s'entraîne pour un CAP coiffure
 |  Sujet: indigo night (jazz) Dim 10 Nov - 23:06 | |
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jazzlyn, wolf
" this might as well not be real "
nom complet - — jazzlyn wolf écarté d’une signification sentimentale particulière. d’un nom qu’elle ne prononce jamais, reste muette devant l’appel qui ne lui correspond plus. tout est délié dans la prononciation délavée d’une gamine qui ne se reconnaît plus sur le papier qui prouve son existence. l’encre d’infortune qui meurt sous les regards insipides. une litanie bestiale qui hurle à la nuit, la pleine lune dans la peau qu’elle a côtoyé dans le froid glacial. elle ravale le patronyme comme de la bile acide, qui lui creuse des trous dans l’estomac. surnoms - — jazz la mélodie qui se voulait harmonieuse, une envolée lyrique pour des jours de soleils et des camaïeux ocres. mais ce n’est que requiem d’un nouveau genre. on coupe court à tout prolongement délicat. ça sonne faux dans la bouches des autres, l’originalité qui offre des sourires mais qui ne vient que d’un élan de paresse dédaigneuse. elle l’a bien entendu, dans des bouches affreuses et grimaçantes. d’un temps où sa présence n’insufflait que de crachats sur son visage de poupée. tout se transforme en musique entre les lèvres de celui qui savait panser ses plaies. lieu de naissance et âge - — seize ans, nevada des grains de sables dans un sablier éternel qui ne s’arrête jamais, pourtant personne ne prend le temps de tous les compter. ça coule trop lentement, à chaque choc émotionnel, chaque mots de travers : un demi-tour s’effectue. d’avant en arrière, prise au piège dans une chronologie qui ne lui appartient pas et qui porte son nom. le doigt sur la marche forcée, elle le martèle en vain. elle qui est bloqué à ses treize ans, dans une innocence qui part dans un coup de feu. le un et le six font taches, pollué d’une naissance dégoûtée, d’un développement intra-utérin saupoudré de malheur prédestiné. nationalité et origines - — usa l’écho qui pue le patriotisme ambulant des êtres monocellulaires, sans aucune dérogation pour l’intelligence prononcée. ça suinte de xénophobie et de transpiration. la respiration lourde d’obésité assumée. les mots crasseux qui attaquent, d’un accent mordu d’ignorance exacerbée. plus rien qui rattrape une génération émiettée de moisissure contagieuse, les gosses qui traînent dans la terre et respirent l’idiotie comme un virus. des ancêtres et relations tombés du camion, rien qui ne se grave dans l’âme. à nevada city depuis - — l’infini une éternité sans cesse renouvelée, quoi qu’il en coûte elle reste sur ces terres. à frôler le même sol poussiéreux, cramer sous le même soleil qui l’agresse au lieu de la réchauffer. un poids au pied et au cœur, qui attire sa poitrine vers les familiarités géographiques qui ne font que fissurer sa colonne. une position de soumission qui a prit appuie sur son dos, l’échine courbée en permanence. elle peine à se redresser, mais chaque caillou, route, parking et boite aux lettres ressassent des voyages psychiques trop douloureux. un envol voulu mais inatteignable, un oiseau enfermé dans une cage en feu. il suffirait qu’elle tende la main, touche la cendre pour y faire renaître un phénix qui l’emmènerait au loin. classe à la rentrée 2019 - — junior year la même place, les même chaises. du renouveau que par le temps qui passe. la jeunesse usée qui somnole entre les questions futiles et dénuées de tout intérêt dans le vrai monde. elle reste les yeux ouverts, à regarder la craie sinueuse comme une danse hypnotique. des va-et-vient entre le réel et l’inconscience. l’obligation frustrante et la porte de sortie vers une indépendance utopique. l’attention visible alors que ses mains pratiquent l’écriture automatique, des mots sur un papier qui devient noir. des pages à l’image de son esprit, tantôt vides et tantôt chaotiques. situation familiale - — anarchique des récits tremblants d’une famille qui n’a jamais vraiment existé. un nuage grondant dans le ciel de son quotidien. le rôle principal qui n’a trouvé que sa liberté qu’avec le flingue au creux de la paume. à abattre le modèle fort de la maison, de celui qui lui coupait les ailes, la torturait en les arrachant plume par plume. elle révulse sous les souvenirs patriarcales. du sang sur la langue suites aux heures passées à subir, les regard, les mots, les coups. tout ça enrobé dans un amour malade, amputé de sérénité et de déformé par mensonges incrustés. les dix petits nègres à quatre, un en moins il n’en resta plus que trois. la mère au don d’invisibilité. qui a toujours eu peur de respirer, d’exister, qui s’est détournée de la responsabilité qui lui a été donné avec le poids des deux grossesses. elle a tout gâché jusqu’au bout, à les abandonner à leur sort sous des pluies de questions, un témoin perdu dans la nature qui était la seule à pouvoir les soutenir sous une dernière tentative de rattraper son inaction de toujours. deux seuls, elle et ash. puis il lui a fait un trou dans la poitrine, des aveux qu’elle ne voulait pas entendre, qui l’ont laissé vide de toute raison d’être. pourquoi. il l’abandonne, lui, l’unique homme de sa vie, sur le pas de la porte alors qu’ils l’emmènent. elle a du apprendre à marcher seule, écrasé sous le poids d’un système de famille d’accueil défectueux. situation financière - — le néant du matériel qui ne lui appartient pas. elle ne possède rien si ce n’est son corps et son esprit. -et encore un débat pourrait s’en suivre- à exister à travers les affaires d’autres. de secondes mains et empruntés, elle partage des souvenirs dont elle n’a rien à faire. des trous dans les poches, des collants déchirés et des stylos mâchonnés. l’œil torve sur des objets étrangers à sa vie. elle ne peut se résoudre à y attacher des sentiments quelconques. alors qu’au fond d’un tiroir, une pile de cadeaux prend la poussière. les seuls traces d’amour qui inondent ce qui lui sert de chambre. ash et ses intentions qui ont rencontrés des barbelés dans sa bouche, du rejet dans les cordes vocales. statut civil - — seule la solitude qui lui tient au cœur, l’âme souillée de tous gestes affectueux. de l’oxygène sociale dont elle se prive pour ne pas tomber à la renverse, trop de bagages à porter. ça en devient trop lourd pour elle, ne veut pas enchaîner une autre sous son poids. la dualité insupportable. elle cherche dans la nuit des lèvres qui lui apprendront à respirer de nouveau. pour effacer les idées misogynes d’un futur qui n’est pas le sien, de ses cuisses qui s’écarteront pour qui le veut, qu’elle donnera sa bouche au plaisir malsain des autres. elle veut contrer des prédictions perverses qu’on lui a répété. orientation sexuelle - — lesbienne elle effleure les bouches charnues et avale les respirations aiguës. l’envie préposé au féminin, les sentiments surtout. l’attirance se conjugue sous toutes ses formes. la tentation d’un toucher trop présent la ferait frémir venant de n’importe quel être. le désir trop sensible à réciprocité d’un simple sourire ou regard. mais il n’y a que pour les âmes féminines que son inconscient perd pied. des corps étrangers dans l’abdomen, à envoyer des frissons de passion dans son thorax. traits de caractères - sensible, susceptible, perdue, en manque de contact humain, vulgaire, rancunière, opportuniste, faussement indépendante, débrouillarde, loyale, fragile, méfiante, autodestructrice, lunatique, usée. avatar - diana silvers. groupe - #teampouilleux4eva. | | matière préférée - — informatique le bruit hypnotique du clavier mécanique, ça envoûte son esprit trop dépassé, dephasé par la vie pénible. les formules et les créations, l'imaginaire et les codes. mélange savant qui sait capter son attention défaillante. les doigts fins qui pianotent et les grandes yeux qui papillonnent à travers les écrans. la stratosphère connectée à portée. sport préféré - — banc de touche la carcasse trop fragile, elle se trimballe une enveloppe trop faible pour les efforts sportifs. l'intérêt oublié parce que les filles font pas de sport d'après son père. pas le temps pour ces bêtises. elle regarde les autres suer et siffler, cracher leur poumons. la brutalité des coups ont jamais bien sied son épiderme. livre préféré - — la rage du réel un bouquin écorché, qui fait gage de réconfort dans les nuits sombres. les pages froissées et des traces de larmes dessinées un peu partout. un attachement sans borne à une œuvre qui chuchote à son oreille d’une voix qu’elle pourrait reconnaître entre mille. le nom d’auteur qui se détache de tous les livres qu’elle a pu lire. asher wolf. créateur d’un échappatoire lunaire dans son quotidien morose. un secret précieusement caché sous son oreiller. seule chose lui est à elle et personne d'autre. artiste préféré - — two feet un patchwork de sonorités qui saurait lui tirer des larmes existentielles. à des mélodies sensuelles qui la ferait danser seule dans les ténèbres. les paupières fermées à onduler ses bras telle une nymphe des enfers. elle écrase et tabasse ses tympans des basses rythmés des chansons écoutés à répétition. marque de vêtement préférée - — vintage l'histoire dans les tissus, une nouvelle vie exigée dans la pauvreté amère qui lui colle à la peau. elle prend sans regarder mais dégage une allure de vieille photo délavée. contenue dans son expression vestimentaire pendant des années, elle peine à dégager qui elle est. la texture usée entre ses pulpes, elle se reconnaît pourtant dans les vieilles affaires abandonnées. marque de ton téléphone - — lg g6 aux banalités adolescentes d'un texto envoyé à la seconde. ça vibre comme un rappelle à la sociabilité, au contact humain, aussi pixellisé soit-il. la volonté régulière dé faire la morte, à perdre dans ses souvenirs l'existence même de son portable. mais elle y revient toujours, mordu des autres. now I'm feelin' so fly like a G6. réseau social préféré - — tumblr le bazar cosmique qui dans chaque post transpire le cynisme. contre la terre on y déverse les joies et les pleurs. un éventail de découvertes qui polluent mais distrait son âme vagabonde. des heures perdues jusqu'à l'aube et les rayons chaleureux sur son visage qui la sort de ses aventures édulcorées. |
— teen attitude, teen problems.
ash,
je n'ai pas lu ta première lettre jusqu'à maintenant. je me suis pas si j'avais la force de lire tes mots, d'entendre ta voix dans ma tête. tu m'as laissé ash. tu m'as laissé toute seule dans ce monde pourri et je sais pas comment je suis censé vivre sans toi.
j'ai tellement la haine. contre lui, contre toi. même mort il arrive à tout gâcher. tu n'as pas compris pourquoi. tu dois sûrement me penser ingrate. tu penses que c'était la meilleure solution pour moi ? tu te trompes. ce n'était pas un fardeau. c'était ma liberté et tu me l'as prise. je voulais enfin respirer, grandir avec toi comme soleil sans l'orage pour nous refroidir.
je sais pas ce qu'ils vont faire de moi, malgré tout ça je reste une poupée qu'on trimballe. je pensais en avoir fini. que tout allait aller mieux. mais c'est sans fin et tu n'es pas la pour me chuchoter que tout va bien.
je me réveille et je ne vois pas ton sourire pour accueillir ma journée.
les heures passent et tu n'es pas la pour me faire sourire.
je respire et il n'y à personne pour partager mon oxygène.
je vis sans toi.
c'est toi qui me fait échouer.
tu ne mérites pas mes mots ni mon regard.
je refuse.
je t'aime.
jazz
— jusqu'où pourrais-tu aller pour nous ?
ash,
j'ai fait un cauchemar. j'ai rêvé que tu étais mort. la bas dans ta prison. je me suis réveillé en pleurant je ne voulais que te voir.
j'ai envie de vomir.
j'ai mal ash.
tu me fais mal.
par ton absence.
mais je refuse de venir te voir, écouter les cris qui résonnent au loin et me dire que tu es dans cet enfer. chacun le sien. c’est comme ça qu’on grandit non ? on prend son indépendance et on ferme sa gueule ? bien un truc qu’aurait dit papa non ?
j’ai peur ash.
plusieurs fois je suis allé devant la prison, mais j’ai pas osé. c’était le pas de trop j’imagine. on me parle de toi mais je reste silencieuse. ils savent rien de toi, de nous ? ils me demandent de m’exprimer mais je n’ai rien à leur dire ?
d’ailleurs j’ai rien à te dire. je sais pas pourquoi je continue de répondre.
— du sang ou des larmes dans tes mots ?
ash,
c’est mon anniversaire. je sais que tu t’en souviens. que tu dois penser à moi. tu es bien le seul. aucun mot, aucun sourire jusqu’à présent et il est 15h..
je n’attends plus rien des autres, j’ai arrêté d’y croire. je leur en veux pas, je m’attends pas à ce qu’ils s’occupent de moi, ce ne sont pas mes parents après tout.
j’aurais voulu que tu m’emmènes à la plage, qu’on regarde le soleil se coucher et les étoiles arriver. tu me l’avais promis tu t’en souviens ? tu as toujours tenu tes promesses jusque là, mais j’imagine que c’est de l’histoire ancienne.
je n’arrive plus à croire tes mots ?
je ne sais même pas à quoi tu ressembles maintenant. j’espère que tu lui ressembles pas, faites que ce soit pas le cas. je ne sais pas si je pourrais te regarder dans les yeux..
d’ailleurs, apparemment ils essayent encore de trouver maman ? je sais pas pourquoi. je veux pas la revoir, elle a tout gâché.
peut-être qu’on est pas fait pour vivre en famille. que c’était foutu dés le début ?
je pensais vivre avec toi toute ma vie mais j’ai du me tromper. je sais que ça n’arrivera pas.
à jamais,
jazz.
— une vague de pensées destructrices ?
pourquoi tu me fais ça.
je comprends pas et je suis pas sur de le comprendre un jour.
tu dis tenir à moi. que je te manque, que tu t’aimes ?
tu voulais que je profite de ma vie ? c’est pas ça que tu m’avais dit dans ta première lettre ? alors pourquoi.
tu veux que j’oublie mais tu me fais revivre tout ça ? tu m’enfonces dans un mensonge que j’ai jamais demandé. j’en ai marre de jouer la victime tu comprends ça ? tu crois que j’entends pas sa voix à chaque fois que je me réveille en pleine nuit ? que j’ai froid, que j’ai chaud. à chaque fois que je sors. quand il me traitait de salope, de pute, prête à se faire engrosser comme une chienne en chaleur ?
j’ai du dire tout ça ash.
j’ai du tout cracher, encore une fois on me force à faire des trucs que je veux pas, à dire des choses que je veux pas.
et cette fois c’est de ta faute bordel. tu me déchires le cœur à chaque lettre et tu me fais ça ? et j’ai accepté. bien sur que j’ai accepté. parce que c’est pour toi au final ? tout pour toi et moi on m’oublie comme d’habitude. on s’en fout de ce que jazz elle ressent, de ce qu’elle veut. je hurle mais il y a personne qui m’entend. même pas toi. j’ai senti ton regard, j’ai tout fait pour pas le croiser, je pouvais pas. je pouvais presque sentir ton odeur de loin.
j’en veux pas de tes mots, de ta présence.
je t’aime pourtant si fort je te déteste je te déteste je te déteste.
j’aimerais tellement que ce soit vrai.
je veux que tout s’arrête.
oublie moi. oublie nous.
— moi je ne veux que ta présence
asher
des fois j’oublie que c’es ton vrai prénom
asher asher j’aime bien l’écrire pourtant c’est beau, comme toi ça me ta bien honneetement tu mérite spas les cendres. le cendres c’est la mort, le froid toi tu n’est que le soleil. tu sais réchauffer mon coeur de quelques mots tu as toujours su le faire, c’est un peu ton don j’imagine ??? mon super héro à moi c’est ça que j’avais l’habitude de dire aux autres, à toutes mes amies
c’est encore le cas non ?
je sais meême plus, peut etre tu as changé depuis. dans tes lettres et dans mon coeur tu restes le même, l’ame qui m’accompagne n’importe ou.
demain cette ame sera libre et moi je resterais dans ma prsion prison, on échange, c’est pas drôle ça ? on faisait tout ensemble et là on est déphasé. ça marche plus comme avant. je siassais pas ce que je vais faire ash, je sais pas si je serais capable de te serrer dans mes bras. pourtant j’en ai envie. tellement. t’es le feu qui me maintient en vie. j’aurais du te le dire avant. j’aurais du te le crier quand ils t’ont emmenés. il y a trois ans maintenant. tu sais que
des fois ça me manque. tout me manque et j’en ai la nausée de l’avouer. ou alors c’est lalcool je sais pas. j’ai trop bu apparemment je sais plus trop. c’était dégueulasse mais je sais pas on m’a dit que c’était bien pour ce que j’avais ou je sais pas quelle connerie y'avait un cachet aussi mais ? je me souviens pas l'avoir prit tantpis
mais
limite j’ai envie de tout recommencer, ça se vaut non ? de retrouver la torture pour te retrouver toi, comme avant ?? parce que ton absence m’a fait plus mal que tous les coups que papa a pu me donner, que toutes les insultes.
je dois pas être bien dans ma tête pour penser ça non ?
je suis pas faite pour tout ça ash
je suis pas faite pour vivre
pas sans toi
mais je sais pas ce qui va arriver demain ? j’ai peur
parce que ce sera jamais comme avant et en même temps tant mieux ?
comment on va faire ash ? je t’aime plus maintenant que n’importe quand ? comment c’est possible je comprends pas
j’ai le coeur qui explose ash
à chaque fois que je pense à toi, que je rêve de toi
tu me gardes prés de toi la nuit, tu me défends contre les cauchemars
tu es toujours là pour moi et je suis horrible avec toi
malgré tout tu continues à m’aimer ?
je le mérites pas, tu ne serait serais jamais allé en prison si je n’étais pas là
c’est à cause de moi tout ça, j’ai fait de ta vie un enfer et égoïstement j’aimerais qu’on brûle ensemble,comme on était sensé le faire au départ
je te veux dans la vie ash mais je peux pas
il n’y aura personne pour t’accueillir demain et j’en suis désolé
pardonne moi
pseudo/prénom -alors pour ceux qui l'ont pas encore capté, mon prénom c'est vanessa  . âge/localisation - vieille mamie sous la pluie. avis sur le forum - ma vie mon amour mon bonheur.  où l'avez-vous connu - un clic hasardeux et chanceux. prélien ou inventé - 50/50 jean-pierre  réserver son avatar : diana silvers (xx.xx / compter 7 jours)
- Code:
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[b]nom prénom[/b] : jazz wolf
[b]année[/b] : junior year
[b]lycée[/b] : silver creek high |
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| | Sujet: Re: indigo night (jazz) Dim 10 Nov - 23:06 | |
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| | Sujet: Re: indigo night (jazz) Lun 11 Nov - 10:51 | |
| mais cette fiche quoi, mais ce personnage, pourquoi tout ce que tu touches est parfait ? t'y es pas allée avec le dos de la cuillère pour me faire regretter tous mes choix de vieet pareil qu'ash, le coup du livre ça m'a mis k.o.  let's get this party started  |
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