de poésie dans ce monde de putes (volk)   un peu de poésie dans ce monde de putes (volk) EmptyJeu 19 Sep - 22:28

mh volk traîne dans des trucs louches
il peut cacher ton cadavre dans une bagnole volée et l'abandonner dans un ravin ouep.
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