Le Deal du moment : -21%
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, ...
Voir le deal
39.59 €

Partagez
 

 c'est toi //jarty post-rupture de dana

Aller en bas 
Aller à la page : 1, 2  Suivant
AuteurMessage
Jules Lancaster
Jules Lancaster
— le cerveau et les couilles débattent
here since : 15/09/2019
dreams : 1302
pseudo : hufflepuff (daphne)
face, © : heizer (hoodwink)


c'est toi //jarty post-rupture de dana Empty
MessageSujet: c'est toi //jarty post-rupture de dana   c'est toi //jarty post-rupture de dana EmptyMar 3 Mar - 16:12

Tu es une horrible personne. Tu es horrible parce que tu venais de vivre une conversation difficile à entendre, difficile à dire. Tu venais d’assister à la fin de ton couple, pas seulement en terme d’amoureux, mais en terme amicaux. Dana et toi aviez commis une grosse erreur. Vous n’étiez pas des amoureux. Vous n’étiez pas autre chose que des amis. Vous aviez été là l’un pour l’autre au pire moment de l’adolescence et vous vous étiez jetés corps et âme dans une relation sans queue ni tête. Vous aviez vécu une lune de miel au chalet, mais le retour à la réalité avait été brutale. Dana avait essayer d’être amoureuse de toi et de ton côté tu croyais avoir réussi à faire terre ton esprit sur Artémis. Ça n’était pas arriver, Dana n’était pas amoureuse et tu n’arrivais pas à te sortir de la tête Artémis. Ce désir physique, même à distance, te brûlait les entrailles. Tu rêvais à elle la nuit. Tu pensais à elle en ouvrant les yeux le matin et ta dernière pensée lui était destinée. Tu cherchais son regard à l’école, tu trainais dans le coin des secondes dans l’espoir de la croisée accidentellement. Tu voulais ressentir ce battement de cœur qui te manquait tant. Faire l’amour avec Dana avait été magnifique et tu n’échangerais cet instant pour rien au monde. Dana avait été parfaite, le moment l’avais été. Néanmoins, votre séparation venait d’être une libération pour toi.

Un dernier câlin entre Dana et toi et tu la quittes ne sachant pas si vous serez à vous reparlez rapidement. Cette pseudo relation-amoureuse avait créer un fossé entre vous. Pour l’instant, dès que les mots avaient été prononcés ton estomac avait été noué et tu voulais prendre tes jambes à ton cou. Tu savais où tu voulais être, tu savais ce que tu voulais faire et tu savais avec qui tu voulais être à cet instant précis. Tu savais que tu voulais la voir immédiatement, pas demain, pas dans une heure, pas même dans une minute. Tu sautes dans ta voiture et commence à rouler en direction de sa maison. Cette immense maison trop souvent vide. Cette immense maison qui avait aussi été le théâtre d’une séance de cul entre elle et ton meilleur ami, mais tu t’en foutais. Tu devais être bien prétentieux, mais tu savais qu’elle aussi t’attendait.

Tu ne sais pas en combien de minutes tu avais franchis les kilomètres entre la maison de Dana et la sienne, mais tu es convaincu que cela ta pris moins de temps que supposé. Tu avais roulé comme une flèche, tu ne respirais plus. Tu étais littéralement en stan by et ton esprit n’avait plus aucune cohérence. Il suivait une seule directive ; rejoint Artémis. Tu es impulsif, tu as envie de courir jusqu’à elle et c’est ce qui explique la raison pour laquelle tu as placé ta voiture en angle devant sa maison et que tu es sorti en laissant le moteur tourné. Mine de rien tu prenais conscience que dès la seconde où tu l’avais quitté dans le placard à balai, tu n’avais eu qu’une seule véritable envie ; y retourner et l’embrasser à l’infini. Tu n’aurais jamais dû partir. Tu étais un romantique et tu étais maintenant sûr et certain ; tu étais amoureux d’elle. Tu étais amoureux d’elle et jamais rien n’arriverait à t’enlever ça. Tu avais essayé, très fort, mais tu l’avais dans la peau. Elle brûlait ton sang, elle s’imprégnait en toi comme un virus et tu n’avais plus aucune envie de le combattre. Les derniers mois avaient été difficiles. Tu ne voulais plus jamais ressentir ce manque en toi. Artémis était la tienne. Tu toques comme un enragé à sa porte, tu sonnes à plusieurs reprises et tu peux l’entendre pester. Sa petite voix te faisait vibré. Elle ouvre la porte prête à insulté le connard qui la dérange comme ça. Son mouvement est interrompu en te voyant. Elle place une main sur sa hanche et l’autre main toujours sur la poignée. « Qu’est-ce que tu fous là. » Ça n’avait absolument rien d’une question.

Tu met ton pied chez elle, elle ne recule pas. Elle est stoïque parce qu’Artémis est comme ça. Elle était faite forte. Elle n’avait pas besoin d’être sauvé, elle était démoniaque. Elle était comme toi. Artémis était ton âme sœur, elle te complétait. Elle était sauvage pour ce que tu étais affectif. Elle était froide sur ce que tu étais sensible. Ça n’avait donc rien de surprenant que ça soit toi qui se présente chez elle, ton cœur entre tes mains pour lui offrir sans condition. « Ferme-là Arty. » Tu donnes un coup avec ton bras-prothèse sur la porte qu’elle se referme et sans lui demander la permission tu glisses ta main derrière sa nuque et la tire vers toi et capture ses lèvres. Une explosion, un feu d’artifice… de bien petit moment. Saisi, Artémis te repousse avec violence, tu ressens une certaine colère en elle. Artémis te repousse. « T’es con ou quoi ? Ta belle résolution pour ta meuf ô-combien-parfaite-pour-toi-sale-connard ?! » Tu te rapproches de nouveau d’elle et Artémis essaye de s’enfuir en te poussant les bras. « Écoute-moi. » Artémis continue de vouloir s’échapper et tu lui prends le bras pour la ramener vers toi. Tu la plaques contre un mur et tu caresses sa joue. « C’est fini avec Dana. » Tu lui hurlerais bien au visage que tu es fou d’elle et que tu n’as jamais autant souffert de son absence, mais tu savais qu’elle partirait à la course. Artémis n’était pas comme toi et ne se lançait pas corps et âme dans tout. Artémis te regarde, elle cligne des yeux. Puis elle te saute au cou. Vos lèvres se capturent et se dévore. Ce qui précédemment avait été doux, dans le placard, se transformait en besoin viscérale. Tu presses ton corps contre le sien, tu la caresses ; « Elle est où ta chambre ? » Parce que tu n’attendrais plus une seconde supplémentaire.
Revenir en haut Aller en bas
Artemis Swanson
Artemis Swanson
entre le futur sociopathe et son frère on peut pas dire qu'elle sache choisir ses mecs
here since : 18/01/2020
dreams : 286
pseudo : bambi
face, © : kiernan s., .turtle


c'est toi //jarty post-rupture de dana Empty
MessageSujet: Re: c'est toi //jarty post-rupture de dana   c'est toi //jarty post-rupture de dana EmptyMar 3 Mar - 16:17

Elle se laisse glisser dans l’eau presque brûlante de son bain, épuisée par l’ennuie de sa journée sans intérêt. Elle est à cran, ces derniers temps, et elle ne sait pas pourquoi. Ou plutôt, elle ne veut pas se l’avouer, ne veut pas accepter la raison de son agitation. En vérité, elle sait parfaitement depuis quand tout ça a commencé. Depuis cet instant hors du temps dans le placard à balais. Elle aimerait se dire que non, elle ne s’est pas laissée affecter par cette prétendue rupture - peut-on seulement appeler ça une rupture quand il n’y a même pas eu relation ? Et pourtant... pourtant elle l’a dans la peau, et elle n’a jamais ressentie une attirance aussi grande, aussi flamboyante et déchirante que celle là. Elle a tout fait pour se le sortir du système, enchaînant les histoires d’un soir pour combler ce vide, assouvir sa soif, mais rien n’y a fait. C’était même presque pire. Car peu importe les bras dans lesquels elle allait exorciser son démon, il s’invitait toujours dans ses pensées, et c’était lui qu’elle voyait, lui qu’elle sentait. Sa frustration ne faisait que grandir, et sa rage avec elle. Et on n’enrage pas Artemis sans conséquence. Il ne voulait plus la voir ? Elle allait tout faire pour lui pourrir la vie. Jusqu’à devenir amie avec sa précieuse Dana. Ça lui avait retourné les entrailles, mais c’était jouissif de le voir paniquer à chaque fois qu’il les voyait ensemble. Elle flirtait ouvertement sous son nez, l’ignorait royalement, ne lui offrant qu’un mur de glace lorsque l’échange était inévitable. Mais elle ne pouvait s’empêcher de créer des occasions de le croiser, de tomber sur lui, attirée à lui comme un aimant, comme poussée par une force extérieure, plus forte qu’elle.

Elle n’est pas dans son bain depuis cinq minutes, essayant de se détendre en inspirant les effluves de lavande qui se dégage avec la vapeur de l’eau, quand la sonnette retentit. Elle rage intérieurement, plonge la tête sous l’eau, en espérant que l’idiot qui ose l’importuner s’en ira... mais non. Il insiste, ne semble pas décidé à partir. Agacée, elle sort de l’eau, enfile rapidement son peignoir et descend les marches en râlant à voix haute, espérant que l’imbécile derrière la porte l’entendra. « C’est bon, j’arrive ! Pas besoin d’exploser la sonnette... » Elle ouvre la porte d’entrée, prête à incendier le malheureux quand son regard se pose sur... lui. Elle marque un temps d’arrêt, soudainement consciente de sa nudité sous son peignoir. Mais il est hors de question qu’elle lui laisse percevoir son trouble, ni les images qui s’enchaînent dans son cerveau. Elle garde une main sur la porte, prête à la lui claquer au nez si elle le juge nécessaire, pose l’autre sur sa hanche. « Qu’est-ce que tu fous là. » Froide, mur de glace qui s’impose pour cacher le brasier qui s’est ranimé à l’idée de se retrouver seule avec lui. Elle dépense tellement d’énergie pour contrôler ce qui se passe en elle qu’elle reste immobile lorsqu’il avance, entre dans sa maison. Elle s’apprête à lui répondre lorsqu’il ose lui dire de la fermer, mais elle est prise de court par ses lèvres qui viennent s’écraser sur les siennes. Elle explose, submergée par les souvenirs de ce foutu placard à balais qu’elle avait laissé derrière elle. Elle met fin à ce contact qu’elle a tant attendu, se laisse envahir par la haine pour faire taire le désir qui la terrasse. Elle le gifle, le repousse, se débat de toutes ses forces pour ne pas l’écouter, pour fuir son étreinte, ses lèvres, son odeur qui l’enivre à lui en faire perdre la tête. « T’es con ou quoi ? Ta belle résolution pour ta meuf ô-combien-parfaite-pour-toi-sale-connard ?! » Elle invoque sa précieuse Dana, celle pour qui il a décidé de la laisser dans le placard. Celle pour qui elle a dû refroidir ses ardeurs, parce que monsieur était incapable de se contrôler en sa présence. Il a fait son choix dans ce placard, et elle ne comprend pas ce qu’il fait là, devant elle, lui qui semblait si catégorique, si attachée à sa précieuse petite amie si parfaite. Elle ne veut pas entendre ce qu’il a à dire, refuse de céder aussi facilement, sous prétexte qu’il se présente à sa porte, comme ça, sans prévenir. Il la plaque contre le mur, et elle se retrouve prise au piège, acculée, sans plus aucune échappatoire. Elle le fusille du regard alors qu’il pose une main sur sa joue. La peau lui brûle, son cerveau lui hurle de fuir son contact mais son corps s’y refuse, ne demande qu’à se laisser aller. Elle n’est que contradiction et ça la tue. Et puis il la délivre avec quatre mots. Fini. Le dernier mur qui existait entre eux se désagrège, elle plonge son regard dans le sien, peut y lire la même envie dévorante qui l’habite, et il ne lui en faut pas plus. Elle enroule ses bras autour de son coup, l’embrasse à en oublier de respirer, se presse contre lui avec l’envie de se fondre en lui, de ne faire plus qu’un avec ce corps qu’elle a tant voulu. Plus qu’une envie, c’est un besoin vital, comme si elle ne pourrait pas survivre si elle s’arrêtait. « A l’étage. »

Sans se détacher de lui, incapable d’arracher ses lèvres des siennes, elle le guide vers sa chambre, monte les marches en arrière en s’agrippant à lui. Elle ne peut plus attendre une seconde de plus, elle le veut, maintenant. Elle est animée d’un feu dévastateur, nourrit de ces semaines de frustrations, de ce manque qu’elle s’est tuée à essayer de combler sans jamais y arriver. En haut des marches, elle lui enlève son t-shirt, laisse enfin ses doigts parcourir son torse nu, s’imprégnant de ses formes. Arrivée dans sa chambre, elle le pousse sur son lit, s’assoit sur ses genoux, une jambe de chaque côté de ses hanches, alors qu’elle laisse glisser son peignoir. Leurs baisers cessent un instant alors qu’il pose ses yeux sur son corps nu, prend le temps de l’observer, et elle a l’impression qu’il voit plus loin que sa simple enveloppe corporelle, qu’il la voit pour ce qu’elle est, dans son entièreté, et qu’il la veut elle, Artemis Queen Swanson.
Revenir en haut Aller en bas
Jules Lancaster
Jules Lancaster
— le cerveau et les couilles débattent
here since : 15/09/2019
dreams : 1302
pseudo : hufflepuff (daphne)
face, © : heizer (hoodwink)


c'est toi //jarty post-rupture de dana Empty
MessageSujet: Re: c'est toi //jarty post-rupture de dana   c'est toi //jarty post-rupture de dana EmptyMar 3 Mar - 16:20

Pour plusieurs les mots magiques sont ‘’je t’aime’’, pour toi, pour Artémis, c’était ‘’c’est fini’’. Tu n’es pas à l’aise avec ta prothèse, tu as l’impression d’être un être artificiel et qu’est-ce que tu aimerais pouvoir la serrer si fort dans tes bras qu’elle ne pourrait plus s’échapper, plus jamais tu n’offrirais la possibilité à Artémis Swanson de s’éloigner de toi. Tu refermes tes deux bras autour d’elle, vos lèvres ne se quittent plus. Ta douce te guide vers sa chambre à l’étage, en haut des escaliers elle enlève ton t-shirt. Ses doigts provoquent des chocs électriques dans ton bas de ventre et ce n’est pas bien long avant que tu ne ressentes une puissante érection. La ceinture du peignoir d’Artémis est glisser à la hauteur de ses hanches, ce qui laisse une légère ouverture au niveau de la poitrine et tu arrives à percevoir légèrement ses mamelons. Vous pénétrez dans sa chambre, elle te pousse sur son lit où tu tombes assis, torse nu. Ce torse qui n’avait certainement rien à voir avec les torses des autres garçons musclés de GOP. Artémis embarque par-dessus toi, glisses ses bras derrière ton cou pour t’embrasser et place ses jambes autour de ta taille. Tu l’entoures de nouveau de tes bras. Doucement Artémis se frotte sur toi, elle doit sentir ton membre sur sa cuisse, il menace de percé ton pantalon. Tu te lèves, la laissant retomber doucement au sol sur ses pieds nus. Sans quitter sa bouche un instant tu détache ta ceinture, ton jean tombe au sol. Tu t’éloignes d’elle, légèrement, pour lui faire tomber ce satané peignoir blanc. Tu tires sur la corde que tu lâches. « T’es tellement belle. » Les mots s’échappent de ta bouche, mieux encore que tu ne l’avais imaginé des dizaines et des dizaines de fois auparavant.

Ta main s’aventure sur sa peau, sur son bras pour la dénudé entièrement. Tu es émotif. Ton regard se brouille de larmes de joies. Ce n’est pas simplement de la voir nue et vulnérable devant toi qui te chamboule à ce point. C’est de savoir qu’Artémis ressentait exactement la même chose pour toi. Tu ressens qu’elle pose exactement le même regard, la même envie, lorsqu’elle te fixe. Les mots ‘’je t’aime’’ te brûlent la bouche. Tu la tire de nouveau vers toi, l’embrasse sur la joue, ta main caresse ses mains, lui pince affectueusement les mamelons. Artémis s’accroche à toi. Tu te penches pour embrasser son cou, ses épaules, ses seins, son ventre. Ton visage arrive à la hauteur de son pubis, tu lèves un regard prédateur vers elle. Tu adorais cet acte sexuel, sur toutes tes partenaires. Tu adorais caresser le clitoris des filles avec ta langue, les entendre et les voir perdent la tête. Elle est debout au milieu de sa chambre et tu la pousses doucement sur une chaise derrière elle. Ta main glisse le long de sa jambe, tes doigts se faufilent jusqu’à ses cuisses pour les ouvrir avec tendresse. Tu avances ta tête jusqu’à son entre-jambe et perce l’entrée de sa vulve. Sous ta langue tu distingues facilement que son clitoris est enflé, gorgé d’excitation. Tu presses ta langue sur ce dernier, tu aimes ce goût salé de l’intimité. Il est différent à chaque fois. Tu te concentres sur les gémissement d’Artémis, ton cœur bat fort. Tu accélères le mouvement, faisant des mouvements circulaires. Elle t’agrippe les cheveux. Tu souris. Tu t’arrêtes, tu joues à l’agace et en levant les yeux tu vois qu’elle penche la tête vers l’arrière. Ta bouche s’éloigne pour embrasser l’intérieur de ses cuisses et tu laisses tes doigts s’infiltré avec douceur en elle, tu commences des mouvements de va et vient. Curieusement, tu as toujours ressenti un plaisir inégalable à faire plaisir à tes partenaires. L’entendre jouir était aussi bon pour toi que l’acte en lui-même.

Artémis te repousse au bout d’un certain temps et tu tombes à la renverse, le dos appuyer contre sa base de lit. Elle s’avance vers toi à quatre pattes, une lueur animale dans les yeux. À son tour elle tire sur ton dernier vêtement, tu te retrouves entièrement nu devant elle. Ses doigts s’enroulent autour de ton pénis et tu es secoué d’un spasme de plaisir. La blonde approche son visage du tient, t’embrasse sauvagement et continue ce mouvement délicieux de masturbation. Tu couines. Tu n’as jamais été cet espèce d’homme des cavernes à feindre le non-plaisir. Tu en avais, tu le démontrais, un point c’est tout. Artémis embarque par-dessus toi, comme elle venait de le faire précédemment. Ses jambes autour de ses hanches, elle guide ton pénis vers sa vulve. Ta main caresse son visage alors qu’il s’enfonce vers elle. Une chaleur t’envahis. Tu es secoué d’un délicieux frisson alors qu’elle fait des mouvements de hanches. Tu ne retiens aucun son, tu penches la tête vers l’arrière pendant qu’elle t’embrasse dans le cou. Tu ne penses pas une seconde au fait que vous n’aviez ni l’un ni l’autre parler de préservatif, et puis, Artémis ayant une vie sexuelle aussi active elle devait bien prendre la pilule. « C’est bon. » Tu murmures ses mots qui te prennent dans le ventre. « Arrête. Arrête. » Tu sens que tu pourrais éjaculer d’un instant à l’autre et si plus d’une fois dans ta vie tu as démontrer que tu étais du genre précoce, cette fois-ci tu voulais faire durer le plaisir. Tu voulais faire l’amour avec elle, lui faire comprendre tout ce qu’elle provoquait en toi. Artémis s’arrête, tu sens toujours son intérieur. Tu plonges tes yeux dans les siens et tu lui caresses le dos. « J’en ai envie depuis si longtemps. » Émotif j’ai dit.

Ton regard est toujours luisant, Artémis se penche vers toi et vous échangez un long baiser, amoureux. Il n’y a plus rien qui vous empêches de vous appartenir. Il n’y a plus rien qui vous empêchez de vous tenir la main. Tu devrais être triste, tu venais de rompe avec ta petite-amie, perdre ta meilleure amie. Tu n’avais jamais été aussi convaincu d’être au bon endroit, avec la bonne personne. Tu entraines doucement Artémis sur le lit, tu l’incites à se mettre sur le dos. Tu t’avances vers elle, remonte légèrement sa jambe avec ton bras. Tu t’enfouis de nouveau en elle, embrassant son cou. Tu fais de doux mouvement, en lenteur. Vous vous embrassez. Tu es bien. Tu es heureux. C’est mieux que dans ton imagination, c’est vraie cette fois-ci.
Revenir en haut Aller en bas
Artemis Swanson
Artemis Swanson
entre le futur sociopathe et son frère on peut pas dire qu'elle sache choisir ses mecs
here since : 18/01/2020
dreams : 286
pseudo : bambi
face, © : kiernan s., .turtle


c'est toi //jarty post-rupture de dana Empty
MessageSujet: Re: c'est toi //jarty post-rupture de dana   c'est toi //jarty post-rupture de dana EmptyMar 3 Mar - 16:24

Il se relève alors qu’elle s’accroche à lui, incapable de le lâcher. Pourquoi, elle ne sait pas vraiment. Peur de le voir disparaître, que tout ceci ne soit qu’une illusion, qu’un rêve qui s’envolerait en fumée si elle s’éloignait de lui ne serait-ce qu’un dixième de seconde. Peut de le voir fuir, retourner à sa précieuse qu’il vient à peine de quitter, comme après l’épisode du placard. Il enlève son jean, avant de lui retirer enfin son peignoir. Il la regarde, et ces mots lui échappent, viennent la toucher comme aucun auparavant. Elle n’est pas habituée à cette douceur, cette considération pour elle. Jamais on ne lui a dit qu’elle était belle, dans ce genre de moment. On se contente de la prendre, comme un objet, un mouchoir qu’on jette après usage. Et jusqu’à présent, elle ne s’en était pas formalisée, n’ayant connu que ça des hommes. Avec lui, c’est un autre monde qu’elle découvre, et son contact l’électrise. Sa main parcourt son corps, envoyant des décharges sur son passage. Son regard se met à briller, et elle pourrait se noyer dans ces yeux, dans cette façon qu’il a de la regarder. Elle se sent plus belle, plus forte que jamais, comme si elle pouvait conquérir le monde. Elle appuie son front contre le sien, plonge son regard dans le sien, dans un désir d’y lire la même satisfaction qu’elle éprouve, inconsciente de la larme qui roule sur sa joue. « Jules… » Elle n’a rien d’autre à dire, ne sait pas quoi dire d’autre. Elle n’a jamais été douée avec les mots. Alors elle passe sa main dans sa nuque et rapproche ses lèvres des siennes, pour l’embrasser avec une tendresse dont elle ne se pensait pas capable.
Revenir en haut Aller en bas
Jules Lancaster
Jules Lancaster
— le cerveau et les couilles débattent
here since : 15/09/2019
dreams : 1302
pseudo : hufflepuff (daphne)
face, © : heizer (hoodwink)


c'est toi //jarty post-rupture de dana Empty
MessageSujet: Re: c'est toi //jarty post-rupture de dana   c'est toi //jarty post-rupture de dana EmptyMar 3 Mar - 16:28

Tu accélères le mouvement aux rythmes de ses gémissements. Parfois rapides, parfois plus lents. Tu enfouis ton visage dans son cou, tu l’embrasses, tu l’aimes. Tu lui caresses tendrement le visage et tu plonges ton regard alors que tu la pénètres. Tu captures ses lèvres, elle commence à enrouler ses jambes autour de tes hanches. Ton prénom s’échappe de sa bouche à mainte et mainte reprises, pitié, faites qu’elle ne cesse jamais de le murmurer comme ça. Elle enfouie son visage dans ton cou, elle te mord la peau et il se produit quelque chose qui n’arrive que très rarement lors d’un acte sexuel. En tout cas, tu ne pouvais pas dire que tu en avais souvent fait les frais ; mais elle atteint l’orgasme au moment où toi-même tu éjacules. Vos gémissements se mêlent, elle t’embrasse. Tu déposes ta tête sur sa poitrine, tu te sens honoré d’entendre les battements de son cœur si fort. « Ton cœur… » Tu n’as pas besoin de finir ta phrase, tu sais qu’elle aura compris. Ta main vient caresser doucement son sein. Tu ne sais pas si c’est parce que tu es complètement fou d’elle, mais il te semble que tu n’as jamais vu une poitrine aussi délicate, ferme et sexy. Doucement tu te retires d’elle, tu l’embrasses. Puis tu réalises. Tu réalises que vous êtes nus sur son lit à peine défait, que tu viens de faire l’amour à la fille qui te bouffait l’esprit depuis des semaines, des mois même. Ta main cherche la sienne. Tu étais stupide de croire que ce n’était qu’une question d’attirance physique. Artémis, t’étais amoureux.

Tu tournes la tête vers elle, tu as peur. L’embrasse encore, encore et encore. Elle te répond avec le même engouement, le même désir. Tu l’attires vers toi et referme ton bras autour d’elle. « Je ne te laisserais plus partir Artémis Queen Swanson. » Jamais des mots n’avaient été aussi sincères dans ta bouche. Tu l’embrasses sur le front, sur le nez. Tu ne veux plus t’arrêter. « Je dois allez prendre une douche… » Tu lui souris alors qu’elle t’indique la douche que tu peux prendre. « Tu seras encore là quand je reviendrais ? » Comme si elle pouvait être ailleurs, c’était chez elle, mais tu voulais l’entendre dire qu’elle resterait, qu’elle ne bougerait pas. Tu étais soudainement inquiet, incertain, mais ton regard brille d’un amour infini que tu lui réserve.

L’inconvénient avec toi Jules, c’est que ce sentiment d’amour infini tu le ressentais, souvent. Lorsque tu aimais tu n’aimais pas à moitié. Tu aimais Amy, jusqu’à ce que tu rencontres Parker. Tu aimais Parker, jusqu’à ce qu’une certaine Brittany vienne brouillée les cartes. Tu as continué d’aimer Parker jusqu’à ce que Dana te paraisse comme une évidence. Puis tu avais aimé Artémis. Tu aimais sans condition jusqu’à ce que tu rencontres une autre qui te ferait tourner la tête. Jusqu’à ce qu’une autre provoque chez toi une onde de choc. Tu avais le ‘’Je t’aime’’ très facile Jules. Trop facile. Tu te glisses sous la douche, un sourire un peu bête sur le visage. Tu es concentré, dans ton imaginaire lorsque tu sens des petites mains t’entourés. Tu te retournes en sursautant. Tu l’embrasses en souriant. Au fond, tu souhaitais réellement qu’elle te rejoindrait. « Artémis. Ça fait longtemps… » Tu glisses une mèche mouillée derrière son oreille. « Ça fait longtemps que je rêve de ça et c’était bien mieux que dans mes fantasmes. » Tu ne peux passer à côté de l’incident dans ta chambre où tu avais éjaculé dans ton pantalon alors qu’elle était devant toi. Tu l’embrasses avant de poursuivre dans ton discours mielleux. « Je veux de ça, tous les jours, tout le temps. » Tu pousses un soupire en appuyant ton front sur le sien. Tu la caresse et la serre contre toi.

Vous restez enlacé sous la douche pendant un moment. Jusqu’à ce que l’eau devienne froide. Cette proximité te faisait un bien fou, ça rassurait ton petit cœur qui craignait qu’elle ne te dise de prendre tes fringues et de te barrer après avoir fait l’amour. Parce que c’est bien ce que tu lui avais fait. Tu n’étais pas comme Murphy, tu ne baisais pas les filles par derrière en les traitants de salopes, mais ça revenait à dire ce qui a déjà été dit ; tu aimes passionnément chaque personne qui te tombe dans les mains, mais la loyauté, la fidélité, la franchise… c’était pas gagné ça.
Revenir en haut Aller en bas
Artemis Swanson
Artemis Swanson
entre le futur sociopathe et son frère on peut pas dire qu'elle sache choisir ses mecs
here since : 18/01/2020
dreams : 286
pseudo : bambi
face, © : kiernan s., .turtle


c'est toi //jarty post-rupture de dana Empty
MessageSujet: Re: c'est toi //jarty post-rupture de dana   c'est toi //jarty post-rupture de dana EmptyMar 3 Mar - 16:28

Son cœur bat tellement fort alors qu’il pose la tête sur sa poitrine qu’elle a l’impression qu’il va lui exploser la cage thoracique. Elle met ça sur le compte de l’effort, du plaisir, se refuse à croire à autre chose. Il se retire, s’allonge à ses côtés, et elle vient se lover contre lui, comme déjà en manque du contact de sa peau contre la sienne. Ses lèvres retrouvent bien vite les siennes alors qu’il passe son bras autour de son corps. Elle ne s’est jamais sentie aussi bien, aussi sereine après avoir couché avec quelqu’un. D’habitude, elle est la première à se rhabiller, à prendre le large ou à foutre l’autre à la porte. Mais ça lui semble si naturel de traîner dans ses bras, de le garder prêt d’elle, de continuer de l’embrasser après ce qu’elle vient de vivre. Elle pourrait rester comme ça infiniment. Il prononce son nom complet et ça la rend dingue de l’entendre dans sa bouche. Elle qui a toujours détesté son deuxième prénom, souvenir d’une mère des plus monstrueuses, qu’elle tolérait venant de son père, par habitude, elle l’entendait d’une nouvelle façon, pourrait presque se mettre à l’apprécier.

Elle lui indique où se trouve la douche, le laisse s’éloigner près qu’à regret. Elle s’allonge sur le ventre, enfouie sa tête dans son oreiller, s’enivre de son odeur, de leurs odeurs mêlées sur les draps, alors qu’elle prend pleinement conscience de ce qui vient de se passer. Elle a du mal à croire que tout ça est réel, ses neurones encore engourdies par le tsunami de sensations qui vient de s’abattre sur elle. Elle retrouve doucement son souffle, reprend contact avec la réalité, maintenant qu’elle se retrouve seule dans son lit, et une petite voix sournoise s’invite dans sa tête, distillant la peur dans ses veines. Ses mots lui reviennent en tête. Je ne te laisserais plus partir. Dans quoi tu t’embarques, ma fille ? Elle qui veut rester libre avant tout, elle commence à se demander si tout ça était une bonne idée. Non, chut, tais toi. Elle se force à refouler cette petite voix au fond du placard, ne veut pas gâcher ce moment par des angoisses qu’elle pourra toujours gérer plus tard, quand il ne sera plus dans sa maison. Et puis dans le fond, elle n’a pas envie qu’il parte non plus. La différence, c’est qu’elle ne lui dira jamais à voix haute comme il venait de le faire.

Elle se lève pour le rejoindre, laissant ses doutes dans son lit pour l’instant. Elle arrive sous la douche sans qu’il ne l’entende, observe les marques encore rouges dans son dos, et elle ne peut s’empêcher d’être heureuse d’avoir ainsi laissé sa trace sur lui, comme si elle avait marqué son territoire, qu’il était à elle, et rien qu’à elle. Elle passe ses mains autour de sa taille, pose son front contre son dos avant qu’il ne se retourne, l’embrasse. Elle se sent fondre à son contact. Elle pensait qu’une fois qu’elle l’aurait eu, qu’elle l’aurait possédé, cette obsession lui passerait, son désir serait réduit en cendre, mais c’est tout le contraire qui se passe. Elle en veut encore plus, toujours plus, comme si sa soif de lui était insatiable. Elle l’écoute alors que son front se pose sur le sien, laissant ses mains parcourir son torse, son dos, alors qu’il l’enlace et qu’une douce chaleur se répand en elle, à savoir qu’elle n’est pas la seule à être autant chamboulé par ce qu’ils viennent de vivre. Les mots restent bloqués dans sa gorge, trop tôt encore pour qu’elle puisse s’imaginer les prononcer, ou même seulement les penser. Alors elle se contente de plonger son regard dans le sien, en espérant qu’il saura y lire ce qu’elle ne sait pas lui dire, avant de l’embrasser et de se serrer encore un peu plus contre lui. Elle ne sait combien de temps ils restent ainsi sous la douche, mais l’eau commence à devenir froide, et elle se met à frissonner. « Je crois qu’il va falloir qu’on sorte de là... » Elle murmure à son oreille, de peur de briser l’atmosphère de calme qui s’est installée. Elle se détache doucement de lui, redoutant le moment fatidique où ils devront sortir de leur petite bulle. Elle s’enroule dans une serviette avant de lui en tendre une, attrape sa main pour l’attirer à elle. Elle frotte son nez contre le sien, ses lèvres à quelques centimètres... Elle pourrait l’embrasser, mettre ses peurs au placard, et simplement profiter tant qu’il est là avec elle, céder à cette envie qui la brûle de recommencer, mais elle se retient. « Jules... » Elle prend une profonde inspiration, pressentant que la conversation qui allait suivre serait loin d’être aussi agréable que leurs ébats. Mais s’ils ne l’ont pas maintenant, ce sera encore pire. Elle a besoin d’être au clair sur ce qu’il se passe entre eux. « C’est quoi, la suite ? »
Revenir en haut Aller en bas
Jules Lancaster
Jules Lancaster
— le cerveau et les couilles débattent
here since : 15/09/2019
dreams : 1302
pseudo : hufflepuff (daphne)
face, © : heizer (hoodwink)


c'est toi //jarty post-rupture de dana Empty
MessageSujet: Re: c'est toi //jarty post-rupture de dana   c'est toi //jarty post-rupture de dana EmptyMar 3 Mar - 16:30

Cette bulle, tu ne veux jamais la quitter. Tu frôles sa peau, tes doigts caresses son corps. Tu embrasses son cou. Artémis frotte son nez sur le tiens. Tu es tout simplement incapable de la repousser. Tes lèvres sur les sienne... Si seulement cette magie pouvait perduré pour toujours. Vous êtes tous les deux complètement nus, humides par l’eau, vos corps collés l’un à l’autre. Tu aimerais recommencer, et cette idée mijote dans ton esprit et la réaction physique se fait rapidement voir. Tu es sur le point de te presser de nouveau contre elle lorsqu’elle prononce ton nom, cela fait une fracture directe dans ce moment plus-que-parfait. Ta main se posa sur sa joue et la regarde droit dans les yeux. Tu vois une parcelle de peur. Tu sais très bien quelle conversation vous êtes sur le point d’avoir. ‘’La suite.’’ Évidemment que pour toi la suite est évident. Tu venais de passer les derniers mois à souffrir d’être loin d’elle. Tu ne voulais jamais revivre ce manque, ce vide, cette absence meurtrière. Ton pouce lui caresse la joue. « Ça sera ce que tu veux. » Tu atteignais un certain niveau de maturité et de compréhension.

Tu étais un romantique fleur-bleue, mais tu n’étais pas crétin. Artémis n’était pas un animal que tu pouvais prendre et mettre en cage. C’est ce qui fait que tu es à ce point amoureux d’elle, tu n’as d’ailleurs aucune difficulté à te l’admettre maintenant. Artémis était un brassier incontrôlable qui devait être libre de flamber ce qu’elle voulait. Tu l’embrasses avec douceur. « Je veux que tu sois heureuse. » Si vrai. Tu voulais que vous soyez exclusifs, tu voulais qu’elle soit la tienne de petite-amie. Tu voulais être aussi dégoulinant de romantisme que ce bon vieux Donny au soir du bal. Tu voulais qu’Artémis soit ton Artémis jusqu’au dernier jour de ta vie. Ça, c’était ce que toi tu voulais, mais tu savais très bien que ce n’était pas comme ça que ta nouvelle flamme fonctionnait. Tu savais qu’elle voulait être un électron libre. « Tu n’es pas une prisonnière Artémis. » Tu l’embrasses de nouveau. « Je sais juste que je ne veux plus que tu ne sois pas dans ma vie. »

Tu prends Artémis dans tes bras, un geste que tu ne pensais plus pouvoir faire avec ton bras en moins, tu la déposes sur le comptoir de la salle de bain et tu caresses ses cuisses. Tu lui embrasses les seins. « On sera ce que tu veux Artémis, un couple, des amants. » Tu remontes tes baiser le long de son cou et lui mordille la lèvre. « Je veux juste que… » Tu la regardes, amoureusement. « Je ne suis pas ton ennemi. » Artémis avait besoin d’être rassurée, c’est ce que tu ressentais en tout cas. Elle avait besoin de savoir que tu n’avais pas l’intention de t’enfuir, que tu n’avais pas l’intention de la clouée dans une relation qu’elle ne voulait pas. Elle ne réalisait sans doute pas que tu l’aimais si fort que tu serais prêt à tout faire, tout accepter pour elle. Ce pouvoir, elle semblait la seule à l’avoir sur toi. Auparavant il ne te serait jamais vu à l’esprit de faire passer les besoins d’une autre personne avant les tiens, de prendre en considération ce qu’elle voulait. Tu ne voulais pas la blessée. Tu enfouis ton visage dans son cou. Tu refermes tes bras autour de ses hanches. ‘’Je t’aime’’ serait si facile à dire, il serait d’une sincérité profonde.
Revenir en haut Aller en bas
Artemis Swanson
Artemis Swanson
entre le futur sociopathe et son frère on peut pas dire qu'elle sache choisir ses mecs
here since : 18/01/2020
dreams : 286
pseudo : bambi
face, © : kiernan s., .turtle


c'est toi //jarty post-rupture de dana Empty
MessageSujet: Re: c'est toi //jarty post-rupture de dana   c'est toi //jarty post-rupture de dana EmptyMar 3 Mar - 16:32

Ses doigts sur sa peau nue la font frissonner, alors que ses lèvres se perdent dans son cou. Ce serait tellement facile de céder, de suivre cette pulsion qui l’habite, qu’il semble partager, mais elle doit reprendre le contrôle si elle ne veut pas se noyer, se perdre complètement. Elle doit arrêter avant que ça n’aille plus loin, elle doit être sûre qu’ils sont sur la même longueur d’onde, avant de se brûler les ailes. Elle s’accroche à son bras alors qu’il pose la main sur sa joue, se laisse aller alors qu’il lui laisse le contrôle de ce que sera leur relation. Si facile. Trop facile. Elle ferme les yeux, essaie d’y croire alors qu’il vient chercher ses lèvres avec tendresse. Elle pourrait déjà céder, mais elle veut effacer ses derniers doutes. Elle en a besoin, elle ne saura pas faire preuve du même abandon tant qu’elle ne sera pas fixée sur ce qu’ils sont. « Je… Tu sais que je ne suis pas comme Dana, hein ? Jouer au petit couple parfait, c’est pas mon truc. Putain, le couple tout court c’est pas mon truc. Je… Je veux être sûre que t’en as conscience, que… t’es prêt à accepter ça. » Elle n’a jamais été en couple, n’a jamais ressenti ce besoin de s’aliéner à une seule et même personne, et l’idée même la terrifie. Elle se plonge dans ses iris, essaie de sonder les profondeurs de son âme, cherche à savoir s’il comprend bien tout ce qu’elle cherche à lui dire. Elle pose une main de chaque côté de son visage. Elle non plus, elle ne veut plus vivre ce manque qui l’a tiraillée ces dernières semaines, ces derniers mois. Elle refuse de vivre à nouveau cette frustration, ce vide qu’elle était incapable de combler, malgré toutes ses tentatives. Elle a envie de lui hurler de ne plus jamais la laisser comme ça, de rester à portée de main pour toujours, mais elle bloque, elle se l’interdit, ne veut pas qu’il aille se mettre des idées dans la tête. Elle fait tous les efforts du monde pour se contrôler, pour ne dire que le strict minimum, tout en lui en donnant assez pour qu’il ne l’abandonne pas. « Moi non plus, je ne veux plus de ça. »

Elle l’écoute, se sent comme la proie alors que ses lèvres remontent le long de son cou, qu’il la regarde avec ces yeux brillants. Il n’y a que lui pour la regarder comme ça, pour la voir. Elle aimerait se dire qu’elle se trompe, qu’il y en aura d’autre, que ce n’est qu’un tour de passe-passe pour obtenir ce qu’il veut des filles. Mais tout au fond d’elle-même, elle sait que ce n’est pas vrai, qu’il n’y aura que lui qui la verra vraiment pour ce qu’elle est, et qui l’acceptera telle quelle. Elle appuie son front contre le sien, les mains sur son visage. Elle ferme les yeux un instant, rassemblant ses forces pour se recentrer. Elle prend une profonde inspiration avant de planter ses yeux dans les siens. « Je sais. » Il n’est pas son ennemi. Pas pour l’instant. Pas tant qu’ils auront… ce qu’ils ont. Elle ne sait pas le définir, mais ce quelque chose qui les unis est bien présent, et elle sait qu’il ne cherche pas à lui faire du mal. Elle le sent. Et l’accepte. « Je ne suis juste… pas certaine d’où j’en suis. » Mais elle comprend plus ou moins où lui se situe, et dans un sens ça la rassure.

Elle pose ses lèvres sur les siennes, mettant fin à la distance qui les sépare, et surtout clôturant cette conversation qui la met sur ses gardes. Peur de ce qui pourrait encore sortir si elle continuait à parler. Elle a tendance à saboter ses relations très facilement, et pour l’instant, elle veut en profiter, au moins le temps que ça durera. Faites que ce soit le plus longtemps possible. Elle caresse son torse, son dos, s’imprègne de ses formes. Elle laisse ses lèvres courir le long de sa mâchoire, lui mordille gentiment le lobe de l’oreille, lui souffle quelques mots. « Pour l’instant, tout ce que je sais, c’est que je te veux. Toi. »
Revenir en haut Aller en bas
Jules Lancaster
Jules Lancaster
— le cerveau et les couilles débattent
here since : 15/09/2019
dreams : 1302
pseudo : hufflepuff (daphne)
face, © : heizer (hoodwink)


c'est toi //jarty post-rupture de dana Empty
MessageSujet: Re: c'est toi //jarty post-rupture de dana   c'est toi //jarty post-rupture de dana EmptyMar 3 Mar - 16:34

Tu te doutais qu’elle n’avait rien en commun avec ces filles qui voulaient être en couple. Ta main se glisse dans ses cheveux alors qu’elle t’exprime ne pas être comme Dana et que cette histoire de couple la mettait considérablement mal-à-l’aise. Tu te contentes de lui sourire tendrement. Tu hoches simplement la tête pour lui faire savoir que tu comprenais. Tu comprenais, en ce moment tu voulais l’accepter. Tu étais là, devant elle, complètement nu et vulnérable. C’était facile d’accepter que vous ne soyez pas un couple, que vous n’étiez que ‘’ça’’, des fuckfriend plus investi. Comme ça, oui c’était facile de dire oui. Est-ce que tu serais réellement capable d’accepter que lorsqu’elle n’est peut-être pas avec toi cela serait les pattes d’un autre connard qui la toucherait ? Arriverais-tu à vivre avec l’idée qu’elle gémirait pour un autre que toi ? Tu préférais ne pas songer à ça pour le moment, votre instant était trop doux pour ça. « Je ne te demanderais jamais d’être comme Dana. » Puis bien vite Artémis recommence à chercher tes lèvres, elle ne veut pas parler, peut-être qu’elle a peur, t’en sais rien et tu ne veux pas la pousser dans une zone qui la ferait fuir.

Vous partagez un second moment de tendresse, entre tes baisers sur son corps, ses mains qui te caressent. Tu es bien et tu ne veux qu’une seule chose ; refaire l’amour avec elle. Tu dois te freiner, vous devez être totalement sur la même longueur d’onde. La seule chose sur laquelle vous sembliez être d’accord c’est que plus jamais vous ne vouliez être loin l’un de l’autre, ce qui étrangement à tes yeux ne faisaient peu, voire pas du tout de sens, puisqu’elle ne voulait pas être en couple. Vos corps se cherchent davantage alors qu’elle exprime qu’elle avoue ne plus savoir où elle en est. Ta main glisse sur son épaule. « On trouvera ce qui nous convient. »

La conversation est définitivement close lorsque tu ressens de nouveau cette énergie sexuelle s’échapper d’elle. Artémis t’embrasse, ses mains caressent ton corps et tu sursautes légèrement lorsqu’elle entoure ton pénis d’une de ses mains. Tu pousses alors un gémissement alors qu’elle embrasse ta mâchoire. Elle entoure ses jambes autour de ta taille. « Alors nous sommes sur la même longueur d’onde. » L’instant présent, c’est tout ce qui compte. Naturellement ton pénis trouve un chemin jusqu’à sa vulve et tu recommences un doux mouvement de va et vient. Ton corps se pressant contre elle, c’était bon. Tes petits coups de hanches sont lents et sensuels. Tu sens sa tête se pencher vers l’arrière, ses bras autour de ses bras. Jamais dans ta vie tu n’avais autant apprécier faire l’amour. Vous êtes resté dans cette position d’amour de très longues minutes, gémissant à l’unisson, appréciant l’autre, ne cherchant pas à vous dominer mutuellement. Intérieurement tu savais que la suite serait un parcours du combattant. Ça serait purement naïf de ta part que de croire que ceci était la ligne d’arrivée. Artémis et toi vous n’en étiez qu’au début. « C’est si bon avec toi Queenie. » Tu ne connaissais pas l’histoire de ce surnom, mais dès que tu l’avais entendu la première fois tu avais su que c’était le petit surnom que tu lui donnerais également ; c’était ce qu’elle était, une Queen.

Tu l’embrasses lascivement alors que tu continues de la pénétré doucement, quelques instants encore avant de t’éloigner à regret de son corps qui te hurle de revenir la prendre. « J’aimerais continuer comme ça des heures… » Plus longtemps cela durerait, plus heureux tu seras. Tu souris. « Je n’aurais jamais pensé que ma journée se terminerait… comme ça, avec toi. » Comment aurais-tu pu de toute façon ? Tu étais en couple ce matin en te réveillant. Tu pousses en long soupire avant de la serrer dans tes bras, tu la tire du comptoir, tu prends sa main et comme si c’était chez toi tu l’invites à rejoindre sa chambre. Le lit n’avait même pas été défait tellement vous vous étiez empresser de vous retrouver. Tu enfiles tes caleçons tombez au sol et te glisses sous les couvertures. Tu invites Artémis à te rejoindre, tu voulais simplement être près d’elle, la sentir. « Tu as envie d’écouter un film ? » Aussi banale que ça. Vous reparlerez un peu plus tard des conditions de votre situation. Tu l’aimais, pour toi ça n’avait aucun doute. Tu n’en avais plus en tout cas. Ça t’avais paru si évident lorsque Dana avait prononcé les mots finaux de la rupture. Ta douce se faufile dans tes bras et tu refermes ton bras amputé autour de ses épaules. C’est étrange, mais c’était ta réalité désormais. Tu caresses son visage de ton autre main et lui embrasse le bout du nez. « J’aimerais que nous restions comme ça pour l’éternité. » Elle lève ses yeux vers toi…

« Tu sais, pas un jour n’est passé, depuis que je suis tombé sur toi à la maison de retraite, sans que je ne pense à toi. J’ai cru que… enfin, j’ai cru qu’en te quittant cela cesserait, mais c’est devenu de pire en pire. Je t’ai tellement dans la peau, c’est inexplicable. Tu ne veux pas te sentir enfermé, ça me va. On est libre de faire ce qu’on veut, mais Artémis. »
Tu ne dis pas les mots, mais ton regard les hurle. « Pour moi, c’est toi, peu importe avec qui je serais, à la toute fin, c’est avec toi que je veux être. Le reste, entre les deux… » Tu l’embrasses pour lui faire comprendre qu’entre les deux, tu t’en fous. Tu la presses contre ton torse. Tout le poids du monde semble ne plus retomber sur tes épaules. Tu réalises combien tu as été tendu ces dernières semaines. C’était rassurant de la savoir désormais près de toi.
Revenir en haut Aller en bas
Artemis Swanson
Artemis Swanson
entre le futur sociopathe et son frère on peut pas dire qu'elle sache choisir ses mecs
here since : 18/01/2020
dreams : 286
pseudo : bambi
face, © : kiernan s., .turtle


c'est toi //jarty post-rupture de dana Empty
MessageSujet: Re: c'est toi //jarty post-rupture de dana   c'est toi //jarty post-rupture de dana EmptyMar 3 Mar - 16:36

Elle ne sait pas ce que c’est, pourquoi c’est si différent des autres avec lui, et dans le fond, elle ne veut pas chercher à comprendre. Résoudre ce mystère l’emmènerait sur un terrain glissant, elle le sent, et pour l’instant elle veut se contenter de profiter du moment, de vivre ça, peu importe ce que ce soit. Elle aura tout le temps de se poser des questions quand elle sera de nouveau seule. Pas tout de suite. Queenie. Elle n’a pas l’habitude d’entendre ce nom en dehors de sa famille, mais il est loin de le prononcer sur le même ton que sa mère. Quand il sortait de la bouche de sa génitrice, elle savait qu’elle allait en prendre pour son grade, qu’elle devait se méfier, s’attendre au pire. Quand elle l’entendait, elle se sentait comme une gamine sans défense, à la merci de son prédateur. Pas avec lui. Entre ses lèvres, son surnom reprenait toute sa puissance, il lui donnait un nouveau sens, lui rendait sa définition première, et elle pouvait sentir résonner entre elle qu’il la voyait comme telle. « Ta queen. » Ce nom n’appartiendrait qu’à eux, ça elle en était sûre. Elle ne supporterait pas de l’entendre venant de quelqu’un d’autre. Elle était peut-être loin d’être prête à devenir sa copine, mais être sa reine... elle pouvait faire un effort.

Il se retire sans pour autant s’éloigner, et ça lui va. Elle se sent comblée par ce sentiment inconnu qui l’envahit, et ne peut s’empêcher de sourire en le regardant. Elle repense à toute la haine qu’elle a pu avoir pour lui, pour la façon dont il s’était insinué dans ses pensées sans qu’elle ne s’en rende compte, sans qu’elle ne puisse rien y faire. A tout ce qu’elle a pu imaginer mettre en place dans le seul but de le torturer, de le faire souffrir, pour se venger de la façon dont il les torturait, elle et ses hormones. « Je t’avoue que quand je t’ai vu à la porte, je me voyais plutôt en train de t’étriper. » Elle lui lance un sourire en coin avant de l’embrasser, juste pour le plaisir de pouvoir le faire, sans attendre quoi que ce soit derrière. Elle le suit jusque dans sa chambre, enfile une culotte et un vieux t-shirt, ses cheveux encore mouillés lui donnant froid. Elle vient se blottir contre lui, dans son lit, alors qu’il passe un bras sur ses épaules. Elle ferme les yeux, un instant, force son cerveau à se taire alors qu’il souhaiterait tourner à plein régime, lui hurler de fuir Jules et son monde de tendresse, que tout ça ce n’est pas pour elle. Elle aura le temps d’y penser. Plus tard. « On peut, si tu veux. » Ou on peut rester comme ça. Pour toujours. Dans cette bulle hors du temps, sans jamais reprendre contact avec la réalité. Comme s’il avait entendu ses pensées, ses mots résonnent comme un écho alors que sa main se pose sur sa joue. Elle lève ses yeux vers lui, surprise. Est-ce qu’il était télépathe ? Elle se mord la lèvre inférieure, se retient de dire "moi aussi" alors que c’est ce qu’elle ressent, mais elle se l’interdit. Une fois que les choses sont dites, on ne peut plus retourner en arrière, et elle n’est pas prête à s’engager dans quoi que ce soit.

Elle pose sa tête sur son torse, se laisse bercer par les battements de son cœur alors qu’il continue de parler, de décrire ce qu’il a vécu sans elle. Elle aimerait lui dire qu’elle a vécu la même chose, qu’elle a souffert de son absence, qu’elle a essayé de l’oublier, de l’exorciser de son système en allant se donner à d’autre, puisque lui ne voulait pas d’elle. Mais ce serait avouer sa faiblesse, lui avouer l’emprise qu’il a sur elle. Chose qu’elle refuse. Son instinct la pousse à garder une part des cartes en mains, de ne pas montrer tout son jeu d’un coup. Instinct de survie, de préservation, ou paranoïa quant à l’avenir, elle préfère garder quelques coups dans sa manche. Elle relève son visage vers lui quand il marque une pause après son prénom, le regarde avec intensité alors qu’il lui avoue son envie d’être avec elle à la fin. Une crainte s’immisce en elle, vite chassée par ses lèvres sur les siennes, et une image saugrenue lui vient en tête, lui arrache un rire. « On sera les terreurs de la maison de retraite. J’en connais une qui s’en retournera dans sa tombe. » Elle se tourne sur le ventre, à moitié allongée sur lui, comme si elle avait ce besoin d’avoir le moins de distance possible entre leurs corps. Entre leurs âmes. « Entre les deux... on verra. » Elle aimerait lui dire qu’entre les deux, ils continueront comme ils viennent de commencer, mais elle pressent que leur avenir sera loin d’être aussi doux.

Revenir en haut Aller en bas
Jules Lancaster
Jules Lancaster
— le cerveau et les couilles débattent
here since : 15/09/2019
dreams : 1302
pseudo : hufflepuff (daphne)
face, © : heizer (hoodwink)


c'est toi //jarty post-rupture de dana Empty
MessageSujet: Re: c'est toi //jarty post-rupture de dana   c'est toi //jarty post-rupture de dana EmptyMar 3 Mar - 16:37

Ce combat perpétuelle que tu ressentais auparavant entre ton cœur, ta tête et ton corps venaient de prendre fin. Tous vibraient en harmonie et tu étais apaisé. Tu voles un baiser à Artémis pour conclure ce début de conversation. Vous n’étiez pas un couple. Ça t’allais comme ça. Vous n’étiez pas enchaînés l’un à l’autre, vous pouviez faire ce que vous voulez. Tous les deux aviez compris l’essentiel ; vous aviez un besoin vital l’un de l’autre. Ton amour pour la demoiselle était si grand que tu étais à l’aise avec l’idée. Une partie de toi de toute façon était satisfait de ne plus avoir à porter le rôle de l’infidèle. C’était dans ton ADN de vouloir avoir l’attention des autres, d’être un doux chasseur. Cette liberté que te permettais ta relation avec Artémis semblait un bon compromis, le temps que cela durera en tout cas. « On écoute un film et je vais partir après. » Tu lui souris doucement en te relevant du lit pour ouvrir la télévision et prendre la télécommande. Tu retournes rapidement auprès d’elle. Artémis appuie sa tête sur ton torse et tu lui caresses le dos. Tu navigues au travers de Netflix. Tu étouffes un rire pour ne pas briser l’instant, mais vous veniez de reproduire un parfait ‘’Netflix’N’Chill’’. Tu voulais rester le plus longtemps possible auprès d’elle et c’est pour cette raison que ton choix se porte sur un film du seigneur des anneaux, des classiques. Vous vous pressez l’un contre l’autre, comme des amoureux.

Cela ne doit pas faire trente minutes que le film est commencé que tu remarques qu’elle dort. Tu la regardes. « Je t’aime Artémis. » Cela te fait un bien fou de laisser sortir les mots interdits. Tu lui flattes les dos, embrasse son front. Tu continues de regarder le film, appréciant simplement le moment. Une partie de ton cœur, de ton être tout entier, appartenait toujours à Parker. Tu ne voulais jamais avoir à justifier ce lien si unique qui te relie avec ton ex. Voire Artémis dormir dans tes bras te réconfortait. Le manque de Parker s’atténuait de plus en plus, mais il ne serait jamais totalement absent. Le bruit de la respiration d’Artémis était en soi un puissant relaxant. Tu fermes les yeux, quelques secondes. Les souvenirs de la dernière année défilent dans ta tête. À pareille date l’an dernier tu étais sur le bord de la rupture avec Parker. Les choses avaient bien changé en un an. Tu avais vraisemblablement enchaîné les conquêtes et les relations. Qui l’aurait cru, toi, Jules Lancaster, le moins beau des plus beaux ? Tu avais su prendre dans tes filets des filles totalement hors de ta ligue. Tu appuies ta tête contre Queenie. Tu te sens sombré dans le sommeil. Tu allais étirer finalement la magie du moment encore un peu, peut-être jusqu’au lendemain matin. Vous avez passé la nuit collé l’un sur l’autre. Parfois vous vous êtes même réveiller pour vous embrasser. Entre les rêves et la réalité.

Le soleil perce au travers de la fenêtre de sa chambre, les rideaux n’ayant pas été tirés la veille. Tu es le premier qui ouvre les yeux. Tu souris. Elle est bel et bien là. Tu l’embrasses sur le front et tu te dis que tu pourrais lui faire le petit déjeuner. Tu n’étais pas, elle devait s’en être rendu compte, pas comme tous ces fuckboy. Tu n’étais pas le spécialiste de la cuisine, disons que tu étais un adepte du UberEat, mais tu avais envie de lui préparé quelque chose, n’importe quoi, avec amour. Tu te rends dans sa cuisine, une immense cuisine. Tu ouvres le frigo, ce matin ça allait être céréale et verre de jus. Tu n’avais pas le talent nécessaire pour servir autre chose. Tu ouvres l’armoire à nourriture et choisit la boîte de céréale déjà ouverte. Artémis semblait vivre seule la majorité du temps, c’était forcément à elle. Tu prépares le tout avant de déniché un plateau de transport. Au bout d’une petite quinzaine de minutes tu retournes dans sa chambre. Tu remontes, tout souriant, tu te sens encore sur ton petit nuage de la veille. Tu ouvres la porte, croyant la retrouver toujours endormie, ou alors toujours sous la couette. C’est plutôt une Artémis déjà debout que tu retrouves, vêtue de plus. « Je t’ai emmené le déjeuner. » Attention Jules, dans 3-2-1, tu viens d’appuyer sur une mine.
Revenir en haut Aller en bas
Artemis Swanson
Artemis Swanson
entre le futur sociopathe et son frère on peut pas dire qu'elle sache choisir ses mecs
here since : 18/01/2020
dreams : 286
pseudo : bambi
face, © : kiernan s., .turtle


c'est toi //jarty post-rupture de dana Empty
MessageSujet: Re: c'est toi //jarty post-rupture de dana   c'est toi //jarty post-rupture de dana EmptyMar 3 Mar - 16:38

Elle le laisse choisir le film, sachant parfaitement qu’elle s’endormira avant la fin. Cette soirée l’a épuisée autant sur le plan physique que sur le plan émotionnel, et elle se sent doucement glisser vers les bras de Morphée. Ou plutôt, dans les bras de Jules. Et puis, il lui a dit qu’il partirait après le film, ça la rassure. Elle a déjà bravé un de ses interdits en le laissant entrer dans sa chambre, dans son lit, alors qu’elle se débrouille toujours pour faire ça hors de chez elle. Et quand elle n’a pas le choix, tout sauf sa chambre. C’est son antre, son lieu sacré qu’elle ne partage avec aucun homme. Enfin, jusqu’à ce soir. Mais ça, il n’a pas besoin de le savoir. Tant qu’il ne reste pas jusqu’au matin. Parce qu’elle sait très bien qu’une fois le jour lever, ce sont toutes ses peurs, toutes ses angoisses qui sortiront de l’ombre, en pleine lumière, et cette petite bulle de douceur partagée volerait en éclat. Mais elle n’a pas de raison de s’inquiéter, puisqu’il a dit qu’il partirait. Elle pose à nouveau sa tête sur son torse, et c’est bercée par les battements de son cœur qu’elle sombre dans le sommeil en quelques minutes. Elle se réveille quelques fois dans la nuit, surprise de sentir une présence à côté d’elle, la chaleur d’un autre, puis elle se rappelle. Se dit qu’elle doit rêver, puisqu’il est censé être parti, et prolonge le rêve encore quelques instants. Tant qu’il reste à l’état de rêve, tout va bien.

La lumière du soleil vient la tirer des limbes du sommeil. Elle s’étire de long en large, alors que les événements de la veille se remettent en place dans son esprit. Jules qui débarque chez elle. Ce qui s’en est suivi, comme dans un monde parallèle. Elle s’accorde une minute, les yeux fermés, savoure une dernière fois ces instants, les ancre dans sa mémoire, consciente que c’était probablement un cas exceptionnel. Elle ne s’était jamais laissée aller de la sorte, et même si ça avait été incroyable, elle était terrorisée de perdre à nouveau le contrôle comme ça. Elle roule sur le ventre pour enfouir sa tête dans un oreiller, sentir une dernière fois cette odeur. Leur odeur.

C’est la qu’elle remarque que la place à côté d’elle est encore toute chaude. Pourtant, il devait partir après le film. Et même si Le Seigneur des Anneaux, c’est long, impossible qu’il ait duré toute la nuit. Elle essaie de se calmer, prend une profonde inspiration. Il s’est peut-être endormi pendant le film, après tout, comme elle l’avait fait. Oui ça devait être ça. Il s’était endormi pendant le film, s’était réveillé peu de temps avant elle, et s’était éclipsé juste avant qu’elle ne se réveille. C’est pour ça que la place est encore imprégnée de sa chaleur. Elle se tourne sur le côté, rassurée, et c’est là qu’elle les voit. Ses habits. Sur le sol. Impossible qu’il soit rentré chez lui en caleçon. Fuck. Elle se lève, s’habille rapidement, fait les cent pas dans sa chambre en se rongeant les ongles. Il n’aura pas fallu attendre longtemps pour que toutes les craintes qu’elle avait tentées de faire taire la veille ne se mettent à hurler en elle. Comme un placard dans lequel on essaierait de ranger tout son bordel en vitesse, sans mettre d’ordre. Il suffit d’entrouvrir la porte pour que tout dégringole. Elle essaie de calmer ses angoisses, se dit qu’il vient juste de se réveiller, qu’il prend une douche ou qu’il est aux toilettes, tout simplement, et qu’il va partir tout de suite après. Aucune raison de s’inquiéter, non ? Elle a presque réussi à se rassurer quand il passe la porte de la chambre, avec le petit déjeuner sur un plateau. Ou elle devrait plutôt dire, sa mort sur un plateau. « T’avais dit que tu partirais après le film. » Elle le fusille du regard, se sent trahie, en rage. Envolée, la douceur de la veille. Disparue, la tendresse. Il ne reste plus qu’un mur de glace. « Pourquoi t’es encore là, Jules ? »
Revenir en haut Aller en bas
Jules Lancaster
Jules Lancaster
— le cerveau et les couilles débattent
here since : 15/09/2019
dreams : 1302
pseudo : hufflepuff (daphne)
face, © : heizer (hoodwink)


c'est toi //jarty post-rupture de dana Empty
MessageSujet: Re: c'est toi //jarty post-rupture de dana   c'est toi //jarty post-rupture de dana EmptyMar 3 Mar - 16:39

Tu déposes le plateau de céréales sur le comptoir. Si elle aurait pu te tuer sur place c’est exactement ce qu’elle ferait. Tu sens une immense colère s’installer en toi. Ça serait donc ça, vous deux ? Le gré de son humeur ? Quand elle allait vouloir de toi tu allais devoir répondre présent ? Tu n’étais pas un objet. Tu avais l’habitude des filles explosives, mais là, Artémis, elle agissait en psychopathe. Elle était où la demoiselle de la vieille, douce et tendre ? « Excuse-moi ? » Tes mots sont remplis de mépris et d’incompréhension. Tu es devant elle, en caleçon et tu veux mourir de honte. Mais qu’est-ce que tu as pensé Jules ? « T’es folle ou quoi ? » Tu avais de la peine. C’était ça. Tu avais mal d’avoir ouvert ton cœur à une fille qui visiblement n’en voulait pas. Ils étaient où les beaux discours qu’elle te voulait, toi ? Sans doute envolés. Tu as toujours envie de l’embrasser, parce que toi, t’étais éperdument amoureux. « C’est quoi ton problème Artémis ? » Tu t’avances de quelques pas pour ramassé tes fringues qui sont à ses pieds. En te relevant tu glisses une main sur sa hanche. « Tu te souviens que je ne suis pas ton ennemi ? » Son regard sur toi te glace le sang, il semble complètement éteint. Tu pousses un soupire en t’éloignant d’elle pour te vêtir à ton tour. « Ouais, ok, je comprends. Finalement tu prends ton pied à flingué les relations de couple des autres. » Ça n’avait donc été qu’un jeu ? Tu avais été à ce point con pour ne pas le voir. « C’était quoi, hier c’était l’apogée de ton jeu ? Tu voulais voir combien de temps je tiendrais ? Bah bravo Arty. J’ai pas résister. » La colère commence à te faire vibré. « Quand je vais partir tu vas faire quoi ? Tu vas appeler Murphy pour qu’il vienne me remplacer ? » Parce que tu le savais ce qui c’était passé, une fois, entre eux. Tu rages en enfilant ton pantalon. « J’ai vraiment été con. Finalement. » Tu te sentais manipuler. Pourtant, tu n’échangerais pas la soirée d’hier pour autant. Ton cœur avait mal. Tu tournes le dos à Artémis. « Je t’aime Artémis. Tu veux pas l’entendre. Tu ne veux pas non plus te sentir prisonnière, mais je ne suis pas un jouet que tu vas appeler quand tu veux. Je veux être avec toi, avec les conditions que tu veux, mais ça. » Tu la pointes au grand complet. « Ce numéro de reine des glaces, c’est non. Je vais partir, maintenant. Je vais revenir, je suis amoureux de toi. C’est sûr que je vais revenir, et si tu es toujours comme ça, ça sera fini. Tu peux aller voir qui tu veux, tu peux faire ce que tu veux avec qui tu veux. Je m’en fou. » Tu voudrais t’approcher d’elle, tu regrettes que ton premier je t’aime soit balancé comme ça, avec de la haine dans les mots. « Ton attitude, replace la. Salut. » Tu pousses un juron et parce que tu gères parfois mal ta colère tu balances le plateau au sol, le bol se brise et le lait se répand au sol. T’es furieux. Pourquoi tu tombes toujours amoureux de fille un peu timbré ?!
Revenir en haut Aller en bas
Artemis Swanson
Artemis Swanson
entre le futur sociopathe et son frère on peut pas dire qu'elle sache choisir ses mecs
here since : 18/01/2020
dreams : 286
pseudo : bambi
face, © : kiernan s., .turtle


c'est toi //jarty post-rupture de dana Empty
MessageSujet: Re: c'est toi //jarty post-rupture de dana   c'est toi //jarty post-rupture de dana EmptyMar 3 Mar - 16:40

Elle bouillonne alors que ses mots se déversent sur elle. Évidemment qu’il ne comprend pas. Comment elle a pu croire qu’il accepterait ses conditions, sa vision des choses ? C’est elle qui avait été stupide de croire qu’il pourrait se contenter de la veille et ne rien attendre de plus. Elle a envie de hurler, de l’incendier, mais elle essaie de se contenir, de ne pas exploser. Pas tout de suite. Mais elle sait qu’elle est une bombe à retardement, et au plus il l’ouvre, au plus elle se sent proche du point de non retour. « Mon problème ? Mon problème, c’est que... » Sa main sur sa hanche la coupe dans son élan. Elle ne comprend pas comment il peut avoir autant de pouvoir sur elle avec un simple contact corporel, et ça la rend folle de rage. Elle laisse sa phrase en suspend, prend de profondes inspirations pour tenter en vain de se calmer. Elle sait très bien que si elle parle maintenant, elle sera tellement mauvaise qu’il ne reviendra plus jamais. Et ça, il en est hors de question. Elle ne veut pas qu’il disparaisse de sa vie. Elle ne sait pas vraiment ce qu’elle veut de lui, ce qu’elle attend, mais s’il y a bien une chose dont elle est sûre et certaine, c’est qu’elle sera incapable de se passer de lui trop longtemps. Comme une camée qui a besoin de sa dose d’héroïne pour survivre.

Et là, alors qu’il est en train de s’habiller, et qu’il déverse son poison, son cerveau débloque. Elle sent la rage monter en elle, une rage comme elle n’en a jamais connu avant, et elle pourrait le tuer sur place. Elle sent ses muscles se tendre un à un, sent son corps trembler sous l’emprise de la colère. Elle sert la mâchoire, se mord les joues pour passer sa haine, mais lorsqu’il évoque Murphy, c’en est trop. Elle voit rouge, et elle laisse s’exprimer cette rage pure, sans filtre. « Tu te fous de ma gueule ?! C’est qui qui m’a fait son numéro à la con dans ce putain de placard à balais ? C’est qui qui a débarque chez moi hier soir, sans prévenir, comme si c’était normal ? Si t’as pas été foutu de tenir ta résolution, c’est que ton couple était déjà pas très solide. » Fini le mur de glace, elle n’est plus que flamme, un brasier qui brûle tout sur son passage, dont certains de ses barrages, sans qu’elle n’y fasse attention. « C’est toi qui a joué avec moi, qui t’es infiltré dans ma tête pour mieux me dégager après. J’en ai rien à foutre de Murphy, et même dans ses bras c’était pas à lui que je pensais parce que tu... » Tu m’as piratée le cerveau, tu m’as ensorcelée, je t’ai dans la peau ? Elle se coupe toute seule quand elle se rend compte qu’elle a été trop loin, qu’elle en a déjà trop dit. Elle devient folle. Contre lui, contre elle même, contre cette putain de situation dont elle ne sait pas comment se sortir. Elle est tiraillée entre le laisser partir, continuer son numéro de reine des glaces, ou le retenir, lui dire qu’elle a besoin de temps, qu’elle ne peut pas jouer au petit couple parfait parce que ça la dégoûte. C’est qu’il balance les trois mots qui la fige sur place. Elle a l’impression de s’être pris un point dans l’estomac, ça lui coupe le souffle, elle n’arrive plus à respirer, ne sent pas les larmes qui coule sur sa joue. « T’es vraiment con... » Un murmure, perdu dans le fracas du plateau qui s’éclate sur le sol. Elle sursaute, reprend contact avec la réalité. Laissant agir son impulsivité, elle se précipite en avant, ne remarque même pas qu’elle se coupe les pieds sur les débris, ferme la porte avant qu’il ne quitte la chambre. Elle se plante devant lui, le regard enflammé par toutes ces émotions contradictoires qui se bousculent en elle. « T’as pas le droit de me faire ça. Tu me connais, bordel je t’ai prévenu, jouer au petit couple parfait c’est pas mon truc. Laisser entrer quelqu’un dans mon lit c’est pas mon truc. Tout ça d’un coup c’est... c’est trop. C’est trop pour moi, c’est... ça va trop vite, Jules. » Elle a besoin de se justifier, refuse qu’il ne reporte l’entièreté de la faute sur elle, comme si elle était la seule responsable, la seule à venir tout gâcher. Elle a besoin de savoir qu’il a comprit que ça ne se ferait pas en une nuit, qu’elle a besoin de temps.
Revenir en haut Aller en bas
Jules Lancaster
Jules Lancaster
— le cerveau et les couilles débattent
here since : 15/09/2019
dreams : 1302
pseudo : hufflepuff (daphne)
face, © : heizer (hoodwink)


c'est toi //jarty post-rupture de dana Empty
MessageSujet: Re: c'est toi //jarty post-rupture de dana   c'est toi //jarty post-rupture de dana EmptyMar 3 Mar - 16:42

Artémis est à prendre avec des pincettes. Elle est résistante. Elle est coriace et têtue. Tu prenais conscience, petit à petit, que ton cœur était éperdument tombé amoureux d’une femme très difficile à apprivoisé. Tu n’étais même pas majeur encore et tu savais que tu rêvais, un jour, de cette vie de famille, du petit vus, des maisons identiques sur la même rue. Tu voulais le chien, le chat. Artémis tu pouvais le sentir qu’elle n’allait jamais vouloir de ça, mais bon, vous aviez dix-sept ans et ton cœur la voulait elle. Artémis avait depuis longtemps conquis ton être tout entier. Tu n’avais besoin qu’à penser à la soirée où tu avais perdu ton sang-froid chez Castel et que tu lui avais foutu ton poing dans la gueule parce qu’il avait couché avec elle. Tu n’allais pas mentir, tu avais été profondément jaloux qu’il puisse l’avoir. Tu la presses dans tes bras, tu es bien. Artémis arrive à créer une magie autour de vous. Même ce soir-là, lorsque tu l’avais ramené chez elle, dans la voiture. Elle avait posé sa main sur ta cuisse, sans te regarder. Tu étais débarqué pour la reconduire jusqu’à sa porte, vous vous étiez longuement regarder. Artemis t’avais proposé de rentré. Tu aurais voulu hurler oui de toute tes forces, mais tu t’étais contenter d’un chaste et rapide baiser sur ses lèvres avant de partir parce que c’était ce qu’à ce moment-là tu devais faire. T’avais essuyé une larme sur ta joue ce soir-là. « Tu ne réalises pas encore tout ce que je pourrais faire pour toi, Artémis. » Votre pacte est scellé. Pour elle tu brûlerais le paradis et tu gèlerais les enfers.

Ta douce te dicte où prendre les pansements. Tu agis aussitôt, tu prends un torchon propre que tu humifies pour enlever le sang qui coule, tu éponges doucement, caressant tendrement sa cheville par ta délicatesse de mouvements. « Ça ne semble pas bien profond. » Tu es désolé, tu lèves les yeux. Ça avait dérapé votre dispute. Pour quoi au juste ? Parce que tu aimais trop ? Tu refuses de croire ça. Une fois le pansement terminé tu la prend de nouveau dans tes bras et la ramène dans son lit et tu te glisses près d’elle pour qu’elle vienne se blottir une nouvelle fois dans tes bras. Tu l’accueil amoureusement. « Queenie. » Tu lui caresses ses cheveux bouclés et l’embrasse sur le front. Elle lève ses yeux vers toi et si tu avais envie de lui dire un tas de choses, de te confier, tu préfères capturer ses lèvres. Ta main caresse sa joue. « Tu me fais tellement d’effet. » Et encore là, c’était un euphémisme. Vous vous embrassez comme ça pendant longtemps, blottis l’un contre l’autre et si tu sens une érection dans ton pantalon et que tu te doutes bien qu’elle ne refuserait pas de continuer ce que vous semblez faire de mieux ensemble, tu résistes. Tu résistes parce que tu ne veux pas que votre relation se transforme en ça. Tu ne veux pas d’elle pour son corps, tu la veux elle tout simplement, sa personnalité, savoir ce qu’elle peut dire. Artémis était si exceptionnelle à tes yeux. « Est-ce que tu veux que je parte ? » Vos bouches se cherchent, privés trop longtemps l’une de l’autre. Tu n’avais pas envie de partir, si tu t’écouterais tu ne partirais plus jamais. Ton cœur bat si fort. Tu caresses ses bras, son ventre. Tu t’imprêgnes de tout d’elle, ne sachant pas quand tu la retrouverait, même si tu savais a fond de toi que cela ne serait jamais bien longs maintenant.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé

c'est toi //jarty post-rupture de dana Empty
MessageSujet: Re: c'est toi //jarty post-rupture de dana   c'est toi //jarty post-rupture de dana Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
c'est toi //jarty post-rupture de dana
Revenir en haut 
Page 1 sur 2Aller à la page : 1, 2  Suivant

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
teenage dream never dies ✩ :: everybody wants to rule the world :: flashforward-
Sauter vers: