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 April | Love yourself first

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April |  Love yourself first Empty
MessageSujet: April | Love yourself first   April |  Love yourself first EmptyJeu 19 Sep - 17:52


 
April Sawyer
" If you don't love yourself, nobody else is going to love you"

nom complet - April Dorothy Sawyer. Un second prénom que tu n'utilises jamais, mais qui se veut un véritable héritage familial. Prénom porté par l'une de tes arrières-grands-mères, tu ne sais pas quand cette tradition aura commencée exactement. Tu sais tout simplement qu'aussi loin que tu saches remonter à ton arbre généalogique, toutes les femmes du côté de ta mère le portait en second prénom. Il n'est jamais prononcé, mais il se veut preuve de tes racines tout comme ton nom de famille. Sawyer, celui de ton père, celui qui évoque parfois des frissons de crainte ou une certaine admiration. Sawyer, Sheriff Sawyer, chef de police de la ville. Ça laisse sa trace, que tu le veuilles ou non. surnoms - Les gens ont toujours une imagination fertile. Certains préfèrent t'appeler par ton nom de famille, d'autres par ton prénom, certains te réfèrent à Blondie à cause de tes cheveux. April est un prénom trop court pour un diminutif, alors c'est variable à tous et chacun. Le seul qui reste constant ? C'est celui que tu portes pour tes admirateurs, spectateurs pervertis: Diamond87. lieu de naissance et âge - 23 années, ici-même à Nevada City. Tu as poussé ton premier cri il y a de cela 23 années et tu n'as jamais vraiment quitté la ville autre que pour des petites vacances avec ton père. Tu es persuadée que tu mourras dans cette ville, tu es faites pour y rester et la protéger au mieux de tes capacités. nationalité et origines - Tu es américaine, avec de faibles origines allemandes si l'on venait à remonter très loin dans tes ancêtres. à nevada city depuis - Toujours. Tu es née ici, a grandi ici, connait les recoins de partout dans la ville et tu finiras poussière au cimetière de la ville. occupation - Situation délicate, tu en es à ta deuxième année en tant que policière après avoir suivi longuement les traces de papa. Pourtant, tu ne fais pas que ça. Non, il y a ce second métier, que tu fais tard la nuit, de façon à peu près régulière. Pour l'estime de ta personne, parce que tu t'aimes, parce que tu veux te rebeller un peu de la pression de performance que t'impose ton père. Tu es devenue cam girl, un geste fait d'abord pour fuir l'autorité, la pression parentale et auquel tu as persisté par simple et pur plaisir personnel. situation familiale - C'est le parfait bonheur, ou presque. Tu t'entends bien avec ton père, qu'importe à quel point il se veut sévère. Vous vous prenez la tête relativement souvent, mais rien ne vous empêche de vous aimer pour autant. Parfois c'est l'amour vache, c'est les "je t'aime" dit par sous-entendus, parce qu'il n'a pas appris à te le dire clairement et t'a transmis cette même façon de faire. C'est l'amour au travers des gestes, à défaut d'une mère pour montrer à dire les vrais mots. situation financière - Bonne. Très bonne, même. En réalité, tu as une grande somme d'argent qui n'attend que tes vingt-cinq années dans ton compte. L'héritage de ta mère qui aura été partagée entre ton père et toi. Puis il y a tes deux emplois qui rapportent bien, mêlé au fait que tu sais faire attention à ce que tu achètes.  statut civique - Célibataire. Parce que tu n'es pas prête à t'attacher, parce que tu préfères charmer et fausser une excuse pour éviter les coups d'un soir. Parce que tu préfères te faire désirer que te donner entière à une seule et unique personne. Mais qui sait quand viendra la dite personne qui viendra chambouler tout ton monde. orientation sexuelle - Tu aimes dire que tu n'es "pas difficile". Tu admires autant le torse bien détaillé d'un homme que les courbes bien définies d'une jolie femme. Tu as une attirance plus prédominante sur la beauté féminine, mais tu ne craches pas sur une paire de bras d'homme pour autant. traits de caractères - Autant t'admettre caractérielle, ce serait la base. Si tu sais garder un sang froid assez impressionnant lorsque tu es sur le terrain, tu es dotée d'une quelconque impulsivité qui se veut parfois déplacée lors des relations personnelles. Si tes réactions sur-le-vif se veulent une bénédiction occasionnelle lorsque tu travailles, tu devrais parfois mieux de tourner cette langue de serpent au moins dix fois entre tes délicieuses lèvres avant de parler. Grand coeur ambulant pourtant, tu n'aimes pas voir les autres en souffrance, tu n'aimes pas qu'ils souffrent. Tu veux leur bien, tu es généralement prête à tout pour les combler de bonheur et leur faire plaisir, tout pour un sourire qui illumine les traits abimés. Toujours celle qui offre un peu de monnaie au sans-abris, tu as pourtant cette étrange contradiction de caractère. Le regard qui se pose sur la glace face à toi, une main qui se glisse dans ta chevelure blonde, un dernier coup d'oeil à tes traits et ton apparence avant que tu ne poses un clin d'oeil à ton reflet. Prête à engueuler celui qui défait ta sublime chevelure et le téléphone plein à craquer de nombreuses selfies, du plus simple au plus indécent, c'est à se demander si tu n'es pas camgirl rien que pour regarder ton propre corps à moitié nu sur ton écran. Narcissique, tu aimes ton physique et tu y portes attention. Tu détiens bon nombre de produits pour la peau, pour les cheveux. Divers vêtements qui te mettent en valeur, encore plus de sous-vêtements pour t'admirer et te laisser admirer. Certains pourraient te penser égoïste par cette faute, mais tu ne l'es même pas. Tu n'as que conscience de ta valeur et tu détestes te faire prendre pour acquise. Si l'on ajoute à ça le fait que tu te veux entêtée, cela vient donner des scènes où lorsque quelqu'un t'engueule, râle inutilement, que ce soit envers toi ou un sujet tout autre, tu n'écoutes que distraitement pour la plupart du temps. Tu te dis que si tu ignores suffisamment, la personne prendra conscience du ridicule de sa situation, même si dans la réalité, ça donne tout simplement l'impression que tu ne t'intéresses pas à la personne, que tu n'en as rien à faire et que tu deviens alors cette fausse égoïste que les gens peuvent présumer de ta personne. En même temps, il faut dire que lorsque tes lèvres s'ouvrent, c'est généralement pour mettre un stop à la discussion en changeant de sujet complètement. Tu es quelqu'un d'énergie, mais ça, c'est sans doute à cause de ton addiction aux cafés. Mais pas n'importe lesquels, ceci dit. Tu aimes le bon café. Les lattes, les cappuccinos, les vrais petits cafés fraîchement infusés. Autant dire que tu as un peu des goûts de luxe et c'est inutile de mentionner que tu as une petite machine de barista dans ta cuisine afin de te les faire sur-mesure. Pourtant, tout est une question d'équilibre, de balance et de contradictions balancées. Si tu aimes la bière autant que le vin, tu as ce petit favoritisme pour le rosé. Ce vin un peu plus particulier, à mi-chemin entre le goût corsé d'un rouge et le fruité d'un blanc. Tout comme tu préfères une bière blonde comparé aux autres types. À l'inverse, tu prends ton café noir, alors que tu compenses avec trois sucres dans celui-ci, tu préféreras largement un latte au café filtre qui lui, se veut non-sucré. Aguicheuse dans l'âme, tu es celle qui préfère se faire désirer et charmer jusqu'au dernier moment, jusqu'à ce que la personne ne cherche à succomber plutôt que de te laisser aller à un bête coup d'un soir. Toi et tes goûts luxueux, vous prenez soin de bien choisir qui se laissera avoir entre vos filets et tes grands yeux clairs. Après tout, avec un physique comme le tien, tu peux bien te permettre de choisir, n'est-ce pas? Tu ne fumes pas, tu as cessé depuis un bon moment, tout juste avant d'entrer à l'académie afin d'être en forme pour les tests physiques. De longs mois d'irritabilité qui se sont vus récompensés par d'excellents résultats. Cependant, ce que tu ne sais cesser, c'est de te laisser bercer par la douceur d'un petit comprimé, un petit coup d'extase, lorsque tu ne sens pas le désir t'envahir lors de l'une de tes soirées cam. Rien de mieux que ce médicament magique qui fond sur ta langue et engourdit tes sens pour passer une vraie bonne soirée avec tes clients. Tu es d'ailleurs quelqu'un qui se veut joueuse et si quelqu'un te plait, si tu veux laisser quelqu'un se guider jusqu'à tes draps, alors tu joueras. Tu aguicheras, mais tu t'amuseras à les faire perdre patience. Malin petit plaisir, tu t'amuseras à les ignorer, les embêter, tout pour jouer avec leurs nerfs. Un peu comme ces garçons qui embêtent les filles qui leur plaisent lorsqu'ils sont gamins, c'est ta façon à toi de dire que tu les aimes bien. Alors tu joues, avec cette affection un peu sauvage, jusqu'à ce que l'un ou l'autre ne succombe. Tu sais pourtant être douce, au travers de ton intensité caractérielle. Pour preuve, tu es celle qui donnera la lune et l'univers tout entier lorsque tu aimes, à condition de ne pas abuser de cette affection que tu portes. Tu es prête à chérir la personne qui fait battre ton coeur, donnant souvent bien plus qu'elle ne reçoit, mais il est hors de question que tu te laisses marcher dessus. Si l'équilibre n'est pas là, si tu es la seule à te donner, alors tu cherches à balancer la situation ou, si ça ne réussi pas, tu quittes, tout simplement. Tu n'as pas de temps à perdre avec quelqu'un qui ne te mérite pas. Pour autant, tu es bien loin dans l'idée de chercher à te caser à l'immédiat. Pleine de contradictions, ton coeur semble complètement ouvert, grand et courageux, alors qu'à l'inverse s'y oppose une tête de mule et une langue pourvue de franchise et d'un narcissisme un peu trop grand. Dans tout les cas, qu'importe ce qui en est, tu n'auras toujours qu'une chose en tête: Faire ta part pour un monde meilleur. Et ça commence ici-même, dans ta ville de naissance, afin de régler les divers chamboulements pour alléger les coeurs en peine.avatar - Brittenelle Fredericks groupe - Emerald
ado t'étais comment ?  - On fait tous des conneries, quand on est enfant. Toi, tu n'as pas échappé à tout ça, tu n'étais pas une exception à la règle. Des mauvais coups, tu en as fais. Plusieurs, même. Le problème ? C'est quand t'es une fille de flic. C'est là que ça se complique. Quand tu allais boire sur un terrain illégal avec des amis et que la police se ramenait pour vous faire cesser votre vacarme? Il y avait cette déception au regard du collègue de ton père, suivi d'une bonne gueulante de ton paternel qui te demande de te tenir, de ne pas foutre en l'air ton avenir. Tu as eu des hauts et des bas, des mauvaises fréquentations, pour au final te redresser suffisamment histoire d'avoir les notes pour aller à l'école policière. tu étudiais ici, si oui, dans quel lycée ? Tu étais du lycée public de Nevada City, toi. Tu aurais bien pu aller au privé et franchement, gamine, on a cru que c'est ce vers quoi tu allais avec ta grande maison et tout ce fric que votre famille semblait posséder. Pourtant, non. Ton père voulait que tu apprennes la vie comme tout le monde, de façon simple, afin d'éviter que tu ne regardes les autres de haut de par ton status d'écolière au privé. Alors on t'as inscrite au public afin que tu subisses la même torture que tout le monde avant de te faire ramener droite dans les bottes pour l'académie policière. tu as gardé contact avec tes potes d'adolescence ? Très peu. Et ce n'est pas même à cause d'embrouilles diverses, c'est simplement la vie qui aura fait son chemin. La vie qui agit, les écoles supérieures qui dissocient, éventuellement, tout se défait. Tu as consacré bon nombre de temps à tes études policières, entre les entrainements, les études et tout le reste. Autant dire que ça aura bouffé une partie de ta vie et que tu te seras davantage liée d'amitié avec tes futurs collègues plutôt qu'un cercle extérieur. tu as réalisé tes rêves ?  - Oui, non, peut-être un peu. Être policière, c'était ton rêve, mais pas le tien uniquement. Avoir des hommes à tes pieds, c'est flatteur pour l'égo, mais ce n'est pourtant pas un objectif de vie. Tu as nombreux rêves en tête et si tu sais que tu réussis pourtant assez bien ta vie à l'immédiat, si tu en es assez fière, il y a cette petite pointe de culpabilité de ne pas réellement avoir avancé dans ce que tu souhaites vivre. Ta to do list est à peine entamée.  es-tu satisfait de ta vie actuelle? Tu sais marcher la tête haute, porter cet écusson avec satisfaction. Tu es fière, c'est peu dire. Fière de ce que tu accomplis, de toute l'endurance que tu sais parfois faire preuve. Si toi tu es difficile à vivre par moment, la vie te supporte aisément et tu ne baisses pas les bras. Tu commences tout juste ta vie d'adulte, tu es encore jeune, encore un brin innocente. Tu maudits bon nombre de fois les malheurs qui peuvent t'arriver, mais tu es bien loin de t'en voir insatisfaite.
— teen attitude, teen problems.
Le silence se porte dans la pièce blanchâtre, alors que les airs graves abiment les traits des personnes présentes. Un seul son, un seul qui fait désormais parti du décor, presque, mais qui donne les frissons dans le dos de tous et chacun. Une note, un son continu. Biiiip. Une ligne droite qui ne cesse pas, qui ne coopère pas à faire plus d'une tonalité. Non, qu'une seule et finalement, c'est toi qui perce le silence en quelques secondes qui aura semblé être une éternité pour celui qui te tient désormais dans ses bras. Tu lâches ton premier son, ton premier cri, alors que tu auras provoqué le dernier de ta mère adorée. De celle que tu ne connaitras jamais. Morte sous les efforts de l'accouchement, la santé déjà fragile, tu te retrouves avec un père qui ne sait s'il doit pleurer de joie ou de douleur. Car celle qu'il attendait depuis 9 mois, sinon plus, est enfin née et en vie, en santé, alors que la femme qu'il aime aura donné sa vie pour la tienne, te laissant quitter son corps lors de son dernier souffle. Et tu pleures, tu lâches tes premiers cris, parce que la tonalité constante agresse tes pauvres oreilles. Parce que tu pleures la mort de la femme qui t'aura donné la vie, aussi, peut-être, dans toute ton inconscience de nouveau-né.

Tu n'as que huit ans quand tu tiens ta première arme entre tes mains. Pas une réelle, ce n'est qu'un fusil à plomb. Ton père n'est pas si irresponsable que cela, tout de même. Au contraire, c'est un grand homme et tu l'admires. Il ne te dit jamais réellement qu'il est fier de toi ni qu'il t'aime, mais tu sais que c'est le cas. Tu le sais grâce aux gestes qu'il t'apporte, à cette main qui vient souvent ébouriffer ta chevelure, à ces sourires fiers lorsque tu lui apportes des dessins, des notes, tout ce qui te rend fière académiquement parlant ou par une simple passion. C'est un homme dur, fier, un brin trop sévère aussi. Tu sais que c'est par crainte qu'il t'arrive un jour quelque chose, par inexpérience, aussi. Lorsque tu tombais, que tu te faisais mal, que quelque chose blessait ton coeur... Moindrement que les larmes montaient à tes yeux, en somme, il te mentionnait de cesser, mal à l'aise, malhabile. Des "Ça suffit" lancés trop brusques, pour te figer, te saisir, te supplier indirectement de casser son malaise, son incapacité à réagir face à de telles émotions. Difficile de le faire quand son propre père lui avait fait le même, jugeant les larmes comme un signe de faiblesse. Difficile de le faire, quand chaque jour il fallait garder un sang froid devant les possibles horreurs ou crises qu'il l'attendait au travail. Difficile de le faire quand tout autour de soi nous amène à l'imposer à son propre enfant. Pleurer rend faible, alors il fallait rester droite, il fallait transmettre la colère autrement. Alors tu tires, tu apprends à viser sur ces cannettes vides qu'il aura soigneusement placés dans un champ, à quelques heures de la ville. Loin de votre grande maison qui vous donne ces allures de riches alors qu'en réalité, c'est grâce à ta mère. Vous y habitez encore malgré la grandeur des lieux par amour pour elle, par souvenir d'elle. C'était l'héritage de sa mère à elle et lorsque ta tendre mère aura rendu son dernier souffle, la maison vous est revenue de droit.

Parfois, trop c'est trop. Parfois, c'est tout simplement trop difficile de ne pas pleurer face aux drames qui nous arrives. Parfois c'est trop, pour une jeune fille d'à peine quinze années. Ton premier amour s'est avéré être un canular. Une blague, une injustice. Un pari lancé horriblement parce que tu n'auras pas réussi à réagir comme il se doit. Parce que ton père, c'est pas une mère, ce n'est pas une femme. Les affaires de coeur, c'est complexe, c'est difficile. Ce n'est pas la même chose qu'un jeune homme qui tombe amoureux pour la première fois. Un jeune homme, on lui dit de courir après la fille, de lui faire des remarques d'attention, de la faire se sentir apprécier. Parfois certains disent qu'il faut la taquiner et l'embêter. Une jeune fille, elle, sans mère, on ne la prévient pas. On ne lui parle pas du grand méchant loup, de celui qui brisera le coeur, celui qui prendra le coeur doucement offert pour l'arracher sans aucune gêne. Et ton grand méchant loup à toi, il aura frappé fort. Il t'aura laissé croire diverses folies pour que tu t'accroches jusqu'à te laisser amener dans le placard à balais. Cliché ridicule, sans doute que tu aurais pu t'en douter, en réalité. Sans doute que tu aurais pu comprendre que cela signifiait bien plus par ce type plus âgé que toi de presque deux ans. Sans doute aurais-tu pu savoir si on t'avait prévenu que les grands méchants loups, ça dévore les petites filles qui s'attachent innocemment. Tu n'as pas résisté, tu t'es laissée embarquée dans l'idée, dans le geste, dans la passion du moment. Toi, innocente, amoureuse, tu l'auras laissé prendre tes lèvres. Puis, en jeune adolescente amoureuse, en jeune fille trop embrumée des mauvaises fréquentations qui l'entoure, tu le laisses défaire ton pantalon, tu le laisses aller plus loin. Au début, rien qu'au début, le temps de comprendre où il comptait aller et c'est bien là que tu refuses. Mais le grand méchant loup, il ne l'écoute jamais, la petite fille. Et ça fait mal, horriblement mal, à l'égo bien plus qu'au corps. Pire encore quand tu prends conscience de ces flashs de caméra et ces rires qui s'introduisent jusque dans le placard à balais au travers de tes tentatives de te déprendre. Tu les entends, les commentaires salaces, la dureté des paroles. Les phrases qui laissent clairement entendre le pari gagné. C'est là que la colère te prend, tandis qu'il te laisse là, faible de corps, remontant son pantalon comme il remontait sa fierté devant ses potes. C'est là que la colère te prend tandis que les larmes auront montées à tes yeux. L'incapacité de pleurer qui se transforme sournoisement et tout ce que tu ressens, c'est la douleur à tes doigts par la dureté de son nez. C'est ton poing qui s'éclate contre lui dans une haine incalculable et le silence se fait. On t'insulte, une gifle vole au travers de la pièce contre ta joue et malgré ton corps visiblement faible, tu parviens à le plaquer contre le mur. Toi, la gamine à qui l'on aura pris l'âme entière il y a de cela quelques minutes. La fière fille de son père qui l'aura harcelée pour faire son entraînement. La fille de son paternel qui aura juré nombre de fois, mais qui l'aura écouté afin de suivre ses traces pour être une future policière. L'entraînement commencé tôt aura porté fruit, faut-il croire. Des menaces éclates hors de tes lèvres. S'il parle, si la vidéo se transmet, tu parlerais aux supérieurs, aux autorités, à quiconque pouvant les faire couler. Si leur petit plaisir se voulait être de ridiculiser la fille de l'un des policiers, ils allaient bien vite apprendre que ça allait tomber contre eux. Et lourdement. Pourtant, malgré les menaces, malgré tout le reste, tu n'auras jamais rien dit à quiconque. Personne qui saurait causer un impact, du moins. Non parce que ce soir-là, les larmes auront explosées une fois dans la douche, une fois sous l'eau chaude coulant contre ton corps qui te semblait si sale, à l'immédiat.

« Et je fais quoi, maintenant..? »
« Tu trouves moyen d'en faire une force, de tomber amoureuse de ton corps de nouveau. »

Les bruits et rumeurs se seront propagées à une vitesse folle dans l'école. Étrangement, ton grand méchant loup n'aura jamais osé aller parler au directeur afin d'expliquer cet ecchymose posé à son nez. Sans doute de crainte que tu ne révèles les raisons, lui qui évitait soigneusement ton regard depuis. Si tu étais dans sa clique à lui au départ, tu auras d'abord adopté une tentative d'être solitaire pour au final te retrouver entourée de d'autres jeunes, d'autres mauvaises fréquentations. Les rumeurs s'ébruitent au travers des couloirs achalandés du bâtiment et de là s'amène des reconnaissances, des gens fiers que tu aies eu le courage de mettre un poing à ce jeune homme. Les versions auront dérivées depuis, mais qu'importe. Tu auras appris à les ignorer, préférant jeter ton mal être dans les solutions apportées par ces rebelles. L'alcool, principalement. C'est là qu'auront commencé tes soirées de beuverie, à discuter autour d'un feu, à fuir la réalité l'espace d'un temps, de quelques heures. Fuir l'autorité. Fuir ton père sévère qui te met toujours plus la pression sur tes notes académiques afin d'être certain que tu puisses avoir une place à l'académie policière, comme si le fait que tu auras fais bon nombre de tour de voiture de police, déjà tiré de son fusil à plomb et d'être sa fille ne soit pas un poids suffisant. D'un côté, tu le comprends. Tu te dois de mériter ta place et non simplement y être car tu es la fille de l'Officier Sawyer. Pourtant, parfois, tu aimerais simplement qu'il te lâche. Qu'il te laisse tranquille. C'est pour ça que ce soir, tu es assise un peu plus loin de votre groupe habituel avec cette jeune femme, avec Katrina. Une grande aux yeux verts et à la chevelure d'ébène. Celle que tu auras osé embrasser tout juste avant, pour terminer sur une conversation profonde de confidences. Sur une conversation où tu te livres pour la première fois sur ton lourd passé. Où tu lui expliques ce qu'on t'a fait et comment tu espères, en réalité, pouvoir devenir policière pour arrêter les êtres immondes de son espèce. Où tu lui expliques à quel point tu n'as plus de réelle confiance en toi à cause de tout ça, malgré les apparences. Où tu as l'impression que ton corps ne t'appartient plus depuis qu'il aura posé ses sales pattes sur toi. Et au final, c'est une rasade de plus d'alcool qui vous fait taire, suivi des autres êtres alcoolisés qui se ramènent vers vous et comme ça, juste comme ça, tu as un poids en moins sur tes épaules. Comme ça, juste comme ça, tu parviens à danser toute la nuit en étant plus légère.

Tomber amoureuse de ton corps à nouveau, qu'elle te dit. Tu tentes diverses options, il faut dire. Changer de style vestimentaire jusqu'à te refaire un look. On peut imaginer d'ici la panique de ton père lorsqu'il t'aura vu avec cette tignasse courte sur le sommet du crâne. Celle qui change de tes cheveux gardés aux épaules depuis si longtemps. Pourtant, il complimente, pour une rare fois. Ça te va bien, qu'il te dit. Mais ce n'est pas suffisant. Tu tentes de te maquiller, tu as même des tatouages désormais, sous la créativité de ton esprit, sous l'envie de donner un peu plus d'imagination à ton corps. Il y a même désormais ce petit bijou, cette anneau discrète qui se cache à ton nez. Tu tentes de te prendre en photo. Tu tombes même dans l'érotisme, sous divers conseils de Katrina. Puis, vient la solution. Après qu'elle t'ait suggéré de retomber amoureuse de toi-même via des rapports intimes, des petits moments solitaires, tu tombes sur l'idée. Là, juste là sous ton nez, alors que tu étais rendue sur un site à caractère pornographique pour trouver de quoi t'aider à la satisfaction personnelle. Là, des petits encadrés de jeunes femmes. La curiosité te pique et te voilà en train d'observer, de regarder, d'admirer. Admirer cette jeune femme qui se trouve là, nue, en train d'exciter bons nombres d'inconnus. Une camgirl. Tu l'observes plusieurs fois avant d'oser, avant de demander, de t'introduire dans ses messages. Tu avais désormais un but, une idée. Devenir une camgirl semblait être ce qu'il te fallait pour être mieux dans ta peau.

Tu es là, fixée devant l'écran, le coeur battant au creux de ta poitrine. Caméra, check. Vêtements affriolants, check. Ta chambre bien rangée, check. Il ne manque plus qu'à te connecter, qu'à ouvrir la chatroom qui t'est destinée. Toi. Diamond87. Un pseudo un peu hasardeux, te disant qu'il rappellerait une possible luxure et qu'il se verrait assez court pour être rappelé. Pour être gémis, même, peut-être. Ton père n'est pas là, tu en profites. Il est de service toute la nuit et ne sera là qu'aux aurores le lendemain matin. Tu inspires un bon coup et un bras s'avance vers la webcam. Bras aux cicatrices légères d'une précédente mutilation. C'est le temps de te relever de cette mauvaise passe, de te remettre sur le droit chemin. De regagner cette confiance avec toi-même. Les rideaux sont fermés et la caméra est allumée, les inconnus viennent dans la conversation et on te demande certaines requêtes. Pourtant, on t'a appris, on t'a expliqué. Leur en faire vouloir toujours plus, mais pour ça, ils devraient payer. Alors tu joues, tu agaces, le stress s'évanouit au fur et à mesure pour au final réellement t'amuser. Ça ne sera jamais ta soirée la plus payante, mais c'est ce qui aura marqué le début de bien des choses. Peu à peu, tu reprends cette confiance en toi. Peu à peu, tu tombes amoureuse de ton reflet, tu apprends à apprécier ce que tu vois à l'écran, dans le miroir, à force de tenter de te faire belle pour eux. Au final, tu te fais belle pour toi et tu te dis que si ça ne leur plait pas, ils n'avaient qu'à aller voir ailleurs. Tes petits moments d'extases ne se terminent généralement jamais en apogée, mais ça te libère, ça relâche la pression de tes épaules et au final, tu t'amuses. Rapidement, Diamond devient ton surnom et bon nombre d'inconnus paient rien que pour te voir retirer ton soutien-gorge ou autres indécences. Tu es tombée amoureuse de toi-même et ce, probablement plus que jamais.

Ton père te regarde avec cette fierté dans le regard. Celle la plus intense, que tu n'aurais jamais cru pouvoir voir de la sorte. Celle d'un père fier de l'accomplissement de sa fille tandis qu'il te remet enfin ton écusson. A. Sawyer. Fille du chef de police actuel. Poste qu'il a réussi à obtenir il y a de cela à peine trois ans de ça pour remplacer le Shériff Raynes à la suite des complications qu'il aura subit. En tant que presque bras droit, qu'homme si près de l'ancien shériff, ainsi que l'ancienneté mêlée, il avait tout les attributs pour prendre ce poste et désormais, il pouvait accueillir sa chère fille adorée dans son équipe. Chère fille désormais en appartement depuis peu, quelques mois à peine. Et il y a vos regards qui se croisent et qui s'humidifient, légèrement. C'est votre côté borné à tout les deux pourtant qui retient les larmes, qui vous empêche d'ainsi pleurer devant les autres malgré que les perles salées se veulent de bonheur. Les yeux qui brillent sous l'émotion et tu craques, tu oses. Tu oses serrer ton père, ton supérieur, dans tes bras. Tu sais que ce n'est pas ce qui devrait, mais tu ne sais résister et heureusement, plutôt que de te recevoir des réprimandes, il te serre en retour contre lui et les applaudissements fusent autour de vous sous le moment père-fille. Tu ne saurais être plus heureuse à l'immédiat, là, avec toute la fierté de ton père autour de toi, tout le bonheur de l'accomplissement au creux du coeur. Sensation particulière, que tu n'auras jamais ressentis en aussi forte intensité jusqu'à présent. Moment de bonheur utopique où tout ne peut que bien aller, où tout n'est que joie, paix et amour. Tu es désormais policière, April, et tu en es fière.

« Sinon... Tu veux qu'on commande de la pizza ou des sushis, ce soir? »
« Non mais je rêve, tu m'écoutes quand je parle, au moins? »

Tu détestes ça. Tu détestes ces prises de tête inutiles. Tu détestes qu'elle te prenne pour acquise au point qu'elle ne se soucie même plus de t'insulter pendant qu'elle râle. Au point qu'elle se permette de t'utiliser comme un journal intime où elle te grave les tympans de ses paroles pleine de haine envers des gens que tu ne connais même plus, à force. Sans même savoir si toi, tu vas bien. Il n'y a même plus de "Et toi, ta journée?" dans votre couple. Non, elle est aussitôt là à se plaindre de clients, de faux-amis et autres que tu n'écoutes plus réellement. Tu as déjà bien assez qui te tracassent. Parce qu'il y a des évènements qui chamboulent la ville. Deux morts. Deux étudiantes, décédées, assassinées. Ton esprit se tourne et retourne, ça te met sur les nerfs par moment et elle, elle râle sur le même sujet depuis deux semaines au moins sans même se soucier de toi. Comme si maintenant que tu étais sienne, elle n'avait plus à s'inquiéter de ta personne comme elle le faisait il y a de cela deux mois. Non, tout se rapportait à elle et tout se faisait quand elle le désirait. Car de toute façon, tu étais à elle, tu ne partirais pas. Elle le disait souvent pour rire, ses "tu es à moi". Sauf que trop, c'est trop. Tu tentes de changer de sujet, encore une fois, pour lui faire prendre conscience qu'elle râle pour des idioties. Bien entendu que son amie se mettra à râler car elle ne lui a pas remboursé l'argent due depuis des mois. Tu lui auras dis, dis et redis, mais rien n'y fait. Et à un moment, tu en as tout simplement marre. Tu as autre chose à faire que quelqu'un qui te prend pour un objet défouloir. Tu lui as imposé de la distance afin de lui faire comprendre que non, tu n'étais pas sienne. Pourtant, la voilà que désormais elle te reproche que tu ne l'écoutes jamais, que tu ne portes pas attention à elle. Elle en vient même à reprocher ton métier qui t'empêche d'être souvent présente, puis ton second. Alors tu éclates. Tu lui dis que tu en as marre et que c'est terminé. Comme ça, sans réfléchir une fois de plus, sans même peser tes mots. Tu t'en excuses, pourtant, mais tu ne veux pas être prise avec quelqu'un comme elle. Tu retournes à ton appartement, tu retournes avec ton chat qui t'attendait sagement à la maison, tu avales un petit comprimé pour te mettre dans le bon état d'esprit pour la soirée à venir, tu nettoies ta chambre, tu te fais belle et attirante pour finalement changer ton status facebook à célibataire.

Diamond87 is online.

pseudo/prénom - Sarcastik Moose âge/localisation - 27/QC. avis sur le forum - La communauté est définitivement au top  romance.  où l'avez-vous connu - Via Jules autre - Il manque un smiley important sur ce forum, j'suis outrée haha.
réserver son avatar : Brittenelle Fredericks (25.09)
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April |  Love yourself first Empty
MessageSujet: Re: April | Love yourself first   April |  Love yourself first EmptyJeu 19 Sep - 18:19

Ouelcome, bon courage pour ta fichette cc toa.
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Marlowe Nilsen
Marlowe Nilsen
here since : 24/06/2019
dreams : 1321
pseudo : cosmo.
face, © : ashley moore (sarasvati)


April |  Love yourself first Empty
MessageSujet: Re: April | Love yourself first   April |  Love yourself first EmptyJeu 19 Sep - 18:41

je suis outré par cette fiche vide mais bon red.
je pardonne parce que je sens que tu vas nous faire un perso du tonnerre
j'ai hâte d'en savoir plus yes.
bienvenue et bon courage pour ta fiche coeur basique.
n'hésite pas si tu as des questions de rien.
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April |  Love yourself first Empty
MessageSujet: Re: April | Love yourself first   April |  Love yourself first EmptyJeu 19 Sep - 19:03

enfin une adulte compétente, ça fait du bien. siffle2 oups. rolala, j'ai envie d'en savoir plus mais j'aime déjà?? draw. romance. j'vais essayer de slider dans tes mps ou sur discord parce que j'ai des idées de lien avec ma reece ou ma venus. lil' heart.
bienvenuuuuuuue officiellement chat et bon courage pour ta fiche. patrick.
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Lyes Wilder
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MessageSujet: Re: April | Love yourself first   April |  Love yourself first EmptyJeu 19 Sep - 20:06

mais on va tellement rire avec toi
pitié, tiens jules haut et court stp
et un bienvenue officiel
♥
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Jules Lancaster
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MessageSujet: Re: April | Love yourself first   April |  Love yourself first EmptyJeu 19 Sep - 20:10

Très heureuse de te voir craquée.
Et pas juste parce que tu me rapproche de mon objectif d'envoyer @Parker Calverley en taule.
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MessageSujet: Re: April | Love yourself first   April |  Love yourself first EmptyVen 20 Sep - 0:49

brittenelle ?
seriously ?
marry me
elle est tellement badass...
(oui j'repasse en mode y aurait-il quelque chose de neuf à se mettre sous la dent)
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MessageSujet: Re: April | Love yourself first   April |  Love yourself first EmptyVen 20 Sep - 2:47

Je suis navrée pour cette fiche vide, j'y remédie rapidement, promis oups.

@lyes wilder Hahaha! J'risque de me faire buter si je dis oui? think. Non parce que ce serait bien de pas me faire défigurer dès le premier jour haha.
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MessageSujet: Re: April | Love yourself first   April |  Love yourself first EmptyVen 20 Sep - 13:23

une adulte. well.
bienvenue à la maison, amuse-toi bien par ici. two hearts.
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MessageSujet: Re: April | Love yourself first   April |  Love yourself first EmptyVen 20 Sep - 14:00

April Sawyer a écrit:
Je suis navrée pour cette fiche vide, j'y remédie rapidement, promis oups.

@lyes wilder Hahaha! J'risque de me faire buter si je dis oui? think. Non parce que ce serait bien de pas me faire défigurer dès le premier jour haha.


alors non
je sais que sur discord ON DIRAIT PAS
mais lyes est autoproclamé plus grande douceur de ce forum
et j'aime tellement ton choix que c'est que du love
eyes.
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MessageSujet: Re: April | Love yourself first   April |  Love yourself first EmptySam 21 Sep - 14:32

Kostya Petran a écrit:
une adulte. well.
bienvenue à la maison, amuse-toi bien par ici. two hearts.
Ça en prend bien au moins un peu pour tenter de vous gérer oups.

Lyes Wilder a écrit:
April Sawyer a écrit:
Je suis navrée pour cette fiche vide, j'y remédie rapidement, promis oups.

@lyes wilder Hahaha! J'risque de me faire buter si je dis oui? think. Non parce que ce serait bien de pas me faire défigurer dès le premier jour haha.


alors non
je sais que sur discord ON DIRAIT PAS
mais lyes est autoproclamé plus grande douceur de ce forum
et j'aime tellement ton choix que c'est que du love
eyes.
Ah non mais je parlais de si y'avait quelqu'un autour de toi qui se voulait une menace haha. Non toi je sais que t'es une crème oups.
Tant mieux si tu l'aimes, vraiment ! romance.
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MessageSujet: Re: April | Love yourself first   April |  Love yourself first EmptySam 21 Sep - 16:08

bienvenue parmi nous brille.
(voilà je t'ai souhaiter la bienvenue, en retard mais quand même What a Face)
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MessageSujet: Re: April | Love yourself first   April |  Love yourself first EmptySam 21 Sep - 16:30

welcome la fameuse flic cc toa.
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MessageSujet: Re: April | Love yourself first   April |  Love yourself first EmptySam 21 Sep - 16:35

Merci bien vous deux hello. romance.
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MessageSujet: Re: April | Love yourself first   April |  Love yourself first EmptySam 21 Sep - 18:58

o m g
cette plume qui me met à terre
cette fiche qui file des frissons
ce persoooooo
j'aime beaucoup beaucoup trop tout ce que je vois
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MessageSujet: Re: April | Love yourself first   April |  Love yourself first Empty

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