| Sujet: (remington) teachers said we'd never make it out alive Jeu 14 Nov - 5:57 | |
|
lana remington, bravo " A freshmen generation of degenerate beauty queens "
nom complet - lana et remington, rien à voir l'un avec l'autre. le fruit de parents qui on jamais su s'entendre sur rien et qui s'entêtent à être encore ensemble. un beau bravo à la fin de tout ça. surnoms - rem ou ray, normalement. y'a parfois des créatifs qui se retournent la langue avec des riri ou de ''reming''. décomposable dans toutes les syllabes auxquelles tu répondras. lieu de naissance et âge - née et élevée à nevada city, macérée dans cette ville depuis seize ans, déjà marre, déjà l'envie de se barrer loin. d'aller rêver l'amérique ailleurs, goûter les rythmes mexicains ou savourer les accents canadiens. nationalité et origines - américaine des états-unis, même si maman à du sang des amériques latines. les gènes qui s'mélangent et se battent de tes yeux, à tes joues, jusqu'à la racine rouquine de ta crinière. à nevada city depuis - ta première bouffée d'air, mais certainement pas jusqu'à la dernière. tu rêves juste de partir loin, même si c'est difficile de tout laisser derrière et pas s'retourner. tu voudrais juste disparaître quelque part, à new york, te perdre dans la foule et ne jamais te retrouvée. gone girl. classe à la rentrée 2019 - la junior year, 11th year, depuis septembre 2019. l'avant-dernière année, la vraie vie qui pend au bout du nez et toute l'anxiété qui peut venir avec. rien envie de faire de ta vie, sinon de désobéir. situation familiale - complexe. ta famille n'est pas brisée, mais elle est fragmentée. comme un miroir qu'on a trop tabassé, mais qui tient encore miraculeusement du bout de ses petites pièces démolies. voyez, papa est un beau bâtard, un sale alcoolique ayant la mauvaise habitude de tromper sa femme. c'est même qu'un petit frère de sept ans c'est ajouté au bordel de la famille. papa a même déconné avec la femme de son frère aîné, pour mieux foutre la merde et voir à quel point ta mère était dépendante de lui, restant, restant toujours avec ce con de géniteur. heureusement que papi bravo à été là pour tenir la famille ensemble. toi, tu te sens comme une étrangère, avec eux. situation financière - pas fameuse. vous êtes de la classe moyennement moyenne. maman s'occupe beaucoup de vous, fait parfois du ménage chez les gens plus riches. papa bosses pour la compagnie d'électricité bravo, business familial que papa à mis en place, toujours grimpé dans les fils, dans les arbres ou à dépenser trop au bar. toi, tu bosses dans un diner de la zone sud, tellement rétro qu'il en redevient populaire. tu fais assez de fric pour te permettre de bien faire la fête, sortir au ciné, boire beaucoup, profiter de ta jeunesse. statut civil - jamais vraiment toute seule longtemps. jamais longtemps prise. tu voles entre des conquêtes sans importances à qui tu ne donnes jamais vraiment, trop rien. ruminant des sentiments incorrects, immuables, perdus ailleurs orientation sexuelle - pas de préférences. de garçons en hommes, puis en gamine, tu ne discrimines pas, tant qu'on ne t'ennuie pas. les lèvres goûtent toutes pareilles quant on a trop bu, alors qu'on a même pas l'âge. t'es convaincue qu'un jour, ça disparaitra, l'orientation sexuelle, la classification. votre génération, vous êtes au dessus de ça. traits de caractères - t'as toujours refusé d'être un cliché. sauf qu'on est tous, quelque part, le cliché de quelqu'un d'autre. t'es l'adolescente blasée, de celle qui ne s'intéresse jamais vraiment à quoi que ce soit plus que cinq minutes. de celles qui ne semblent que vivre pour s'amuser, qui perdent intérêt en classe dès qu'on répète la même chose plus que deux fois. traçant sa vie de fêtes en fêtes, s'enivrant d'alcool surtout, copiant le père détesté. rien à foutre de rien, rien à foutre des règles. toujours cet envie de déplaire, de faire le contraire de ce dont on s'attend de toi. mauvaises notes pour le plaisir, les fêtes pour faire jurer maman, les mauvais garçons trop vieux pour faire rager papa. l'arrogance au bout du nez, de celles qui ne cherchent jamais vraiment les problèmes, mais qui savent très bien les trouver. avatar - stephanie cam groupe - the silvers | | matière préférée -pas vraiment de matière préférée, tant que tu ne t'enmerdes pas, c'est cool. parfois les cours de science, d'autres fois ce sont les cours de sports que tu préfères. mais ta matière favorite n'est donnée qu'à l'école buissonnière. sport préféré - tu détestes pas la natation, t'as même appris à adorer ça, surtout l'été, surtout pour encourager ton cousin. t'as pas vraiment d'autres sports que t'adores, t'aimes jouer à des conneries avec des ballons, ballons-chasseur, foot, tout ça. livre préféré - volkswagen blues, l'un des livres qui t'as fait adorer la si complexe langue française. un livre qui t'as donné envie de partir, loin, loin, si loin que ton nom ne voudrait plus rien dire pour personne, pas même vous. rien que voir ailleurs comment le soleil brille mieux dans ses yeux. artiste préféré - jackson pollock, celui que t'aimes trop imité quand t'es aussi imbibé. de la peinture partout, un bordel de mains et d'envie de gerber sur des bouts de toiles, parce que tu seras jamais une artiste, rien qu'une fouteuse de trouble, rien qu'une bohémienne, une vas-nue-pieds. marque de vêtement préférée - t'aime les chassures adidas, trop cher, blanches, les sweaters sports volés à des beaux garçons, des leggings sans marque, les vestes de jeans des friperies. t'as pas la prétention de t'en faire des marques. t'en a même rien à faire de celles que tu laisses dans les coeur es autres, alors voilà. marque de ton téléphone - samsung, fuck apple, trop cher pour rien de toute. un téléphone qui a juste ce qu'il faut pour pas perdre la carte et qu'on puisse te localisée si jamais tu termines au fond d'un caniveau. réseau social préféré - tiktok et ses conneries vidéos, t'aime bien la musique et le fait que y ait pas trop d'adultes, que tes parents s'y foutent pas le nez. |
— teen attitude, teen problems. t'as toujours trouvé la vie une peu longue, par petits bout. les secondes te semblant comme des heures, surtout quand faut attendre. Pressée de vivre maintenant, de pas perdre de temps. et comme on en perds du temps, dans une vie, à attendre au feu rouge, attendre en file, à s'prendre le coeur et la tête pour des gens qui ne valent pas la peine et qui, au final, vont déconer, tu la trop vue, toute ta jeunesse. ce papa qui faisait connerie sur connerie, buvait toujours trop, marchait pas droit en rentrant, parlait trop fort parfois, quand toi tu te réveillais, allait dormir dans le placard juste au cas où la mauvaise idée lui prendrait de venir t'embêter, toi aussi. maman lui pardonnait toujours, tromperie sur tromperie, elle se déchiquetait le coeur et pardonnait. c'est comme ça que t'as eut un petit monstre de frère, d'une autre maman qui l'a abandonné chez-vous, que maman a élevé les lèvres pincées. papa à même déconner avec ta tante, faillit niquer toute la famille du même coup, à bien bousillée celle de ton cousin Fitz. toi, t'es toujours restée loin de celui que t'as jamais vraiment appelé papa.
enfant joueuse, t'es devenue une adolescente bien pire. de ses insouciantes qui veulent toujours jouer, même quand on est plus des enfants. à monter sur les genoux de ton cousin pour t'y asseoir, parce que t'es perdue, parce que plus rien ne vas chez-lui non plus et que tu veux juste un câlin, juste le début de la fin du putain de monde. rien d'mal. juste deux petites âmes perdues qui se retrouvent, s'entrechoquent comme des planètes. de ses trucs que tu ne prenais jamais vraiment le temps de vivre, de ses envies que tu ne ressentais jamais, foutant le camp bien avant. depuis ce moment là, tu cours, tu te sauves de toi-même, te croises parfois au détour d'une ruelle, le temps d'une bonne frousse de tout ce que tu ne veux pas assumer. de tout ce qui passera. ça passera, hein ? en attendant t'étouffe toutes les questions naissantes, en les noyant. papa serait bien fier de ton don pour la bouteille, de ton talent pour te procurer de l'alcool bien avant l'âge, que tes beaux cils servent à quelque chose. que les badboys trop vieux pour toi se rendent utile le temps qu'ils ne savent pas qu'ils se font séduire par une gamine mineure qui n'hésiterait pas à leur lancer à la gueule s'ils deviennent trop entreprenant. t'es juste comme ça, tu prends, donne rarement, jettes quand t'en a marres, court quand tu ne peux pas laisser tomber, rêver juste de t'enfuir loin d'ici, peut-être avec lui, parce que même si t'as eu l'occasion de t'enfuir plusieurs fois, t'arrives pas à le laisser derrière, celui que t'auras jamais le droit d'aimer comme ça.
pseudo/prénom - jacko âge/localisation - 27/kanada avis sur le forum - où l'avez-vous connu - quelqu'un m'avait filé le lien y a bien, bien longtemps, j'crois ? prélien ou inventé - inventé réserver son avatar : stephanie cam (20.11)
- Code:
-
[b]nom prénom[/b] : remington bravo [b]année[/b] : 11th grade [b]lycée[/b] : silver creek high |
|