hand holding and rough sex (donny)

nom complet - lol, tu crois qu'il t'dévoile son blase entier comme ça ? nope, le don italien a une réputation à tenir et clairement, il préfère se faire arracher les burnes à pleines dents plutôt que d'avouer un jour s'appeler donato. c'est censé être mignon, un hommage de sa daronne à son grand-père partisan et tutti quanti, mais la vérité c'est que c'est la putain de honte. alors donato s'est mué en donny comme blase officiel, lui-même grimé en don pour la classe de mafieux. ryder en revanche, ça claque dans l'air, ça donne une petite vibe un peu hot qu'il ne réfute pas. ryder, c'est le nom du père 'ricain venu faire fortune en italie. un daron presque inconnu dont il ne conserve pas bien plus que ça. un patronyme et du sang vicié. surnoms - don, la classe mafieuse et l'respect à l'italienne. lieu de naissance et date de naissance - donato a vu l'jour dans une banlieue crasse de bologne, le 17 mars 2001. sa mère était encore mineure et tout le temps qu'a duré la grossesse, sa famille a essayé d'lui faire entendre raison pour qu'elle se débarrasse du mioche vagissant qu'allait forcément ruiner son futur. elle n'a rien voulu entendre, a continué à fréquenter la petite frappe instable qui lui avait collé un polichinelle dans le tiroir et a assumé, tête droite et menton fièrement dressé, même quand ses parents l'ont fichue dehors avec un môme dans les bras. nationalité et origines - américain et italien, le meilleur des deux mondes. à nevada city depuis - dix ans. donny a huit ans lorsqu'il est arraché à bologne dans l'espoir d'une vie meilleure. du fond d'sa prison, papa a tout organisé, laissé des consignes et des liasses de billet : estella et donato doivent rejoindre sa soeur à los angeles et mener la grande vie en attendant son retour. sauf qu'elena n'est pas si fiable. entre défiance et inimitié, elle n'offre que les miettes de la somme promise et refuse de les héberger plus d'une semaine. inatteignable, inhospitalière, los angeles évolue en un rêve inaccessible, bien vite remplacé par une consoeur californienne moins tape-à-l'oeil.  classe à la rentrée 2019 - 11th grade pour la seconde fois. deuxième redoublement, deuxième haussement d'épaule paisible. y a pas un soupçon de contrariété dans l'attitude du don : c'est pas l'école qui lui a dicté ses codes (nan nan). le lycée, il s'en branle. c'est juste une plaque tournante de clients et un squat agréable où rôder en journée. rien de plus. aucune matière ne le passionne et il ne voit son avenir que dans la rue, dans le biz. et puis l'école sans suri, c'est beaucoup moins stimulant. personne à mater en littérature, personne à entraîner dans les chiottes pendant la pause. y a que la pause déjeuner que donny révère parce qu'elle lui permet de se barrer de là et d'rouler des mécaniques devant le lycée de sa princesse pour l'en arracher le temps d'un repas. situation familiale - chaotic good. tout le monde ouvre sa gueule sur son foyer désoeuvré et donny, ça l'fout en rogne et le rend fébrile, prêt à bousiller des mâchoires. parce qu'il n'y a que lui et sa mère, depuis l'arrivée aux états-unis et qu'elle est toute sa vie. s'il devait crever pour qu'elle vive, promis juré qu'il s'arracherait l'coeur à mains nues sans même putain de réfléchir. estella est une reine, le soleil autour duquel il gravite. elle l'étouffe d'un amour radieux, l'admire et glorifie ce môme qui les aide à subsister, qui l'allège du poids des responsabilités trop lourdes à porter. estella, elle était pas faite pour son titre de mère courage, de mère célibataire, de mère adolescente. elle a tout assumé parce que mike, l'amour de sa vie, était là pour lui tenir la main. sauf que mike, il a buté quelqu'un et salement s'il vous plaît. une histoire de règlement de compte qui tourne mal, de torture qui file la gerbe. peu importe, il défraie la chronique et elle n'a pas d'autres choix que la fuite pour préserver l'âme d'enfant de son rejeton. donny, ne sait pas vraiment les horreurs commises par son père. donny, il ne se souvient que de l'homme affable et chaleureux, habillé comme un prince et bronzé même en hiver. et puis maman a raccommodé la vérité pour faire de l'assassinat un accident, un coup monté, n'importe quoi sauf la vérité. elle est forte sa mère et donny l'aime à en crever, la couvre de cadeaux et démolit quiconque lui manque de respect. ils furent nombreux à l'époque ingrate du collège à cracher sur sa mère. à balancer que c'était une pute et qu'elle allait les avaler pour cinquante dollars. c'est vrai, c'est putain de vrai mais il ne le sait pas ou refuse de l'entendre. donny, il a l'déni amarré à l'âme quand ça concerne les siens et puis au final, peu importe qu'elle écarte ou non les cuisses : estella, c'est un putain de diamant et ceux qui ne le réalisent pas ne sont que des gros tocards. situation financière - self-made man. difficile d'ignorer que don se fait un paquet de fric tant il se plaît à s'balader avec ses fringues griffées et ses liasses de bif' dégainées à la moindre occasion. il a les canines lustrées qui rayent le macadam et le besoin viscéral de s'élever dans la société, de renverser tous ces petits bourgeois de merde pour trôner au-dessus de la mêlée. il est fier, donny. fier d'gagner du fric par lui-même, fier d'contribuer à rendre sa mère et sa meuf heureuses, fier d'pouvoir s'acheter une bagnole cash et d'accumuler les merdes à la mode juste pour faire comme tout le monde. faut dire qu'il a toujours eu d'la suite dans les idées. ça a commencé par les jeux vidéos crackés, les copies d'examen vendues sous le manteau, les comptes ps3 corrompus et toutes ces conneries. puis y a eu les cigarettes de contrebande ramenées du mexique, les contrefaçons chinoises pour monter un biz' insta jusqu'à ce qu'il se décide carrément d'vendre ses carnets d'fournisseurs pour pas cher. puis la drogue et ses p'tits systèmes pyramidaux pour redistribuer des fonds à ceux qui en manquent. on le dit lycéen mais la vérité c'est que donny, il est apporteur d'affaires, broker, entrepreneur et tout ça à la fois. il a peut-être une éducation de merde et des lacunes scolaires immenses mais putain, il a le sens des affaires et sait se montrer à la fois malin et inoffensif, le cocktail létal pour dominer l'monde. statut civique - en couple depuis trois ans. et contrairement à tous les bolosses qu'assument pas ou minimisent leur engagement, donny est le plus heureux d'la terre quand il peut étaler son bonheur aux yeux du monde et des réseaux. la vérité c'est que donny c'est un mec simple et si ses rêves de gloire sont grandiloquents, en amour il cherche seulement l'authenticité des sentiments. un truc banal, simple, pas prise de tête. durable. forcément, qu'il se fait abuser par les caprices de sa nana de toujours, la voisine de palier flamboyante. suri, sirène de ses nuits. ensemble depuis des années et pour toujours, sa seule maturité se situe là, au creux de ses bras. il n’aime qu’elle, mate les autres meufs pour la forme mais aucune ne peut supporter la comparaison avec la sienne. plus belle, plus tendre, mieux gaulée, plus douce, plus casse-couilles, plus maligne, plus tout. suri est sa princesse, la bonne, la seule et il aime tout d'elle, même les défauts relou qui finalement la rendent plus attachante encore. il la vénère, l'aime, l'adore, et malgré sa nonchalance et ses allures de petit caïd peu fiable, donny ne doute pas une seconde de la force de ses sentiments : elle et lui c'est pour la vie et putain si quelqu'un la touche, il le flingue. obligé. sûr qu’il lui parle comme un tocard parfois pour faire le malin, sûr qu’il oublie de répondre à ses textos de temps en temps mais la vérité c’est que donny est passé roi pour s’faire pardonner dans des grandes effusions excessives mais touchantes. il a merdé ? il n'envoie pas un bouquet de fleurs, non. lui, il fait livrer un camion entier, il remplit son putain d'hlm de ses fleurs préférées et pourrait bander rien qu'en l'imaginant sourire. c'est dire. orientation sexuelle - hétérosexuel. jamais la question ne s'est posée parce que dans son monde étriqué, c'est inenvisageable d'être une pédale (sic). deux nanas c'est sexy putain, mais deux mecs c'est quand même sacrément dégueu. donny n'irait pas jusqu'à tabasser quelqu'un en fonction de son orientation sexuelle mais le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il n'est pas tout à fait gay-friendly. traits de caractères - roublard, fanfaron, loyal, débrouillard, nonchalant en général mais putain d'impulsif, sanguin si ça vaut l'coup, le latin qui prend le pas sur l'amerloque, mégalo touchant, excessif en tout, l'éducation chaotique mais épris de certaines valeurs surannées (l'importance du sang, l'amitié organique, l'amour fidèle), fier, téméraire, un rien naïf, immature, impétueux, direct, chaleureux, le pardon facile mais la rancune tenace, entier, malin, la gouaille tatouée sur les lippes, rêveur, beau parleur, créatif et intraitable en affaires, sérieux dans ce milieu là, frimeur, rêveur, putain d'ambitieux, fougueux, tenace et rusé. avatar - maverick mcconnell. groupe - silver.

matière préférée - aucune ne le transcende vraiment mais donny, il a toujours excellé en arts plastiques. si son talent est inexistant (sauf peut-être en graffitis un peu nazes), il a néanmoins un don inouï pour inventer des interprétations de ses pseudo-oeuvres suffisamment pêchues pour endormir n'importe quel prof. roublard as fuck, on dit qu'il vendrait même une bagnole à un aveugle et la vérité, c'est que c'est possible. sport préféré - hmm, donny, il aime les sports de contact. le football américain, la boxe, le hockey tout ce qui lui permet de s'défouler et de filer les torgnoles discretos. mais la vérité, c'est que là où il est meilleur, c'est le sprint. le numéro un d'la fuite en avant sous le nez des flics, les poches pleines de merde ? c'est lui. livre préféré - pas sa came, il s'emmerde devant un bouquin. artiste préféré - eminem. marque de vêtement préférée - il s'en branle, tant que c'est griffé, et que la marque est parfaitement lisible. accro au luxe ostentatoire (et un peu cheap) pour bien montrer qui a la plus grosse, donny ne manque jamais une occasion d'montrer qu'il a du fric et plus encore, qu'il est un putain de self-made man qui l'a gagné tout seul, à la sueur de son front. du coup, ses goûts sont un peu anarchiques, suivant la logique mercantile : plus c'est cher, plus c'est visible, plus c'est beau. marque de ton téléphone - il en possède plusieurs, un par business, un pour ses proches, l'dernier pour le reste du monde. tous des iPhone dernier cri. réseau social préféré - instagram putain, pour y poster des liasses de billets et des photos de sa princesse. il a aussi un compte dédié à son affaire de contrefaçons qui marche plutôt bien. normal après tout, il a les meilleurs fournisseurs chinois.