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 [leaps into the grave]

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Lloyd Villin
Lloyd Villin
*cries in emo*
here since : 24/06/2019
dreams : 601
pseudo : anaïs.
face, © : tom webb, ©mooncalf.


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MessageSujet: [leaps into the grave]   [leaps into the grave] EmptyMar 25 Juin - 9:33



lloyd villin
" be all my sins remembered. "

nom complet - lloyd villin. oh, oui, t'as très bien entendu. les présentations sont toujours suivies par l'inéluctable rictus mauvais - ou, plutôt, son écho paresseux, luisant elliptiquement à la commissure de ses lèvres. juste de quoi te demander s'il se fout de ta gueule. selon les recensements, il s'agirait d'un patronyme en voie d'extinction, porté par moins d'une vingtaine d'individus sur le territoire. autrement dit, exceptionnel. villin. gravitas prophétique ou pas, force est d'avouer que le hasard fait bien les choses. surnoms - no, thanks. lieu de naissance et date de naissance - dix-sept février 2002, san francisco. sa grande tragédie, elle est séculière. dans le monde du vitevitevite, il préfère prendre son temps. romantique au sens strict des anciens : tout ce qui était n'est plus et tout ce qui sera n'est pas encore. son mal du siècle dépasse le syndrome du post millennium. lloyd, dans tout son antagonisme anachronique, canonise la contemplation claustrale et la concentration ascétique là où le golden age of content impose son monopole de la distraction facile. il exècre sa génération qui tient l'entièreté du savoir dans le creux de ses main mais lui préfère l'ignorance et la vanité en un swipe right. obstinément, il défie le temps lui-même en marchant à reculons, viscéralement marginal jusqu'à incidemment cryptique. hybride dandy-ermite, lloyd tient des textes sacrés ésotériques - il n'a de sens que pour une poignée d'initiés. nationalité et origines - d'une coast à l'autre, american ultra, né "of all places, in sunburn california", capitale mondiale du mauvais goût, et son été sempiternel. le menton constamment relevé, il guette les nuages. souffle une prière païenne pour la tempête. rêve de vents hurlants et de blizzards pour figer tous les cadrans. et de pluie. beaucoup de pluie, des orages pour faire trembler les cieux. lloyd, à la composition délicatement précise, se draine au soleil. à nevada city depuis - touriste léthargique depuis toujours, las résident à temps plein depuis cinq ans - date à laquelle son père, trop malade pour continuer à travailler mais encore trop vivant pour supporter la vision d'une chambre aseptisée, a choisi de se retirer dans la lake house familiale, villin legacy et cosy weekend retreat à une quinzaine de kilomètres au nord-ouest de nevada city, pour [insérer ici euphémisme doucereux pour crever en paix]. flashforward à aujourd'hui : les cendres de papa tapissent l'entrée de la khazneh depuis tout juste deux ans - techniquement parlant, virtuellement plus rien ne retient la mère et le fils à ploucville où ni l'un ni l'autre n'a développé d'attaches particulières. si seulement ils n'avaient pas accidentellement fait de la foutue baraque (qui reste éternellement "the lake house" et jamais la maison) la matérialisation de sa mémoire. le contrat est tacite, mais pas moins juridiquement contraignant ; ils se sont fait dragons tous les deux, gardiens farouches de la frontière avec l'au-delà. la demeure est méticuleusement maintenue comme il l'a laissée, les contours du défunt encore lisibles dans les coussins des fauteuils, avec ce qui doit s'apparenter à l'obsession religieuse, la mort qui grimpe aux murs comme le lierre pousse sur la façade pour ennemie. elle est chassée comme on repousse la canicule, tentures tirées et volets fermés. la lakehouse devenue crypte, mausolée, temple à Hadès, hermétique aux yeux profanes. classe à la rentrée 2019 - senior year allégée et la promesse de se la couler plus douce que jamais. situation familiale - depuis que papa a passé l'arme  gauche, un trou béant. lloyd aurait hérité des pires défauts des deux géniteurs, exacerbés au centuple. méditatif et sibyllin comme l'un, critique et buté comme l'autre. sans le patriarche pour jouer les états-tampons entre eux, mère et fils sont tous les deux sciemment conscients qu'il marchent sur des coquilles d’œufs, en permanence dans l'appréhension de la collision frontale entre idéalisme et pragmatisme. leurs rencontres sont réglées comme du papier à musique, dîner deux fois par semaine en terrain neutre ; autrement, échangent par courier électronique. à la maison, ils s'éludent avec expertise en se tenant rigoureusement à leurs territoires respectifs, barricadé avec leurs propres fantômes. au fond, c'est plus facile comme ça - s'ils ne se retrouvent jamais seuls tous les deux, ils remarquent moins l'omission braillarde du troisième parti. situation financière - derrière le premier chromosome, il y a(vait) papa victor ; professeur d'histoire de la philosophie à berkeley, spécialiste des pré-socratiques et des civilisations anciennes de mésopotamie avec deux pulitzers à son nom. derrière le second, maman ruth, actuelle district attorney de san francisco, formule un du common law et activiste démocrate emblématique. son seul capital d'exception, lloyd a toujours considéré qu'il était culturel. "we're only well-off". as if. c'est l'hypocrisie du old money à l'oeuvre, on traite l'opulence comme un secret très mal gardé. statut civique - supposément, il préfère le drama sur les planches. riiiiiight. il les aime vives et sophistiquées mais orbite naturellement autour des abrasives et des tragiquement insaisissables ; entretient une fascination morbide pour le droit-dans-le-mur. ""en couple"" et exaspéré, parait-il. la bonne blague. tout le monde sait que son intérêt est directement proportionnel au cachet faste théâtral. orientation sexuelle - sapiosexuel ascendant tragédien. traits de caractères - prétentieux, intense, condescendant, curieux, éloquent, pince-sans-rire, intraitable, distant, sûr de lui, not cold just highly selective, le plus Romantique des cyniques, perfectionniste jusqu'à l'obsession, lascif, spontané, le blasé électrique et le passif explosif, autoritaire, snob, spirituel, indépendant autarcique, charmant et charmeur, esthète, apathique naturel qui brûle pour la passion surnaturelle, analytique, hédoniste, opaque, ouvert et entier, lunaire, mélodramatique. avatar - tom webb. groupe - gold.
matière préférée - strictement aucune. dans un système trop rigide qui où la mémorisation robotique triomphe sur la réflexion, royalement, monsieur s'ennuie. il déroule le huffpost en anglais, sexte ostensiblement en biologie et a fait complètement le pas sur l'histoire. sport préféré - cérébral, en chambre et le crawl voluptueux au crépuscule. dans cet ordre-là. l'escrime pour faire plaisir à ruth mais surtout pour The Aesthetic (trademark). livre préféré - indiscutablement the scottish play pour sa délicieuse superstition. artiste préféré - billy shakes, duh. son régime alimentaire est draconien : clopes, maker's mark, et morphèmes lexicaux uniquement. marque de vêtement préférée - 'tis not alone my inky cloak, good mother, / nor customary suits of solemn black / [...] that can denote me truly. "grim reaper chic", à l'intersection entre goth et preppy : waspy sainte trinité lauren-hilfiger-gap, en sombre monochrome de circonstance. marque de ton téléphone - vieil iphone décrépi qui a, selon la légende, survécu aux deux grandes guerres - ou, simplement, au traitement glacial d'un villin qui abhorre l'idée d'être incessamment joignable. la bête vaillante s'accroche à son dernier fil de vie après une énième chute du troisième étage. réseau social préféré - *disgusted noise*.

— teen attitude, teen problems.
villain, i have done thy mother. You taught me language, and my profit on ’t / Is I know how to curse. Lloyd sirote la langue exactement comme il siffle son whiskey - un processus lent, lascif, où il navigue religieusement la symphonie des arômes qui crépite sous son palais jusqu'à atteindre l'extase. Peu équipé pour composer lui-même, à défaut, il se jette corps et âme dans l'analyse des mots des autres. Se shoote à la métaphore conceptuelle. Trip à l'antanaclase, le nez poudré aux procédés tropiques. C'est son amour fiévreux pour la rhétorique qui l'a conduit jusqu'à Shakespeare et, ultimement, jusqu'aux planches. Érudit reclus de l'espèce bibliophage, il est sauvé in extremis de la véritable vocation monacale par sa verbosité ; la langue n'est, après tout, jamais mieux célébrée qu'à l'oral. Sur scène, Lloyd s'amplifie dans toutes les directions, larger than life, monte en apothéose, vole au soleil son champ magnétique irrésistible. Aussi conscient de son talent qu'il l'est, la conviction n'en reste pas moins teintée de lucidité : Lloyd est bon parce que Lloyd s'y croit vraiment. L'encéphale tatoué au pentamètre iambique, à l'instar du barde, il a fait de la Langue sa meilleure arme tandis que la langue déroule l'illustre texte. Il a le flirt organique et la répartie assassine, alternativement smooth et cutthroat ; le velours et les fils barbelés. Deadpan pour réglage par défaut, il se délecte des quiproquos et des mines troublées. Possède le type d’intelligence qui laisse peu de place à la clémence et abandonne à la poussière quiconque est incapable de suivre. Insupportablement pédant si pris trop au sérieux, mais, moins mystérieux que subtil, la parade saturée de self-awareness ironique pour un cénacle réduit d’éclairés. do it for the aesthetic. Éternellement préposé aux nobles héros tragiques (something about ces boucles séraphiques), il partage pourtant peu de leurs tumultes internes. La moralité est un concept, au mieux, flexible ; et son ambition, il l'a répandue aux quatre vents avec les restes de son père. Lloyd porte son apathie serpentine, ondulante autour de son cou, les lèvres scellées sur un whatever furtif. Enter l'instinct maternel : Ruth accuse le coup, la génétique, son propre laxisme, les hormones, le géniteur et ses papillons noirs infectieux. Elle ne voit que son fils qui se coupe du monde un peu plus chaque année, pas la consciente décision ancrée dans le raisonnement derrière. Pour tout son hubris, Lloyd a bâtit sa tour d'ivoire avec des briques de clairvoyance. Il a regardé son père mourir - la vraie mort, laide et agonisante, longue et insidieuse, celle qu'on flaire, celle qu'on goûte dans l'air - et a mûrit d'un millénaire dans le processus. The abyss really does stare back, et, dans le vide, il a trouvé sa catharsis. Là où sa génération implore les cieux pour un sens, il distille la réalisation qu'il n'en existe aucun en idéologie. Les aspirations rendues prosaïques par un nihilisme balsamique, il rêve peu. Un panorama gothique érodé par la flotte, ses bouquins, la compagnie laconique du like-minded. Et l'Art pour l'art. Des lignes sombres d'une cathédrale allemande au sleek de sa Porsche, de la symétrie d'une clavicule à la sonorité onctueuse d'un gémissement étouffé, Lloyd est rigoureusement esthète et fondamentalement amoureux de sa propre mortalité. Sablier en main, il relativise. new romantic. Il y a six mois, Ruth a décroché la promotion d'une vie, dantesque DA aux responsabilités multiples qui la consignent sous le smog san-franciscain, loin de Nevada City - et c'est la meilleure chose qui soit arrivée à Lloyd depuis une éternité. I'll be good mommy, sourire chérubin dans le rétroviseur en agitant les clés du château. La vérité, c'est qu'elle a peu à craindre : elle connait son rejeton et sa révérence pour l'ancien. Même si, en théorie, la bâtisse a été construite en 1984 par un architecte néo-zélandais, l'esthétique "petit manoir français" est si précisément polie qu'après trois verres de prosecco et en plissant très fort les yeux, l'illusion est semi-crédible. Lloyd lit Virgile et Plutarque à l'ombre des abricotiers et s'imagine à l'autre bout de l'Atlantique, à humer l'iode méditerranéenne. Trois hectares et un lac placide de silence, ou, autrement dit, le paradis, on l'arrache difficilement à son Eden. Il y cultive son flou artistique en l'arrosant à l'autarcie, accorde son romantisme antique à sa mélancolie moderne ; prisonnier d'un interminable après-midi d'été coulé de léthargie capiteuse all year-long. Lloyd y traîne les pieds, cède à l'appel de l’oisiveté poétique, bains de minuit et siestes olympiennes au soleil. Dans son royaume, le temps n'a aucune emprise. kill your darlings. Il parait qu'il aime les filles cultivées. Call it déformation professionnelle, il tend à loucher sur celles qui épellent t-r-a-g-é-d-i-e en dévoilant leurs canines. Amant généreux mais furieusement vacillant, il a jamais été foutu de se décider entre intimité et inimitié, à la fois disciple platonicien et Marquis de Sade. Au fond, il sait bien d'où vient le problème : trop Romantique pour le romantisme contemporain, Lloyd s'en tape de l'amour. Le véritable félicité, c'est l'ivresse - il peut sentir le myocarde-oisillon se languir dans sa cage pour des griffes sur lesquelles s'empaler. La frénésie, les palpitations, les baisers cinématographiques et l'haleine haletante. Les cris, les pleurs, la jalousie animale, la haine qui plonge le monde dans les flammes et le chagrin qui le repeint en teintes bleutées. you can't smoke with us. Sous les airs aristocratiques et le port de tête princier, Lloyd est beaucoup plus bouffon insolent que roi de la cour. On lui reproche sa prétention, il répond merci. Les caprices de la descendance-monarchie, très peu pour lui. Monsieur se complaît plutôt dans les boutades mutines de ceux qui estiment n'avoir rien à prouver. Architectural, littéral et figuré, il n'a jamais pu prendre autrement que de haut. Ce que les autres pourraient considérer comme de l'élitisme (yawn), il préfère l'appréhender sous l'angle de l'absence abyssale d’hypocrisie ; viscéralement incapable de prétendre. Piètre menteur surtout pour un acteur aussi doué - non, rectification, piètre menteur parce qu'acteur aussi doué, aussi vrai à ses personnages qu'il l'est à lui-même, il n'a jamais associé la comédie au mensonge. Self-love is knowing exactly who you are and still look in the mirror everyday. Le boyish charm des constellations de tâches de son mais la carrure d'un homme, la prestance antique. Lloyd, c'est l'odeur du pétrichor, une pause dramatique, l'orage qui gronde en arrière-plan, ton cartoon villain charismatique préféré - savoureusement équivoque. Might save your life, might fuck your wife.

pseudo/prénom - anaïs (belispeak). âge/localisation - 23, be. avis sur le forum - beaueaubeau.  brille. où l'avez-vous connu - ça doit être le destin. autre - moodboard pour les curieux ; pour chaque mp reçu une fée est sauvée de l'extinction.  two hearts.
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MessageSujet: Re: [leaps into the grave]   [leaps into the grave] EmptyMar 25 Juin - 10:01

ANAÏS. no ugh. no ugh.
Bienvenue ici. I love you
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MessageSujet: Re: [leaps into the grave]   [leaps into the grave] EmptyMar 25 Juin - 10:09

Ouelcome ! lil' heart.
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Parker Calverley
Parker Calverley
ça sent l'échec
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dreams : 691
pseudo : ivy.
face, © : satterlee, hedgekey.


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MessageSujet: Re: [leaps into the grave]   [leaps into the grave] EmptyMar 25 Juin - 10:13

slow clapping in the background
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MessageSujet: Re: [leaps into the grave]   [leaps into the grave] EmptyMar 25 Juin - 10:28

Mais t’es bien toi
[leaps into the grave] 3639313848
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MessageSujet: Re: [leaps into the grave]   [leaps into the grave] EmptyMar 25 Juin - 10:32

j'étais curieuse après tes mots doux sur ma fiche,
et genre svp allo la terre ce perso qui se profile à l'air incroyablement cool???
que de l'admiration pour ta plume, bon courage pour la suite! white heart x2.
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MessageSujet: Re: [leaps into the grave]   [leaps into the grave] EmptyMar 25 Juin - 10:49

#dead
la lakehouse en mausolée ...
je chiale
merci bonsoir
(et ptn mais il était telleeeement pour toi)
hehe.
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MessageSujet: Re: [leaps into the grave]   [leaps into the grave] EmptyMar 25 Juin - 13:23

tom lpb hehe.
bienvenue à la maison ! amuse-toi bien hug.
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MessageSujet: Re: [leaps into the grave]   [leaps into the grave] EmptyMar 25 Juin - 13:30

Hamlet !
Bienvenue officiellement !
Hâte de te croiser dans les couloirs, dans les coulisses et de te voir sur scène !

Bonne rédaction king
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MessageSujet: Re: [leaps into the grave]   [leaps into the grave] EmptyMar 25 Juin - 13:33

tom, je salue ce choix divin well.
bienvenue par ici, en espérant que tu te plaises parmi nous two hearts.
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MessageSujet: Re: [leaps into the grave]   [leaps into the grave] EmptyMar 25 Juin - 13:40

bienvenue par ici heart.
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MessageSujet: Re: [leaps into the grave]   [leaps into the grave] EmptyMar 25 Juin - 14:34

Cela sent la pépite par ici. hehe.
Bienvenue Anaïs. I love you
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MessageSujet: Re: [leaps into the grave]   [leaps into the grave] EmptyMar 25 Juin - 14:57

bienvenue par ici,
omg, dis en nous plus sur lloyd. mais.
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MessageSujet: Re: [leaps into the grave]   [leaps into the grave] EmptyMar 25 Juin - 15:03

da-yummmm,
il est à croquer, wtf.
et also - ils font parti de la même troupe de théâtre, wesh.
cette plume, ce personnage qui s'annonce.
be mein xoxo.
bienvenue I love you
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MessageSujet: Re: [leaps into the grave]   [leaps into the grave] EmptyMar 25 Juin - 15:52

eyes. eyes. eyes. eyes. eyes. eyes. [leaps into the grave] 2350488108
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MessageSujet: Re: [leaps into the grave]   [leaps into the grave] Empty

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