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 être en (liesse)

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Lyes Wilder
Lyes Wilder
blind and deaf as fuck
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pseudo : emilie
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MessageSujet: être en (liesse)   être en (liesse) EmptyMar 25 Juin - 18:28



lyes, wilder
"laisse-moi un message même si j'les écoute jamais "

nom complet - lyes wilder. ça pourrait passer pour des parents amateurs de prénoms hébraïques mais il faut chercher plus terre à terre : une mère amatrice de france, qui aurait aimé savoir parler français, et qui pensait vraiment être dans le juste. raté, le son est bon mais l'orthographe surtout pas. wilder du nom de cette même mère, par peur de prendre trop de l'influence paternel s'il en portait le patronyme. couronne trop lourde. surnoms - wild, le plus souvent, parce qu'avec un prénom aussi court, comment créer un surnom ? pas facile mais il s'en fout lui, on pourrait l'appeler n'importe comment, on pourrait gueuler un truc approximatif, qu'il serait pas fâché l'animal. être appelé c'est déjà être un peu reconnu, c'est déjà ça. lieu de naissance et date de naissance -un solstice d'été, un 21 juin, idéal signe qu'on décline à nouveau en direction de l'hiver même si on commence tout juste à s’assommer de mojitos tous les soirs après le travail, dans la ville de la démesure, las vegas, mais ça l'a pas rendu riche. nationalité et origines - américain de terre, élan finlandais d'une mère qui se rêvait un peu française -mais qui ne faisait que rêver sans avoir un seul gramme de ce petit pays lointain.  à nevada city depuis - la dernière année de collège, se voir déraciné au pire moment, pile quand on commence à chercher son identité, à appartenir à un groupe, à trouver sa place dans la micro société adolescente. classe à la rentrée 2019 - 12th senior years. situation familiale - mère abandonné par ses multiples amants, au lit jamais tiède toujours brûlant, et une alter famille qui traîne dans le coin sans qu'il ose trop s'en approcher, conscient d'être le gamin pas vraiment légitime, le demi-frère qui peut-être ne trouvera pas sa place dans une famille bien plus établie que la sienne. situation financière - bancalement correcte. pas besoin de plus même si c'est pas le luxe, ni pauvre ni riche, dans ce vaste flot de classe moyenne, échelle plutôt basse puisqu'il doit travailler l'été depuis ses 16 ans parce que sa mère n'a pas les moyens pour de l'argent de poche. statut civique - oula un quoi ? coupl-. nan. pas connaître. vade retros satanas. ça va pas être négociable. ça fait peur, ça fascine un peu aussi forcément, mais incapable déjà de décider rapidement s'il veut du jus d'orange ou du soda, alors devoir fonctionner à deux, s'afficher à deux, très peu pour lui. inadapté sentimental. pourtant, aimer ça il sait faire. tous les jours. milles personnes, peu importe.orientation sexuelle - ça tangue comme un bateau ivre, difficile de se fixer, il en oublie même les quatre lettres de son prénom quand il se sent défaillir auprès de quelqu'un qu'il pense apprécier un peu plus que la norme. en vrai son corps balance plus au masculin, mais il n'y comprend pas grand-chose et ça finit par l'énerver. mieux vaut en retourner à des préoccupations plus terre à terre comme comment tirer vingt balles à sa mère sans provoquer une énième crise familiale.  traits de caractères - influençable_ comme un marquage puissant dans ses veines, incapable de résister à la moindre influence, et plus elle est mauvaise plus il se jette dedans à corps perdu, comme un con. sensible_ ça n'a pas l'air comme ça, derrière cette façon de secouer la tête en protestant comme un adolescent revêche, mais grand émotif, capable d'aimer milles fois, et de détester aussi vite - pour recommencer aussitôt à aimer. il voit tant de choses qu'il trouve fascinantes au quotidien, et pourtant si insignifiante qu'il ne le couche qu'à l'écrit pour ne pas passer pour un faible ou pire. organisé_ comme si c'était sa façon à lui de contrôler le monde qui l'entoure. la spontanéité c'est pas son truc même s'il fait de gros efforts pour ne pas épuiser tout le monde avec son besoin de cadre. à la dérive_ parfois quand il se force à être quelqu'un d'autre, lorsqu'il veut faire le malin, lorsqu'il veut être intéressant, comme tout le monde. réactif_ comme n'importe quel ado, encore plus quand le passé n'aide pas à être pleinement serein, il est vite à cran, vite sur la défensive, vite perdu. secret_ c'est le gosse dont on oublie la présence. celui qui ne dit pas beaucoup de mots à l'oral, mais qui noircit des pages sans rien dire à personne. c'est le gamin présent, qui capte, enregistre mais qui ne se sent dans son élément que lorsqu'on ne le voit plus. seuls des êtres qui lui sont proches le mettent pleinement à l'aise par leur présence. avatar - louis hofmann. groupe - silver.
matière préférée - la littérature, même s'il fait celui qui ne sait rien quand on l'interroge, même s'il se terre au fond de la classe à côté du radiateur, il préfère jouer la carte de l'idiot plutôt que l'intello. mais les lettres c'est son refuge. un bon bouquin il peut disparaître dans un trou, s'abandonner à la lecture plutôt que faire des âneries, c'est toujours plus sain que son envie de s'intégrer par les conneries. sport préféré - football, il fait parti de l'équipe mais c'est moche ce qu'il est nul. c'est pas grave, vrai ? livre préféré - the great gatsby, l'amour qui souffre, l'amour qui vibre, l'amour qui meurt, coup de fusil dans son âme sensible. il tremble de ce sentimentalisme qui fait écho, noyé dans l'univers miroitant qui l'absorbe à l'instar du monde réel. artiste préféré - gustaf fröding, poète suédois perdu dans la nébuleuse de ses origines. marque de vêtement préférée - ses potes rigolent et répondent ikea à sa place, avec sa gueule qui sent le sapin et le pain d'épices du nord mais bizarrement les marques ça l'affleure à peine. il aime la simplicité, la banalité, comme uniqlo. pas de chichi et pas assez d'argent pour en faire marque de ton téléphone - génération iphone, comment échapper à cette chape de plomb sur des cerveaux aussi faciles à corrompre. pas le dernier modèle évidemment, et puis de toute façon être dans la grande famille de la pomme ça lui suffit. d'façon pour le perdre en soirée, laisser les mauvaises personnes fouiner dedans, inutile d'aller mettre deux mois de salaire maternel là-dedans réseau social préféré - twitter. c'est sale, méchant, abrupte. tellement loin de sa nature profonde, et tellement proche de ce qu'il voudrait faire croire qu'il est que c'est là où il aime traîner, même s'il ne comprend pas toujours tout, même si ça va parfois trop vite pour lui. enfin qu'on ne s'y trompe pas, ça ne l'empêche pas de laisser traîner énormément ses yeux sur instagram et tout cet épiderme dévoilé à des yeux impudiques.

— teen attitude, teen problems.

Une faille dans laquelle se perdre à jamais,
Cet écueil communément appelé famille,
Laisse une douleur éparse, palpitante plaie
Un océan dans laquelle on s’éparpille


Le robinet qui goutte. Le cliquetis régulier de la fuite qui sans relâche vient taper l’émail de l’évier. Il n’entend que ça. Ca l’obnubile alors même que c’est insignifiant. Mais à bien y regarder, c’est hypnotique. La goutte qui se déforme, se déchire aux milles couleurs avant de s’éclater sur le vernis d’un vieux rose passé du lavabo, ébréché ça et là. Pourtant il y a beaucoup plus bruyant dans l’appartement. Deux adultes qui se font plus de tort que l’eau n’en fera à l’émail. Est-ce que c’est à force de fixer cette eau qui s’échappe que ses yeux sont devenus bleus ?
Une nouvelle goutte. D’autres cris. Ca coule sur lui, sa seul obsession c’est ce robinet. Comme si concentrer toutes ses forces sur la robinetterie pouvait faire disparaître les problèmes de sa mère. Parce que ce n’était rien de plus que ça pour lui. Des problèmes. Impossible de cerner son père comme ses camarades de classe. Il était absent. Vagabond. De fleurs en fleurs, de jupes en jupes il semblait en transit comme un touriste drogué au voyage. Incapable de se fixer dans une couche, et celle de sa mère était loin d’être la première. Et c’était le cinéma qui se rejouait sans cesse depuis des semaines.

Aldridge, un nom qui sent l’argent, qui sent l’avenir doré, sauf dans leur cas. L’amante. Le fils hors mariage né d’un adultère, c’est honteux. Ca se cache sous le tapis. Elle l’avait fréquenté pendant des années, l’avait suivi à Las Vegas, tout ça pour réaliser que même une fois loin de son épouse, il ne ferait jamais d’elle sa première, l’officielle. Elle serait toujours une maîtresse parmi d’autres, une groupie un peu défraîchie, et ça la faisait hurler de réaliser tout ça. T'es naïve maman, c'est moche. Alors Lyes, lui, il préfère le robinet à tout ce chaos qui retourne le minable petit appartement qu’ils habitent tous les deux avec de temps à autre ce fantôme paternel. Il ne l’appelle pas papa. Il ne l’appelle pas par son prénom. Il ne l’appelle pas du tout. Jamais il ne lui accorde ne serait qu’un coup d’œil limpide héritage maternelle bienvenu.
Le ton monte un peu plus. Deux portes claquent, des insultes sont jetées entre deux et puis le silence. Le silence coupé par le métronome du goutte à goutte. Ca le rassure. Et s’il part définitivement de cet appartement, qui sera en mesure de réparer ce robinet qui fuit ? C’est la seule pensée qui tourne en boucle dans l’esprit du gamin, comme une obsession compensatoire.

Le ressac de l'océan,
Les vagues qui lèchent la côte et l'épuise,
Un bleu infini, profond, bruyant dans son silence,
Épanché, caressant la fleur de ta peau à chaque coup d'oeil.

Besoin d’air, besoin de respirer, besoin de voir du monde, n’importe qui pourvu que cela étouffe le sentiment de solitude qui prenait racine depuis quelques jours. C’est comme chercher le mouton à cinq pattes : partir à la recherche d’un visage connu, mais pas trop. Sonder les autres à la recherche d’une seule personne précise tout en se refusant à l’appeler. Le serpent qui se mord la queue, comme si toute sa vie n’était plus qu’un vaste bestiaire. Alors une énième invitation dans une soirée où il n’est même pas certain de connaître quelqu’un, mais cela importe peu. Du monde, de l’alcool, avec un peu de chance de la musique pas trop mauvaise, c’est rempli parfaitement les prérequis du jour.
Un jean, un t-shirt, vite passés et direction chez un certain Tim ou Jo, il ne sait plus bien et il s’en fout. C’est facile à quinze ans. On organise des soirées remplies d’inconnu qui vont et viennent dans le logement et personne n’en fait un drame. On fait des rencontres, des bonnes, des mauvaises, on s’amuse et tout le monde rentre chez soi beaucoup trop alcoolisé pour se souvenir de qui était vraiment à l’origine de l’invitation. Indépendamment du fait qu’ils sont trop jeunes pour attaquer leur foie.
Besoin de voir la vie, de la sentir, de noyer ce qui règne en lui et qu’il n’est pas en mesure de comprendre. L’impression que sa vie lui échappe alors même qu’elle est d’une simplicité enfantine. Ce cœur qui n’était déjà pas très mesuré commence à lui échapper complètement, à bondir dans sa poitrine pour un oui ou pour un non. A compliquer son rapport aux autres, sans plus jamais savoir ce qui le motive à aller de l’avant ou fuir. Ce besoin compulsif de se replier, d’aller se terrer quelque part en lieu sûr avec un carnet. Incapable de mettre pourtant des mots sur ce qui est en train de se jouer doucement dans son microcosme : l’impression d’être en train de trouver sa place auprès de personnes qu’il pensait ne jamais fréquenter car trop différentes.
Les basses de la musique font vibrer sa cage thoracique.
C’est une bonne nouvelle, il ne pourra plus entendre son cœur battre. Manque plus que l’éthanol dans son système sanguin pour achever cette perte de contrôle et oublier sa mère. Elle fait tout pour lui mais elle l’étouffe aussi à sa façon. A toujours vouloir le sortir de son rôle de grand absent – comme si génétiquement il avait un peu hérité des caractéristiques paternelles – timide efface qui se fait oublier entre deux respirations. Alors par esprit de contradiction, il fait n’importe quoi, il essaye d’être autre chose, quelqu’un d’autre. Quelqu’un de stupide, qui fait des choix aléatoires. Qui va à des soirées, qui rentre ivre alors qu’il n’a pas l’âge pour ça, qui passera la nuit à vomir ses tripes en jurant de ne plus recommencer… pour re-signer aussitôt que l’occasion se présenter. Marre d’être cet animal sensible et fragile, de porter l’étiquette de chaton, et pourtant plus il est stupide, plus il confirme ce constat. Il suffit de 30 minutes hors du temps pour recevoir un texto maternel en deux mots qui vaut toutes les disputes de la terre. Lyes. Maison. Alors il prend le premier verre qui vient et le vide d’une traite en grimaçant. C’est pas pour lui. C’est pas son monde. Pas son tempérament. Mais c’est tout ce à quoi il aspire : être quelqu’un d’autre pour une soirée.  

Le cœur en liesse, sourire aux lippes
Rien de plus qu’une étincelle de vie qui se propage
Maladie incurable et connue de n’importe qui
Bonheur tiède dans une main naïve.


Plus son regard s’appuie sur cet épiderme, plus il sent chacun de ses sens se cabrer et livrer une bataille sans merci. Après tout, pourquoi pas, c’est tout ce que son cerveau arrive à formuler. Il n’avait jamais réfléchi à l’amour. Ou plutôt il ne se posait pas de questions. Fille, garçon, ça l’avait jamais effleuré. Et c’était pas une révélation qui l’effrayait. Quand on est transparent, on possède milles libertés, dont celle d’aimer n’importe qui sans distinction de sexe sans craindre pour sa réputation. Pas un fond d’amertume. Ni d’inquiétude. Juste une fascination neuve pour ce dos qui s’offre à ses pupilles à peine éveillées. Pas la sombre idée d’où il se trouve. A trop boire on se réveille n’importe où à n’importe quelle heure. Une carte mouvante qui se soulève au rythme d’une respiration endormie, faisant danser paresseusement les dorsaux du garçon qui partage sa gueule de bois et son coin de couette après une soirée sans intérêts. Enfin, pas tant que ça apparemment. Une minute, deux, ou peut-être une heure, le gamin reste figé, immobile, perdu dans cette fixation doucereuse. Il soulève enfin une main caresse, affleure de la pulpe de ses doigts le dormeur puis suspend son geste au premier mouvement de l’inconnu, comme on tente d’apprivoiser un animal sauvage.  Et puis il abandonne. Peut-être que c’est ça le sens de la vie. Ne pas chercher à assommer ce cœur qui cogne à briser les côtes, mais chercher justement à le faire vibrer tous les jours. Et ça le fait sourire comme un bienheureux, même si l’alcool ingurgité la veille lui fend le crâne en deux et donnerait envie à n’importe qui de mourir. Lui, il a envie de vivre aujourd’hui. Vivre pour sentir à nouveau cet arc électrique gagner ses doigts sous l’impulsion d’une peau qui ne lui appartient pas.

 

pseudo/prénom - robbie. âge/localisation - 26 ans alaas poor yorick vers le hellfest (ouais j'élargis ta culture mon chou). avis sur le forum - mais c'est moche ici, d'ailleurs qui m'a inscrit bordel ? SUPERCHERIE. (qu'estcequejekiffecetendroitptn). où l'avez-vous connu - je me traînais tellement un rôdeur évadé de walking dead et paf ça fait des chocapics. autre - tellement. d'amour. sur. vous. accueil de dingue déjà pour seulement quelques minutes de vie commune  respect .
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MessageSujet: Re: être en (liesse)   être en (liesse) EmptyMar 25 Juin - 18:31



ohh comme t'es boo toi well.
et cette fiche vide, c'est tellement triste!  sad.
remplis-la moi vite, j'ai hâte de tout savoir sur lui! et puis bienvenue par là romance.

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Lyes Wilder
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MessageSujet: Re: être en (liesse)   être en (liesse) EmptyMar 25 Juin - 18:37

Caelestis Beauregard a écrit:


ohh comme t'es boo toi well.
et cette fiche vide, c'est tellement triste!  sad.
remplis-la moi vite, j'ai hâte de tout savoir sur lui! et puis bienvenue par là romance.


ouiiii pardon, faut d'abord que je réponde aux MPs et aux propositions de lien et après je rempliiiiis romance.
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MessageSujet: Re: être en (liesse)   être en (liesse) EmptyMar 25 Juin - 19:14

et je dis yes
(ça rime)
je t'envoi un mp très très vite (désolé, c'est déjà la deuxième fois que je te dis ça)
mais en tout cas, j'aime déjà le peu que tu dévoiles de lyes, ça sent la pépite et j'ai vraiment, vraiment hâte de découvrir ce qu'il y a autours de cette belle bouille.
bienvenue mon chat lil' heart. lil' heart. lil' heart.
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MessageSujet: Re: être en (liesse)   être en (liesse) EmptyMar 25 Juin - 19:18

bienvenue heart.
t'es beau comme un ouragan
hâte d'en savoir plus sur lyes
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MessageSujet: Re: être en (liesse)   être en (liesse) EmptyMar 25 Juin - 19:26

bienvenue par ici avec le beau louis heart.
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MessageSujet: Re: être en (liesse)   être en (liesse) EmptyMar 25 Juin - 19:30

bienvenue à la maison chaton ! amuse-toi bien hug.
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MessageSujet: Re: être en (liesse)   être en (liesse) EmptyMar 25 Juin - 19:33

il est bien le début de cette fiche !
du coup, vite la suite stp cc toa.
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MessageSujet: Re: être en (liesse)   être en (liesse) EmptyMar 25 Juin - 19:47

mais vous êtes tellement chou par ici
je vous aime fort
milles mercis pour cet accueil romance.
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MessageSujet: Re: être en (liesse)   être en (liesse) EmptyMar 25 Juin - 20:25

oooh, ce bb.
bienvenue par ici,
j'aime ce que tu as écris.
I love you
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MessageSujet: Re: être en (liesse)   être en (liesse) EmptyMar 25 Juin - 20:44

bienvenuuuue
bon courage pour ta fiche
eyes.
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MessageSujet: Re: être en (liesse)   être en (liesse) EmptyMar 25 Juin - 20:45

je le connais pas du tout mais il est beau ton gamin. please.
bienvenue patrick. lil' heart.
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MessageSujet: Re: être en (liesse)   être en (liesse) EmptyMar 25 Juin - 20:46

cc toa. coeur basique.
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MessageSujet: Re: être en (liesse)   être en (liesse) EmptyMar 25 Juin - 21:02

ksjdkajsdkjas
le demi-bro
What a Face What a Face
coeur sur toi, je l'aime fort fort déjà
bienvenue I love you I love you
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MessageSujet: Re: être en (liesse)   être en (liesse) EmptyMar 25 Juin - 21:20

ce début, ce prénom well.
bienvenue par ici hehe.
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