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 ( amertume )

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Uriel Hillstorm
Uriel Hillstorm
just need a babi step to break the ice
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MessageSujet: ( amertume )   ( amertume ) EmptyJeu 17 Oct - 23:36



uriel '  hillstorm
éphémère déliquescence de l'âme

nom complet - il faut préparer sa langue à ne connaître aucun repos entre les deux syllabes. ( uriel ) si peu de lettres et autant de danse labiale pour éviter de marquer un ronronnement qui n'aurait pas sa place dans un prénom envolé. pas le genre facile à cracher sur le bitume, qui se ulule bien mieux qu'il ne peut prétendre être grogné dans un reproche. pourtant, ce n'est pas ce qui manque, les reproches. ça provoque l'incompréhension et ça lui va si bien ce questionnement permanent tapi jusque sur le bout de la langue. ( hillstorm ) banalité américaine sans fard qui n'apporte rien si ce n'est la possibilité de réduire l'humain à une appartenance familiale de sang, annihilant toute personnalité. mais ça s'oublie encore plus vite que ça ne pourrait couler de lippes aux accents de rue. surnoms -  ( u ) miroir, jeu de cache-cache entre lui et les autres, l'ironie d'un surnom qui se voudrait appropriation et accointance qui ne renvoie au final qu'à l'impersonnalité du you homonyme (et anonyme). âge - ( dix-huit ) le compte à rebours qui commence vers le précipice de l'âge des responsabilités, de la vie d'adulte, de l'indépendance, des préoccupations triviales, de l'attendue maturité alors que lui préfère se précipiter vers l’ineffable monde chimérique qu'il entretient avec plus d'amour que de raison. nationalité et origines - trivialement ( américain ), même si le seul arbre qui a jamais pu attirer son attention c'est celui qu'il aperçoit à l'extérieur depuis sa place en cours de littérature. la généalogie s'arrête soigneusement à la vague connaissance de grand-parents portés disparus depuis le commencement, comme si les Hillstorm n'existait que sur deux générations, et avant ça le n é a n t  à nevada city depuis - ( la préface ) origine ni fière ni douloureuse, il est enfoncé jusqu'à la gorge dans son southside depuis le premier vagissement. il en connait le moindre défaut du bitume, jusqu'à la mauvaise herbe persistante contre le flanc de l'immeuble grisé. paradoxe extrême de celui qui pourrait connaître chaque visage de la ville et continue pourtant de la parcourir comme un étranger, la pupille qui n'accroche jamais tous les faciès sans intérêt de nevada. qui sont ses camarades de classe ? aucune idée. le nom de la fille de l'épicier qui a grandit et a fait toutes ses classes avec lui ? mystère et rien à foutre. classe à la rentrée 2019 - ( ultime pénitence ) dernière année d'une présence fantomatique, l'ennui profondément logé dans un regard qui se perd plus souvent par la fenêtre que sur le tableau, à rêver d'autre chose. perdu dans un monde invisible, rythmé d'une musique que lui seul entend, il a les pleines capacités pour briller mais n'en fait rien, inadapté du système qui passe pour un gosse limité alors que tout ce qui borne son esprit c'est son ennui apathique.  situation familiale - ( déchirée ) parce que sa vraie famille n'a aucun rapport avec le sang ou tout au moins, pas celui qui parcourt ses veines quotidiennement mais peut-être bien celui qu'il a eu sur les mains sans le désirer. cinq, comme les doigts d'une main, qui suffisaient à faire son monde, sa vie, égoïste et exclusif à en crever. et c'est ce qui s'est passé. m o r t. l'union entachée de la disparition de sufjan. la "famille" comme absorbée dans une abysse qu'ils n'avaient pas vu venir alors qu'ils auraient du. aucune mère et aucun père ne peut faire le poids, vagues figurants dans un script qui ne tourne autour de ceux que le destin a réuni, et face auxquels la filiation parait bien obsolète comme concept. situation financière - ( inconscient de la précarité ) sujet aussi trivial que le pognon, ça n'atteint pas un gosse détaché de la lune. le sujet ne tombe jamais entre le plat et le dessert, question d'adulte épargnée à des oreilles qu'on considère trop jeunes, mais la vérité c'est qu'il s'en fout. il n'envie pas les maisons qui dégueulent l'argenterie et le parfum d'ambiance au nord de la ville. sa maison à lui c'est les autres. et il n'y a pas plus merveilleuse terre d'asile que leurs cœurs à l'unisson. statut civil - ( en couple avec son affliction ) jamais possédé par le besoin intrinsèque d'appartenir amoureusement à quelqu'un il crache sur cette manie toute adolescente, course à la love story écœurante et écœurée, avortée à peine initiée. incapable d'éprouver autre chose que ce bouillon étouffant, soupe de sentiments glacés.  orientation sexuelle - ( dans d'autres galaxies ) indifférent à la question qui semble tout droit tirée d'un livre de sciences et vie de la terre qu'il aura pris le temps d'engloutir comme n'importe quel autre ouvrage, ne s'intéressant, à l'occasion, qu'à la douceur des lippes sans y tremper beaucoup de sentiments. qu'importe la nature de l'ivresse pourvu qu'elle chasse le tourbillon permanent de réflexions. n'est pas encore genrée la personne qui saura trouver l'interrupteur pour faire disjoncter l'esprit qui galope avec frénésie.  avatar - otto seppalainen. (ai-je seulement réussi à l'écrire ? oui. est-ce que je suis vraiment sûre de l'orthographe ? mh no.) groupe - argenté 'til the end of times
matière préférée - ( skipping school ) parce que choisir ça serait s'intégrer au groupe de weirdo qui brillent sur le classement des meilleurs élèves et c'est tout ce qu'il fuit. la logique en béton armé lui confère quelque préférence fade pour les sciences mais ça le laisse désinvolte, l'air neutre du passager clandestin pleinement conscient de sa situation et de la précarité de sa réussite s'il ne dose pas un peu mieux son indifférence. sport préféré - ( jeté et cabriole ) ne méritent de savoir que ceux qui ont un passe-droit sur l'intimité fragile et farouchement protégée. livre préféré - ( à rebours j. k. huysmans ) lu un jour par un exchange student à l'indéniable mine arrogante, ça a chatouillé la curiosité parfois trop détachée d'un uriel en manque de palpitation. c'est au final la richesse des mots qui fascine, la cascade mirifique qui fait appel à chaque sens isolé.  artiste préféré - ( bach ) inavouable petit secret qui dénote avec le quartier, les origines où les bases qui peuvent vibrer en soirée, il se perd dans les concertos pour violons jusqu'à être englouti par les trémolos dont le nourrit son casque, l'excès poussé au point de capter la respiration du violoniste calée comme une science complexe à partition précise.  marque de vêtement préférée - ( sans style ) opportuniste qui a longtemps laissé sa mère acheté les fringues sans imposer la moindre volonté parce qu'il en a strictement rien à foutre - et qu'elle aussi. la banalité d'un t-shirt basique fait aussi bien l'affaire. pas assez de fric pour avoir l'outrecuidance de préférer une marque plutôt qu'une autre, et pour quoi faire de toute façon ? marque de ton téléphone - ( apple ) comme la plupart des adolescents américains, qui au delà de téléphone sert à l'occasion de marque page. - c'est tout la beauté du défaut. réseau social préféré - ( leurs yeux ) trop loin des hashtags qui ne lui font aucun effet, profondément stoïque et condescendent au like putaclic, ignorant de la codification d'un bon tweet, il avise d'un oeil las ces doigts agrippés à des applications qui vidangent leurs propriétaires de toute étincelle de vie et d'intelligence.  

— teen attitude, teen problems.


INFP-T - Logicien
Esprit
43 % extraverti | 57 % introverti
Energie
71 % intuitif | 29 % observateur
Nature
78 % pensée | 22 % sentiment
Tactique
17 % jugement | 83 % prospection
Identité
60 % assuré | 40 % prudent    


traits de caractère logiquement imparable (refuge de l'esprit qui cherche des explications rationnelles pour se bercer de déductions explicables) insensible (hermétique aux complaintes émotionnelles des autres une fois sorti de son cercle - il ne prétend pas les comprendre peut prendre sur lui pour eux) distant (insaisissable électron qui n'éprouve pas le besoin de se fondre dans la masse pour être bien) exclusif (et possessif à en crever, et la mort n'arrange rien) autodestructeur (le corps imprime, l'âme plie) lucide (refuse de se bercer d'illusions quand bien même elles adouciraient l'ensemble, parfois écrasant les autres de ce pragmatisme terrible. tu vas mourir et personne ne peut te promettre que ça adviendra dans longtemps)  condescendant (par facilité ou par acquis, glisse rapidement un regard méprisant à celui qui ferait la faute d'enfoncer une porte ouverte) honnête (qui ne tolérera aucun mensonge et dont la colère sera fatale face à celui qui tentera de modifier la vérité)

le vide est ton nouveau prénom
ça déchire l'air.
la balle et le coeur émietté poussent un cri à l'unisson qui ne saurait laisser de doute quant à l'origine du drame qui joue ses premières notes. un frisson traître mord son échine et va se perdre dans la première cervicale.
un courant électrique du cœur au cerveau.
c'est l'effet d'une information qu'on déterre du pays des souvenirs sordides et qu'on ramène sur les devants de la scène : le bruit de la mort. nul besoin d'une notice, d'un mode d'emploi, arraché à son rien rythmé par les basses déversés dans l'appartement dans l'espoir de le faire décrocher de cette réalité à laquelle il est rivé au quotidien. le myocarde s'arrête, repart, et précipite le corps dehors. sufjan. c'est une certitude qui n'a rien de scientifique ; viscérale assurance qui le prend littéralement aux tripes sans qu'il ne puisse s'expliquer l'origine de cette déduction illogique. et pourtant à peine bousculé dehors qu'il le trouve.
tableau caravage par excellence, un clair-obscur tragique qui imprime définitivement la rétine, marque l'esprit au fer chaud pour le reste d'une vie dont on bouscule subitement le cours tranquille. étendu à chaud sur le bitume, sufjan en poupée de chairs et d'os qui se meurt, et ça le glace.
banqueroute d'émotions.
pourquoi ?
sa gorge se gargarise du sang qui l'étouffe, et ça engloutit tout autre bruit, le monde disparaît au profit de cette scène sordide qui coupe uriel de son existence. une entracte involontaire. le point de bascule.
l'hémoglobine s'infuse dans la fibre du textile comme une fleur qui éclot et c'est ce qui enclenche le mouvement, forçant à tomber à genoux pour compresser ce trou dans leur monde.
il sait.
il sait comme deux et deux font quatre qu'il va mourir mais pour une fois il retient cette vérité indécente alors que la pupille accroche ce regard qu'il connait par cœur. pas un son qui roule sur sa propre langue, les mots font défaut. et sans crier gare il abandonne le premier mensonge de sa vie avec l'assurance éhontée du désespoir. ça va aller.
non.
ça va pas aller.
mais l'allure lissé d'un uriel bousculé dans un cauchemar sans nom ne laisse rien transparaître de cette panique interne qui lui déchire le coeur. c'est visqueux contre ses paumes, tiède, une caresse improbable qu'il ne pensait jamais éprouver, sous une respiration erratique. ça va aller. il y croit pas mais ça n'a pour une fois aucune importance. perdu, absorbé dans la prunelle de l'autre. est-ce que c'est une sourire ? ou une grimace de douleur ? il ne sait plus, il ne parvient pas à le lire dans l'instant et pourtant milles mots sont remplacés avec aisance par ce eye contact d’outre tombe. ça lui parait durer deux années lumières et pourtant les secondes se comptent avec une simplicité affolante. dernier adieu avorté. je sais. il hoche gravement de la tête alors que les phalanges pressent un peu plus fort. lui qui n'a jamais vécu qu'au nombre de cinq.
une respiration à cinq temps parfait, sans préférence.
même s'il aimait leur moment rien qu'à trois.
qui s'est toujours dit que c'était eux tous ou rien.
même s'il était plus facile de se tourner vers sufjan ou jam.
et brutalement plus rien n'existe sauf cette vie qui lui échappe doucement. gouffre sans fond dans lequel il se laisse sombrer sans lutter parce que sa vie ne peut plus faire sens si tout devient boiteux. binôme englué dans le fatalisme d'une situation qu'il ne comprend pas.
pourquoi, sufjan ?
l'oeil se fait plus vitreux et déjà on l'arrache à sa prière. laisse les secours faire leur travail. ça parvient difficilement jusqu'à son oreille, le corps tout entier anesthésié à la déduction imparable : il va mourir. péniblement remis sur ses pieds il prend racine au milieu de nulle part, rejoint par les autres. pas un mot, pas un regard et pour une fois le silence est trop lourd pour ses épaules. loin de leur rien si réconfortant à l'accoutumé il ne s'est jamais senti aussi seul au milieu d'eux, preuve s'il en fallait une que le monde tel qu'ils l'ont connu se meurt.
ils les voient.
il défit les lois physiques, ils les voient même cachés à l'intérieur de cette ambulance devenu corbillard sans le savoir. ils les voient impulser une énergie inutile dans une cage thoracique où le coeur a démissionné. presque certain d'entendre de loin les côtes craquer sous le massage cardiaque vain. le cerveau fabule, ou bien peut-être que c'est le sang qui coagule et rancit sur ses paumes qui lui empoisonne sa logique bétonnée. qu'est-ce qu'on a fait ? on. comme s'ils y étaient pour quelque chose. la question effrayée de ne pas avoir de réponse est lapidaire.  j'ai rien p- et puis non il balance aussi sur le charnier cette volonté absurde de remplir le vide par des mots qui n'ont aucun sens. la faille s'est creusée sous leur pied et aucun sismologue n'avait prévenu le coup.
alors instinctivement,
l'irréparable,
il fait un pas de côté.
chercher le souvenir impossible de sufjan dans jam plutôt que dans les autres.

oͫuͦ ͧvͬiͥvͬreͣ ᵖsˡeͧˢuͥlͤsͧʳˢ



note à moi-même:
 

pseudo/prénom - ça commence par un e et ça finit tout pareil, c'est d'une platitude sans nom c'est ? c'est ?  âge/localisation - assez vieille pour avoir connu les sms à caractères payants mais pas assez mature pour ne rigoler de mes propres conneries. avis sur le forum - mon berceau et ma tombe guys, je ne bougerai jamais. où l'avez-vous connu - rencontre cosmique au détour d'un coup de souris heureux. prélien ou inventé - divine étoile filante @"jamaaladeen dhuna" crédits - bandit rouge + robbie + la peau bleue + vocivus
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MessageSujet: Re: ( amertume )   ( amertume ) EmptyJeu 17 Oct - 23:37

sale.
f o l l e.
I love you
ce début divin
(non mais cette plume, ce vocabulaire oskour)
ce choix de pl parfait
x. x.
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Uriel Hillstorm
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MessageSujet: Re: ( amertume )   ( amertume ) EmptyJeu 17 Oct - 23:37

tu actualisais toutes les secondes ou comment ça se passe ?
( love )

edit : mon vocabulaire te...
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MessageSujet: Re: ( amertume )   ( amertume ) EmptyJeu 17 Oct - 23:38

insulte pas mon perfect timing
merci
hehe.
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Marlowe Nilsen
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MessageSujet: Re: ( amertume )   ( amertume ) EmptyJeu 17 Oct - 23:48

bave. bave. bave. bave.
rien d'autre à dire.
un bonheur pour les yeux.
tout mon amour sur toi romance.
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MessageSujet: Re: ( amertume )   ( amertume ) EmptyVen 18 Oct - 0:15

OMG ça promeeet

Je viendrai peut-être te quémander un lieeen

bonne rédaction! <3
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MessageSujet: Re: ( amertume )   ( amertume ) EmptyVen 18 Oct - 0:31

par contre moi je capte pas c’est qui ? why not. mon petit doigt me dit que c’est emilie mais 5 persos ?? Anyway welcome here, ce début de fiche w a o u h well. lil' heart.
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MessageSujet: Re: ( amertume )   ( amertume ) EmptyVen 18 Oct - 0:33

( amertume ) E4jJBWP

que de poésie en cette plume et quel prénom exquis
uriel, quel ange, ou bien serait-ce l'inverse ? je suis curieuse à présent.
je repasserai, berce nous encore de ses mots si bien choisis

et bienvenue chez toi mon chat felt. felt.
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Uriel Hillstorm
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MessageSujet: Re: ( amertume )   ( amertume ) EmptyVen 18 Oct - 1:07

@Skylar Rheon amour coeur basique.

@Léandre Kane est-ce que ce peut-être signifie que tu vas te faire désirer ? hehe.

@Dana Castillo ma danette coeur basique. tu me connais pourtant.

@Dion Abberline trop de bonté en toi hug. merci
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MessageSujet: Re: ( amertume )   ( amertume ) EmptyVen 18 Oct - 7:39

lil' heart. lil' heart. lil' heart. lil' heart. lil' heart.
tu sais comme je t'aime ?
comme je suis déjà en amour d'uriel ?
comme je suis heureuse que tu tentes ce pl ?
j'ai si hâte de lire la suite
et qu'on fasse de belles choses toi et moi  romance.
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MessageSujet: Re: ( amertume )   ( amertume ) EmptyVen 18 Oct - 7:51

qui t’as autorisé à ce début divin?
c’est m a g i q u e cara. draw.
je meurs bye well.
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Parker Calverley
Parker Calverley
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MessageSujet: Re: ( amertume )   ( amertume ) EmptyVen 18 Oct - 8:16

un génie a écrit:
l'ironie d'un surnom qui se voudrait appropriation et accointance qui ne renvoie au final qu'à l'impersonnalité du you homonyme (et anonyme).
j’ai legit frissonné
brille. brille.
c’est déjà si bon cette fiche, et il est brille. af uriel
donne. m’en. plus.
cordialement,
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MessageSujet: Re: ( amertume )   ( amertume ) EmptyVen 18 Oct - 9:59

Oooh bah c'est tout à fait possible 🙃 il faut qu'on en discute
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MessageSujet: Re: ( amertume )   ( amertume ) EmptyVen 18 Oct - 10:41

j’me lance dans le discours moi, red.
ptn t’en as pas marre de faire des perso d’fou ? larmes.
et cette plume..
j’ai pas les mots, j’veux tellement en lire + well.

ce choix d’avatar, ton pseudo,
p e r f e c t i o n ultime.
bref, j’vais me poser dans tes liens déterminé. wtf.

loveeeee u. in love.
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MessageSujet: Re: ( amertume )   ( amertume ) EmptyVen 18 Oct - 11:27

ce personnage que tu nous prépares encore well.
otto est une bombe en plus
(moi j'me risque pas à écrire son nom de famille
j'me trompe tout l'temps)
tout est tellement beau ici  heart.  heart.
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( amertume )
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