• how to break a boy (1M)

⏐ cruelty loves company

♂ — rory (modifiable)
(libre) 16-18, golden oak private.
golden boy aux poches pleines et au sourire impeccable, Your Typical Teenage Jerk, livré avec pull tommy jeans et un goût prononcé pour la gratification immédiate. tantôt détestable et adoré, ou adorable et détesté, une chose est certaine : sa grâce rédemptrice, c'est le sport. prodige du golf, son avenir est tout tracé : il s'est déjà vu offrir une bourse pour swinguer le club à la très prestigieuse université de stanford une fois son diplôme en poche.
ou tel était le plan.


rory et parker, la voiture de course et le nid-de-poule. match made in hell. le nombre de banana splits qu'il a pu bouffer juste pour avoir une raison de traîner à la glacerie où elle bosse est astronomique. parker, quant à elle, a passé des mois à attendre qu'il l'embrasse et quand il s'est finalement décidé à le faire, il s'est mangé une gifle. "désolée. réflexe." le début parfait pour leur idylle aux deux extrémités du spectre, les étreintes et les sévices. eux deux, c'était chapeaux de roue, hostile et grisant dès le départ. rory est loin d'être parfait et il est tout sauf parfait pour elle : il est arrogant, elle est agressive, sans compter qu'elle est persuadée de n'avoir été pour lui qu'une longue crise d'adolescence, un brin de rébellion à arborer devant les potes et les parents, le white trash brandi pour contraster avec son image de gosse parfait. cerise sur le gâteau de la discorde, @nichola walton, ami proche de rory qui a toujours étalé ouvertement le dédain qu'il éprouve pour parker, inimitié qu'elle lui rend si bien. en tout, rory et parker, ce fut un an et demi d'hystérie et de réconciliation : elle le plante, il drague une autre devant elle, elle fout le feu à son pull, il l'emmène en week-end dans la beach house des parents, rinse and repeat. un maelstrom de premières fois qui a culminé en premier ravage romantique. il est allé se perdre dans le lit d'une autre, ce que parker a fini par découvrir après plusieurs semaines de mensonges. la rupture fut, à l'image de la relation, sonore et sanglante.

depuis, cinq mois ont passé et ils se sont montrés aussi mauvais à être ex qu'ils ne l'étaient à être amoureux. ils ont gardé le contact, que ça soit pour s'envoyer des insultes ou des booty calls mal avisés de fin de soirée que park regrette invariablement le lendemain. question de mémoire musculaire, les disputes leur ont toujours servi de préliminaires. malgré son incapacité à garder ses distances, parker ne fait pas un secret de la haine et de la rancune qu'elle ressent pour lui. alors quand rory reçoit un appel des recruteurs de stanford lui annonçant qu'ils reprennent leur offre car ils ont reçu des photos de lui usant de drogues récréatives, il doit pas y réfléchir à deux fois. il sait exactement qui blâmer. parker, that bitch, harpie infernale prête à tout pour lui faire payer ses fautes, prête à ruiner une vie au nom de sa pseudo-justice.
le soir même, ayant noyé l'avenir avorté dans des généreux shots, rory voit passer une photo de parker vivant sa meilleure vie à une soirée crasseuse avec son amie @babi mancini et décide d'aller confronter la petite garce sur son terrain à elle. il prend le volant malgré la brume dans son haleine et, quelque part sur une route du south side, sa calandre rencontre un vélo et un corps roule sur l'asphalte. dans la panique du moment, l'instinct de conservation prend le pas sur l'humanité. déjà privé de stanford, il est douloureusement conscient qu'il ne peut pas se permettre un casier, et prend la fuite. good news: dans les jours qui suivent, il découvre que le corps qu'il a laissé là va (relativement) bien et ignore qui l'a renversé. bad news: le corps, c'était babi, et parker a ouvert une chasse à l'homme.

Spoiler:

— idées d'avatars : herman tømmeraas, alex fitzalan, michael provost, odiseas georgiadis, kit butler, jacob elordi, wynston shannon, markel williams ; absolument carte blanche, idéalement une tête de beau gosse qui fait un peu preppy (if that makes sense).